Butterfly, butterfly
Where you gonna go tonight?
Wish I was just like you
Maybe then you'll take me high / @dylan
Nue sous sa serviette, la cubaine profite des derniers moment de luxe ostentatoire avant de retrouver une vie à peu près normale. Ