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 ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)


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Apollon
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~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Dim 12 Juil - 12:24





Dernière nuit aux Bahamas, à Nassau, que j’ai pris soin de parcourir de fond en comble toute la semaine pour rencontrer de nouvelles personnes, discuter avec elles de tout et de rien, retrouver quelques réflexes liés à un quotidien hors du block. Les journées se sont écoulées à une vitesse folle, sans aucune stratégie nécessaire pour espérer échapper aux nominations ou grapiller des points. J’ai pu retrouver une dimension complètement humaine à ce jeu que j’adorais tant dans ses premières semaines pour la légèreté avec laquelle je l’abordais. Tout va pour le mieux, j’ai le cœur léger même si la soirée de demain sera décisive. La demi-finale sera à nouveau le théâtre d’une vague d’éliminations et j’ai envie de croire plus que jamais en mes chances d’arriver à passer au stade supérieur. Pour le symbolisme, pour la satisfaction d’avoir participé à l’aventure du début jusqu’à la fin, que la finale me voit écoper du plus bas pourcentage ou non. Pour cette ultime nuit au Paradis, j’ai prévu une bouteille de champagne à savourer avec la petite rousse qui a occupé mon lit pour la première fois depuis le début du jeu. Des allures de première semaine avec l’équipe verte, @Zach, @Eli, elle et moi. On pourrait croire qu’il s’agit d’une autre vie, d’une autre saison tellement tout ceci est loin derrière nous. J’entre dans la chambre et ne peut retenir ce sourire de naitre sur mes lippes, elle est tout simplement magnifique dans sa plus grande simplicité, pas maquillée, ses sous-vêtements recouverts d’une légère robe que je devine être en soie. Kendall, elle est exceptionnelle. Sans sa présence parmi nous, mon aventure n’aurait jamais vraiment été complète, il aurait manqué quelque chose. « Savourons cette nuit comme si elle devait être la dernière. » J’annonce tout de suite la couleur en venant m’asseoir en tailleur à côté de ma camarade. « Qu’en penses-tu ? »  
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Kendall
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Dim 12 Juil - 19:11



« Tu vas découvrir une nouvelle facette de Kendall, j'espère que t'es prêt. » qu'elle lui avait presque promis sept jours auparavant, lorsqu'il découvrait ensemble cette chambre qui allait être leur nid douillet pour une semaine, ensemble, rien que tous les deux. Et elle ne lui avait pas menti la rousse. Si le côté humain était comme un retour au source aux premières semaines pour @Apollon, c'était plutôt une nouvelle aventure pour la candidate, qui dés le premier jour de l'émission avait été dans la stratégie, la compétition, les mensonges et la manipulation. Mais cette semaine à ses côtés, elle avait un gout différent. Parce qu'elle était libérée de son secret. Parce qu'elle était libérée de cette compétition d'équipe. Parce qu'elle était libérée de cette armure des premières semaines. Il avait pu découvrir la Kendall qui se rapproche davantage de la Kendall du quotidien. Une Kendall qui se laisse emporter par des rires plus francs, qui vient lui prendre la main même en plein jour pour une ballade, qui vient se lover un temps contre lui en s'endormant jusqu'à faire la même chose au réveil avant de s'arracher presque à regret de ses bras sous la couette.


Elle ne s'attendait pas à ce que cette nuit soit plus différente que les autres mais faut croire qu'elle avait tort puisqu'elle voyait débarquer le candidat avec une bouteille de champagne. « Comme si c'était la dernière hein... D'accord. » qu'elle lâche l'air de rien, ce d'accord signifiant qu'elle allait le prendre au pied de la lettre. « Ce qui se passe aux Bahamas reste aux Bahamas » elle souffle, le ton chaud et en même temps indifférent, montrant que pour elle, ce serait si facile de faire comme si cette semaine était une simple parenthèse qu'elle allait laissé ici dés qu'elle aurait foulé la porte de l'hôtel avec sa valise pour repartir. Est-ce que lui de son côté était prêt à faire la même chose pour qu'ensemble, ils jouent le jeu à fond ? Qu'il serait capable de pouvoir se détacher sentimentalement de tout ça peu importe ce qui se passe et les aveux qu'elle pourrait lui faire en cette dernière nuit ? Elle vient jouer avec les pans du tee-shirt du garçon de façon distraite, l'étincelle mutine dans ses yeux qui se perdent dans les siens. « Tu serais prêt à me promettre que tout ce qui se passe cette nuit n'aura aucune conséquence pour la suite ? De juste se laisser aller, sans penser au lendemain ? » Elle joue Kendall clairement, le provoque presque par ce défi qu'elle est certaine est de taille pour lui, lui bien trop impliqué avec le cœur dans ses relations pour son propre bien.
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Lun 13 Juil - 0:27





Je n’ai pas changé d’attitude depuis la révélation de son secret. Je n’ai pas été perturbé outre mesure ni même paniqué par la vision très largement manipulée de la psychopathie développée dans les films à suspense, ce syndrome au centre d’un genre à lui tout seul, le slasher. Je repense à toutes nos conversations sur les films d’épouvante, la vérité était sous mes yeux pendant tout ce temps et je regrette d’avoir mis aussi longtemps à découvrir son secret. Mes indices nous ont permis d’arriver au buzz d’un @Dylan qui, à ce moment-là, figurait parmi les seuls candidats de la Proud Ink à pouvoir déclencher l’alarme financièrement. Je désirais ardemment être cette personne, celui qui parviendrait à résoudre le mystère Kendall mais j’ai été obligé de revenir sur mes ambitions, handicapé par la perte de mon secret aux doigts de la jeune femme la semaine d’avant. Je l’avais déjà affirmé bien avant d’obtenir toutes les réponses à mes interrogations, la rouquine ne sera jamais un animal de foire à mes yeux. Elle est exceptionnelle dans tous les sens du terme et je n’ai pas peur. Rien ne change, si ce n’est son comportement. Je ne pensais pas avoir l’opportunité de la côtoyer sous un tel angle, tout en douceur, lâcher prise et légèreté. Elle sait s’avérer surprenante même lorsqu’on pense avoir tout vu, tout pouvoir anticiper. C’est ce que j’adore chez elle, ça et une tonne d’autres petites choses. Nous avons partagé une semaine vraiment amusante, rythmée par nos chamailleries, par de longues discussions plus ou moins existentielles suivant nos humeurs, par des réveils bercés d'une tendresse plus inédite à l’image de nos couchers. Je ne regrette pas mon choix, ce binôme que j’ai choisi d’imposer à la jeune femme plutôt qu’en optant pour le lit d’un @Milo qui aurait su me rendre dingue à sa manière, comme il l’a toujours fait. Le changement a du bon parfois. Nous sommes peut-être comme chien et chat tous les deux, mais nous formons un duo vraiment unique en son genre et ce soir je suis fermement décidé à le célébrer, à ne plus rien laisser au hasard. Cette soirée pourrait être la dernière, elle se doit de clôturer un pan tout entier de notre aventure comme il se doit, au cas où tout s’arrêterait subitement samedi soir. Nous protéger des regrets qui pourraient finalement apparaitre tôt ou tard. Dans le cas contraire, et parce que je n’ai pas le moindre doute sur la qualification de Kendall, nous disposerons d’un bonus non négligeable à apprécier à sa juste valeur. J’accueille sa réaction avec un très large sourire qui guide mes bras contre sa peau que j’entoure tendrement. Je me suis un peu trop habitué à cette proximité ces derniers jours. « Tout à fait. Ce qui se passe aux Bahamas, reste aux Bahamas… Comme dans un rêve... » Je souffle, au creux de son oreille. Elle se retourne pour me faire face, joue avec les pans de mon t-shirt sans pour autant me quitter des yeux, un regard qui abreuve et anime le mien, fend mon visage en une moue mutine. « Des conséquences ? Faudrait-il se soucier du lendemain pour envisager une telle chose. Ce n’est pas mon cas… Pas ce soir ! » Je me suis brûlé les ailes à trop vouloir chercher midi à quatorze heures, ça n’arrivera plus, pas ici en tout cas. Mes doigts se perdent dans sa chevelure de feu que je caresse et utilise pour exercer une légère pression afin de réduire la distance entre nous deux. Mon autre main effleure la ceinture de cette élégante robe de chambre avec laquelle mes phalanges flirtent dangereusement. « Une nuit ! » Je répète, prêt à apporter ma signature à ce contrat que scellerait nos lèvres si elles décidaient soudainement de se rejoindre à mi-chemin à la faveur d’une parenthèse à la hauteur du climax implicitement esquissé. « Es-tu certaine que tu y survivras ? » Je la défie, insinuant qu’elle pourrait être emportée par ce que j’ai à lui offrir, à deux doigts de lui prédire une défaite supplémentaire.
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Lun 13 Juil - 20:22



Il le lui répète, comme pour signer ce contrat oral dont elle attendait sa signature avec impatience avant de se lancer. Tout ce qui se passe aux Bahamas restera aux Bahamas donc, c'est acté et irrémédiablement les deux candidats se retrouvent encore plus tactiles, se laissant aller dans cette tensions qu'ils ont cultivé d'une main de maître pendant toutes ses semaines. La soirée promet de la laisser exploser de la meilleur des manières. Elle se laisse emportée, happée par ses belles paroles pleine de légèreté. @Apollon il fanfare, en rajoute même dans le rôle du garçon qui ne pense pas au lendemain. S'il s'était bien présenté ainsi au début du jeu, forcer de constater qu'il s'est perdu en chemin, peut-être pour mieux se retrouver en cette fin de jeu ? Elle lui donne le bénéfice du doute pour cette nuit. « Une nuit... tout à moi ? » elle souffle, le désir visible qui monte dans la voix alors qu'ils sont si près l'un de l'autre. Ses mains se faufilent sous son tee-shirt pour caresser sa peau, avide d'un contact plus ardent. Ses lèvres effleurent les siennes, caressent et lui brûlent presque tant la proximité est dure à entretenir sans passer le cap. Es-tu certaine que tu y survivras ? Il sait sur quel bouton appuyer désormais, après toutes ses semaines à composer avec son caractère malgré toute la manipulation, stratégie, mission et bien d'autres choses entre eux. Il sait que la défier est la meilleure chose à faire pour qu'elle se donne à fond. « Non seulement j'y survivrais mais je m'assurerai que toi, tu n'y survives pas... » Elle réplique de cet air indifférent et sure d'elle qui la caractérise, trahie par cette attirance qu'elle ne retient pas. Plus. Pas ce soir. Elle finit d'achever les derniers millimètres pour accéder à ses lèvres pour sceller leur lippes, doux dans un premier temps pour rapidement devenir fiévreux, presqu'enragé, alors que son corps tombe sur le sien pour se retrouver allonger sur lui. Ses mains en profitent, tâtent ses muscles un à un à même la peau, prisonnières entre son corps et le tissu de son tee-shirt qu'elle finit par lui enlever. Sa bouche dévie sur son cou, le recouvre de baisers brûlants. Elle se relève finalement à califourchon sur lui et se saisit de cette bouteille de champagne posée sur le côté, suffisamment proche pour qu'elle ait juste à tendre les bras pour l'attraper. « Ce serait dommage de pas en profiter avant non ? » Le sourire malicieux, elle fait péter le champagne qui dégaze, les bulles qui forment une mousse qui jaillit de façon un peu brutal et qu'elle dirige dans la bouche du candidat avant de venir lui lécher les babines. « Pas mal »
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Mar 14 Juil - 14:36





Les termes de ce contrat singulier sont dessinés avec beaucoup de sensualité, il ne reste plus qu’à le sceller de la plus habile des manières. Ce sont mes lèvres qui brûlent d’un désir insatiable de prendre la relève, de se charger d’une telle mission comme le ferait le Diable en personne à la signature d’un Pacte savoureux. Les promesses sont nombreuses, les sous-entendus affluent et abreuvent nos regards qui s’enflamment au contact de l’autre, par simple anticipation des événements à venir. Voilà des semaines que la tension monte, lente, implicite et pourtant ô combien brûlante. Une luxure à laquelle nous avons su dire non, quitte à jouer la sourde oreille pour ne pas avoir à admettre cette attirance qui, pourtant, est omniprésente. Est-ce elle, qui guide nos pas depuis le tout premier jour ? Cette animosité n’aurait-elle pas tout simplement été l’expression d’un désir bien trop ardent pour être véhiculé de la plus traditionnelle des manières, à travers la séduction ? Je ne possède pas les réponses à toutes ces interrogations et, à ce moment précis, ce n’est plus ce cerveau-là qui est occupé à s’éveiller au contact de la demoiselle. Nous sommes d’accord, une nuit placée sous le signe d’un abandon complet, de cette heure avancée de la soirée à l’ouverture de cette porte, symbole du cocon que devient notre chambre pour signifier la fin d’une parenthèse qui anime déjà  chaque parcelle de mon corps, à fleur de peau. « Tout à toi ! » Le souffle chaud de mes lèvres s’étouffe contre sa gorge que j’effleure sans jamais lui offrir le plaisir de retrouver la sensation de mes pulpeuses sur sa peau. Elle en rêve, elle aussi. Elle n’attend que cela. « Seras-tu mienne ? » Je m’interroge, paré à accueillir un refus à la hauteur de sa volonté de ne pas avoir à admettre la dépendance que je peux parfois faire naitre de ma présence en son sein. Est-elle consciente qu’il lui faudra pleinement s’abandonner pour me convaincre de céder ? Ne pas aller jusqu’au bout, reculer si près du but me tuerait, mais je le ferais par instinct de survie. Par goût de la victoire. Si cette défaite doit en être une, je ne la considère pas autrement que mutuelle. Ses doigts partent à l’aventure sous mon t-shirt et font frissonner ce torse malformé qui ne vibre que pour elle. Mes organes, qu’ils soient en place ou non, s’éveillent à cette douce sensation. Survivre, sa réaction est à la hauteur de mes espérances, elle fait grogner en moi un désir de la contredire et de trouver les arguments adéquats pour arriver à une telle entreprise. « Nous n’avons pas encore commencé que déjà tu as perdu ! » Je susurre, de mon air victorieux. Elle m’embrasse et tout autour de moi cesse d’exister. Mon cœur s’emballe, fait jaillir un flot ininterrompu de sang qui traverse mon corps animé de vives impulsions électromagnétiques. Je la désire tellement fort que je pourrais en crever. Je la force à me chevaucher d’un mouvement conquérant, la plaque contre moi au risque de chavirer – dans tous les sens du terme – jusqu’à atteindre le confort sécurisant de ce lit qui s’apprête à en voir de toutes les couleurs. Nos lippes ne se quittent pas, électrifiées par cet échange, par cette découverte éloignée, très éloignée de ce que nous avons pu expérimenter jusqu’à maintenant. Elle me débarrasse de mon t-shirt et m’offre une fenêtre d’action suffisante pour que mes doigts s’amusent à étirer le nœud autour de sa taille afin de libérer cette légère robe que je prends plaisir à lui retirer pour laisser apparaitre un corps que j’admire plus que jamais. Ses lippes malicieuses se lancent à la découverte de ma peau et déjà je me sens à cran, étouffé par une couche bien trop importante de vêtements. Cette bouteille de champagne me gagne un temps précieux pour reprendre mes esprits. Je la regarde faire, capture une brève gorgée du liquide pétillant pour retrouver, non sans un plaisir à peine dissimulé, le contact enivrant de ses pulpeuses. « Succulent ! » Je confirme en me redressant à mon tour pour m’emparer de la bouteille et lui intimer de s’allonger. « Il lui manque un petit quelque chose… Le caractère unique, exceptionnel… Laisse-moi arranger ça ! » Le goulot légèrement incliné suinte de quelques gouttes de champagne que je prends plaisir à faire s’écouler le long de son larynx. J’observe le liquide se frayer un chemin jusqu’à la séparation de ses deux seins, l’œil vif, captivé par une telle chute. L’itinéraire est tout tracé, ma langue n’a plus qu’à repartir de là où tout à commencer. Ses lèvres, sa langue nettement plus prolixe de cette manière. Cette mâchoire, douce, que je couvre de baisers pour mieux rejoindre les premières marques du champagne. « Hmmm… Là, il est parfait ! » Ma langue se perd le long de sa peau, la mordille parfois comme pour lui rappeler la compétition qui se joue implicitement jusqu’au creux de ce lit, de ces rideaux auxquels je compte la faire grimper. Ma langue s’amuse à flirter avec les limites de ce soutien-gorge que je laisse en l’état pour le moment. La chute est lente, longue et maitrisée. Si mes lippes travailleuses submergent sa peau sucrée, c’est mon corps tout entier qui épouse ses formes pour mieux battre en retraite le long de ses cuisses parfaites. Mes yeux se relèvent pour la chercher du regard et lui offrir le temps nécessaire pour que son esprit puisse fantasmer sur la prochaine destination de mes lèvres. Aucun champagne ne sera nécessaire, cette fois. « Tu devrais peut-être te préparer psychologiquement… Tu pourrais soudainement avoir envie que le temps s’arrête ! »
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Mer 15 Juil - 21:22



On pourrait presque dire qu'il signe un pacte avec le diable @Apollon. Le piège de la sirène se referme sur lui lorsqu'il fait de sa personne sienne pour toute la nuit après tant de semaines à cumuler une tension qui a toujours été palpable entre eux mais qu'ils n'osaient pas s'avouer. Au fond, est-ce qu'elle ne serait pas autant victime que lui dans ce traquenard ? Puisque s'il doit s'abandonner à elle tout entier, la réciproque doit se faire. Elle doit lâcher toute barrière, laisser de côté chacun de ses masques, assumer pleinement ses envies. Est-ce qu'elle est vraiment prête à faire tout ça pour Apollon ? Est-elle prête à être sienne ? La tension est palpable, la réponse ne se fait pas attendre tout de suite, pas quand elle est occupé à se perdre dans son regard et à résister à la tentation de ne pas se jeter sur ses lèvres. « Tout à toi » elle souffle finalement, répétant sa formule employée. Ce soir elle était qu'à lui, connectée dans son entièreté, en total abandon pour une nuit qui risque d'être inoubliable. L'un comme l'autre se le promette en tout cas, de tout faire pour qu'elle le soit. Une ultime provocation fait en sorte qu'elle franchi le cap du baiser, venant coller ses lèvres aux siennes après un moment à flirter savamment bien dosé pour faire monter la pression, non sans avoir murmurer un  « Tais-toi » pour répliquer aux inepties qu'il peut sortir. Non, elle ne perdra pas à ce jeu là Kendall. Ou alors ils perdront tous les deux. La suite se fait plus brute, plus passionnée, comme s'ils relâchaient tous les deux toute cette frustration accumulée ses dernières semaines. Elle le désire Kendall et elle ne l'a jamais montré autant que maintenant, sans couverture de cette indifférence qui pouvait le troubler les premières semaines. Elle le déshabille, il fait de même et la sensation de sa peau chaude contre la sienne l'électrifie davantage. Un dernier souffle volé, elle quitte son cou pour rajouter dans l'équation la bouteille de champagne, de quoi leur laisser un bref répit à tous les deux pour mieux revenir à la charge. Elle joue Kendall, venant goûter au liquide si précieux directement sur les lèvres du brun avant qu'il reprenne les commandes.  Il lui manque un petit quelque chose… Le caractère unique, exceptionnel… Laisse-moi arranger ça ! Les deux s'échangent le volant sans question d'égo pour une fois. Chacun a son temps de conduite dans cette course folle qu'ils mènent, dans le but commun de faire la plus belle course qu'il n'ait jamais connu. Elle s'allonge docilement Kendall, lui laisse volontiers la bouteille qu'il utilise pour mieux lui éveiller les sens en se perdant dans son cou. Ses lèvres sont brûlantes et douce en même temps, contraste avec sa barbe de trois jours qui lui pique agréablement la peau. Elle se mord la lèvre inférieur Kendall, pour ne pas lui donner le plaisir d'entendre ce souffle qui s'étouffe trop facilement. Il descend et elle a un mouvement mécanique de sa jambe gauche qui se relève contre lui, qui se frotte contre l'intérieur de ses cuisses à lui pendant qu'il descend lentement entre sa poitrine pour récolter les précieuses gouttes entre ses seins. Et il descend encore le brun, toujours plus bas jusqu'à ses cuisses. La suite parait évidente et elle en tremblerait presque d'avance. C'est que ça fait presque deux mois qu'elle n'a rien ressenti à ce niveau là la rousse. Apollon sera l'homme à lui faire renouer à toutes ses sensations si plaisantes presque oubliés. A défaut d'avoir sa partie du cerveau contrôlant son cœur fonctionnelle, celle qui contrôle les sensations de son corps elle marche normalement et bien éveillés ce soir grâce à lui. « A force de me vendre du rêve, je risque d'être déçue... » qu'elle lui adresse en soufflant, un peu provocatrice parce que ça reste l'essence qui fait tourner leur moteur dans leur relation, ce pourquoi ils se donnent autant à fond contre l'un et l'autre.
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Mer 15 Juil - 23:56




La tension monte crescendo avec les secondes. Les insinuations se multiplient et j’ignore si je pensais directement à cela lorsque je me suis engagé dans cette chambre qui est la nôtre, armé d’une bouteille de champagne qui gagne en valeur lorsque les gouttelettes se perdent de la sorte sur son corps que je n’aurais aucun mal à débarrasser des derniers remparts qui la recouvrent. J’ai plaisir à jouer avec les termes d’un contrat – comme on le dit si bien – que nous avons pris soin de définir non sans l’agrémenter d’un large soupçon d’érotisme qui fait bondir ce cœur au sein d’une poitrine malformée mais fonctionnelle malgré tout. Il n’y a pas que mon palpitant qui s’emballe, d’ailleurs, à la promesse d’une nuit placée sous le signe de l’exploration, d’une découverte charnelle et sensuelle qui occupe secrètement mes pensées depuis le premier jour. Cette alchimie n’est pas une surprise, nous avons pris soin de la nier tout en l’abreuvant par petites touches, d’infimes notes instrumentalisées au détour d’une conversation, d’un défi, d’un sous-entendu d’infériorité pas le moins du monde envisagé. La tentation menace de nous embraser à tout moment et je n’ai aucun mal à imaginer m’abandonner à la jeune femme pour les heures à venir. Je brûle d’un désir ardent à son égard, du genre à me faire trembler sous la pression qui anime mes muscles et m’assaille de spasmes. À force de me vendre du rêve, je risque d'être déçue... Je me redresse et lui offre la possibilité d’être le témoin privilégié de ce sourire diabolique qui se répand sur mon visage et annonce une prestation à la hauteur des semaines qui se sont écoulées depuis le début du jeu. Mes doigts hameçonnent sa culotte joliment brodée de dentelle, le sous-vêtement entame une chute vertigineuse le long de ses cuisses appétissantes et terminent leur chute au pied du lit lorsque j’achève de l’envoyer valser, les yeux rivés avec appréciation sur le fruit d’un désir que je compte bien malmener à ma manière, avec finesse et attention. À table, mon visage se perd entre ses cuisses, premier assaut d’une longue série qui se développe en un long brasier de plusieurs heures. L’étreinte est intense, parfois douce, tendre, romantique ? La fougue l’emporte aussi et nous entraine sur une danse exaltée, sauvage, d’une violence orgasmique qui nous mène tous les deux à nous déchainer, à évacuer le fruit d’une frustration beaucoup trop accumulée qui peut enfin s’exprimer. Au prix d’un énième orgasme, c’est tout le poids de mon corps qui se décale pour ne pas l’écraser et se laisse retomber contre le matelas. Nous sommes complètement en sueur, mes yeux sont occupés à l’observer, à immortaliser l’instant, à apprécier à sa juste valeur les événements qui viennent de se succéder. Je savais que cette nuit serait à la hauteur de nos espérances, je n’ai aucun doute sur ce qu’elle a ressenti. Les meilleures comédiennes du genre ne sauraient atteindre ses grommellements, la contraction de ses muscles lorsque la jouissance s’est emparée de son être tout entier avant même la fin de nos préliminaires, puis autant de fois que je me suis perdu, ivre de sa peau, de ses yeux et de son appétit insatiable pour ma personne. Mon souffle a bien du mal à me revenir, court, mais les mots me reviennent lorsque mon bras, griffé au sang, m’inspire une délicieuse ritournelle. « Aurais-tu oublié notre deal ? Une nuit qui n’affectera pas le reste de notre aventure… C’est loupé. » Je désigne du doigt mon épaule, mes omoplates mais également son cou contre lequel mes lippes se sont resserrées à plusieurs reprises au risque de créer des suçons plus ou moins visibles. Ne plus jamais recommencer, quelle torture... C'était tellement différent. Peut-être était-ce aussi magique pour cette raison justement. La synthèse d'une histoire à quelques jours d'une conclusion annoncée.
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Jeu 16 Juil - 3:28



L'attente en valait clairement le coup et c'est toute l'électricité emmagasiné durant toutes ses semaines qui se libèrent pendant quelques heures. Elle n'en avait pas vraiment douté Kendall, ne s'attendait pas à moins de sa part, de leur part. Elle reprend son souffle sur le côté, la poitrine haletante encore difficilement remise. A leur effigie, le moment a été intense, habité d'une flamme passionnée, parfois tendre mais surtout sauvage, comme le fait très justement remarqué le brun. « Aurais-tu oublié notre deal ? Une nuit qui n’affectera pas le reste de notre aventure… C’est loupé. » Ses yeux se perdent sur sa peau où elle a laissé des traces sous le feu de l'action. Son corps est marqué pour la fin de l'aventure, pour cette dernière semaine si jamais ils ont la chance de se qualifier tous les deux, tout comme celui de la rousse. Et elle ne regrette absolument rien. « Oups » elle lance l'air de rien, venant se saisir de la main du brun, qui lui appartient encore pour quelques heures d'après le contrat oral qu'ils ont passé, pour déposer des baisers sur les petites griffures, pour jouer de ses lèvres, sa langue sur ses doigts avant de remonter sur ce bras maltraité pour lui faire des bisous magiques, finissant par lui dérober un baiser avant de se reculer tout en restant à proximité. Elle ne retient pas un « Je t'aime » d'entre ses lèvres pulpeuses. Les mots résonnent, se suspendent dans les airs, comme s'ils cherchaient à le sonner sans qu'il ait eu le temps de reprendre complètement ses esprits après tous ses efforts physiques. Son regard ne le fuit pas bien au contraire, il part à la conquête du sien, le met presque au défi. Elle ne rate pas une miette de ce que ses aveux peuvent faire ressortir sur son expression facial, ni avec ses yeux, ni avec cette main qu'elle avait posé contre sa poitrine, avide de pouvoir lui soutirer plus que des battements de cœur physique. Pour autant, il ne verra peut-être pas cette étincelle qu'il pourrait avoir l'habitude de lire chez quelqu'un d'autre à la prononciation de cette douce phrase qui fait normalement chavirer les cœurs. Parce que Kendall est comme ça, elle a la capacité de conter des belles paroles sans les penser, à se détacher du sens profond des mots, à les balancer sans y mettre de sentiments. Est-ce le cas actuellement ? Est-ce qu'il s'agit encore d'un de ses tours de passe-passe savamment bien mené ? Est-ce qu'il n'y aurait pas une part de vérité ? Qu'est-ce qu'il signifie au final ce je t'aime, tout est libre à interprétation. « J-e... t'-a-i-m-e » elle répète en articulant de sa voix claire, comme s'il n'avait pas bien entendu la première fois, le ton doux qui ne se défile pas. Et elle revient déposer un baiser sur ses lèvres, délicat, tendre, plus lourd de sens alors que sa main fait le tour de son pectoraux, que ses doigts exercent pression par pression comme s'ils dessinaient les contours de son cœur. Quand elle se recule et que ses yeux s'ouvrent de nouveau, y a cette lueur plus malicieuse qui en ressort, peut-être un peu sournoise, peut-être un peu moqueuse que ça puisse malmener son palpitant si fragile. N'était-ce pas le deal après tout, de passer cette nuit ensemble comme dans un rêve, comme si c'était la dernière. « Est-ce qu'on peut s'aimer toute la nuit ? » Juste cette nuit. Si elle peut facilement se détacher des mots, elle n'avait jamais redit pour autant cette phrase depuis la mort de son fiancé, même pour jouer, même pour de faux. Elle ne s'était jamais retrouvée dans une situation pareille et elle se surprend à apprécier aimer de nouveau. Parce qu'elle l'aimait Tommy, d'une façon particulière, peut-être moins fort que lui mais tout aussi sincère. Qu'elle savait qu'elle le rendait heureux malgré les défauts qu'elle peut avoir, et qu'il en faisait de même avec elle. Qu'avec lui, elle rêvait Kendall. D'un appartement à deux. De mariage. D'enfants. Alors est-ce que Apollon peut faire ça pour elle ? Jouer au petit couple parfait ? Prétendre l'aimer toute la nuit jusqu'à ce que le sommeil les emporte ? La faire rêver de nouveau ?
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Ven 17 Juil - 0:37





Je nourrissais un fantasme démesuré au sujet de cette première fois aux côtés de la belle rousse, au point où cette scène s’était déjà jouée plusieurs fois dans mon esprit au détour d’un rêve nocturne placé sous le signe de l’humidité, d’une chaleur étouffante jusque dans le réveil au petit matin, en sueur, véritablement épuisé par le simple fait d’avoir songé à un tel acte bestial. Si je n’imaginais pas notre rapprochement se jouer de la sorte, dans de telles conditions, je suis maintenant en capacité d’affirmer que la réalité surpasse officiellement le fantasme, et de très loin. Mes ultimes coups de rein me libèrent d’une énième jouissance qui a pour conséquence de m’achever au reste. Une nuit comme celle que nous sommes en train de partager est surement plus demandeuse en endurance qu’un entrainement sportif de plusieurs heures à la salle comme je suis pourtant habitué à le faire quotidiennement. Mes muscles me brûlent, ils tremblent face à la densité de l’effort que nous venons d’accomplir. Mes yeux vont et viennent sur son corps magnifique, nous sommes en sueur, le souffle court, le corps marqué pour plusieurs jours au minimum à en juger par les griffures qui recouvrent ma peau et les premières traces de ces suçons que j’ai eu plaisir à faire naitre contre son corps délicieux. « Oups ! » Je répète, hilare, en offrant à mes lèvres un énième détour le long de son épaule, de sa clavicule, de sa nuque que je mordille pour conquérir ses jumelles brièvement. La vilaine joue avec un brasier qui pourrait très facilement se raviver si elle continue à embrasser mes doigts de la sorte, à les exposer au contact d’une langue que j’ai adoré découvrir dans d’autres postures. Elle recouvre mes blessures de guerre de baisers magiques et je l’observe faire, admiratif, ensorcelé par son être tout entier. Je t’aime. And I’m like :excuseme: pas certain d’avoir bien entendu. Peut-être est-ce l’émotion qui commence à me faire halluciner. Peut-être est-ce la mort qui va m’assassiner Marcia. Ce serait le moment idéal pour que la Faucheuse me recouvre de son voile sombre et mystérieux. Je ne pourrais rêver meilleur moyen de quitter cette Terre, sans aucune souffrance, après avoir pris mon pied, le cœur léger, les peines occultées par le regard envoûtant d’une déesse vivante et le sourire jusqu’aux oreilles. Je ne m’attarde pas davantage sur une hallucination qui provoquerait l’hilarité moqueuse d’une Kendall qui en profiterait pour me rappeler les termes d’un contrat dont j’aurais presque tout oublié. J-e... t'-a-i-m-e. Je n’ai pas rêvé, mes yeux s’adoucissent, mes lippes se transforment, attendries par la prononciation de mots qui font accélérer ce cœur en complet décalage et contre lequel sa main est appuyée. Je pourrais aisément me laisser convaincre par la jeune femme, il ne lui en faudrait pas beaucoup pour me faire chavirer davantage tellement tout ceci semble couler de source. Le naturel et rien d’autre, jamais le moindre nuage, aucune attente si ce n’est le désir d’appréhender chaque instant l'un après l’autre depuis le tout premier jour, depuis ce regard glacial et piquant qui m’a motivé à piquer le premier. Se souvient-elle de cela ? De ma carcasse qui a eu le réflexe stupide de la prendre pour cible sans véritable raison de le faire, par ricochet. « Tu mens ! » Je la contredis, mutin, le souffle étouffé contre nos lèvres que je viens à nouveau sceller habilement pour la réduire à un silence qui m’évitera d’entendre ses bêtises. Je caresse sa poitrine du bout des doigts, effleure son nombril, ses cuisses pour mieux m’engager dans une longue ascension de son buste zéro défaut. J’en dessine chacun des grains de beauté, m’attarde sur chaque cicatrice, chaque petite tâche de naissance et immortalise cette silhouette pour m’assurer de ne plus jamais l’oublier. Est-ce qu'on peut s'aimer toute la nuit ? Je n’arrive pas à contrôler ce palpitant qui tambourine très fort au centre de ma cage thoracique. Je porte cette main qu’elle s’amuse à conserver sur ce point faible contre mes lippes pour l’embrasser délicatement. « Je t’aime et je t’aimerais inconditionnellement jusqu’à ce que le soleil se lève… Jusqu’à ce que tu décides qu’il est temps de mettre fin à tout cela ! Jusqu’à ce que ta peau se décide à abandonner la mienne, jusqu’à ce que tes délicieuses lippes ne soient plus tentées de s’aventurer contre les miennes ! » Je termine, les pulpeuses occupées à prononcer ces mots contre le lobe d’une oreille que je mordille chaudement.
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Re: ~ KISS ME LIKE IT'S A LIE, AS IF I'M YOUR LAST LOVE + Kendall (Vendredi 17/07 23H50)
Sam 18 Juil - 7:41



Le chant de la sirène ne marche pas totalement, n'arrive pas à envoûter @Apollon qui lui rétorque qu'elle ment. C'est qu'on a pas l'habitude de ce genre d'aveux chez la rouquine, de cet élan de romantisme candide à souhait. Ça pourrait même passer pour de la niaiserie s'il n'y avait pas l'ombre de cette sournoiserie qui plane dans l'air, bien décidée à faire tourner sa pompe à sang plus vite, plus fort jusqu'à qu'il explose. Mais au fond, est-ce qu'elle pourrait pas aimer le torturer ? Tant qu'elle pourrait vraiment, le torturer à vie s'il le lui permettait ? Mais il joue quand même le jeu, peu importe si elle dit vrai ou pas parce que cette notion là n'est pas bien importante en ce moment précis, dans cet instant éphémère qui ne comptera pas le lendemain. Et c'est peut-être pour ça que c'est plus facile pour elle de se livrer, parce qu'elle sait que ça ne comptera pas demain. Elle frissonne sous ses doigts sensuels, sous ses lèvres qu'elle goutte de nouveau, ses paroles qu'elle se surprend à apprécier réellement. Elle vient perdre ses doigts sur son corps, incapable de s'en détacher, venant descendre sur une partie qui s'est réveillée de nouveau, annonciateur d'une énième union de leur deux corps. [...]
Une fois de plus ils terminent leur corps luisant de sueur, tremblants, éreintés par l'effort physique. « Je pourrais déménager à New-York.  » elle lui lance pendant qu'ils récupèrent allongés l'un à côté de l'autre, l'air indifférent. Parce qu'il s'agit encore de ça, de poursuivre le rêve, de ce futur à deux qui n'arrivera jamais, comme un simple fantasme qui reste beau uniquement s'il ne devient pas réel. Et elle y arrivera facilement Kendall. Elle laissera tout dans cette chambre, fera abstraction de sentiments, d'attachement, de manque. Elle laissera son cœur ici même, aux Bahamas, dés qu'elle foulera avec sa valise la porte de la suite. Elle se souviendra de cette nuit comme un rêve qu'elle prendra plaisir à se remémorer. « Des aéroports, y en a partout. Et c'est pas comme si j'abandonnais totalement ma vie, j'ai toujours cet appartement à rénover, j'y repasserais régulièrement en même temps pour revoir mes amis » Mais même si elle le devait, elle pourrait tout quitter facilement Kendall, bien trop détachée des gens pour avoir des remords. Elle tente d'imager ce qui se passerait par la suite, comme un film, comme s'il ne s'agissait pas de sa vie, ni de celle d'Apollon mais de deux personnages de fiction. « Avec l'argent que je gagnerai grâce à la victoire, on pourra même rénover notre propre chez nous. On se lancerait une nouvelle fois dans un challenge, on aurait même une pièce chacun à décorer, qu'on dévoilerait l'un à l'autre après plusieurs mois à tout faire pour garder le mystère jusqu'au bout, malgré les tentatives de triches pour dérober la moindre information. » Ca lui ressemblerait bien Kendall, de jouer la fouine quand il est sur pc, à tenter de voir ce qu'il a pu épingler sur pinterest, ou voir ses historiques d'achat sur un site de décoration quelconque. Et bien évidemment, elle finirait par gagner bien qu'il ne se serait pas mal débrouillé. Quoi d'autre ? « Tu veux combien d'enfants ? » elle demande, toujours avec détachement, se rappelant des discussions qu'elle a déjà pu aborder avec son fiancé. « J'en voudrais trois. Deux grandes filles pour avoir la majorité quand on se battra sur quels films aller voir au cinéma ou quand il faudra t'accabler parce que t'auras triché au monopoly. Un petit garçon qu'elles pourront torturer. » Parce qu'elles seront aussi vicieuses que leur mère, ça va s'en dire. Ils feraient de beaux enfants d'ailleurs, les plus beaux du monde. « Et avec qui tu pourras jouer les casse-cous. Qui sera sensible à ton humour pendant que nous on roulera des yeux. Mais tu resteras quand même leur préféré » Parce qu'il sera le papa poule Apollon, elle a aucun doute là-dessus. Celui qui n'a aucune honte. Qui les embarrasse un peu quand il va les chercher à l'école. Il en faut bien un, parce qu'ils peuvent pas être strictes tous les deux. « On jouera au bon flic, mauvais flic pour les faire avouer toute leur petite bêtise. Tu me laisseras être le bon flic de temps en temps ? » elle demande, avec ce petit sourire presque mignon. Et elle finit par s'endormir Kendall, après cette discussion imaginaire, après avoir encore un peu rêver éveillée.



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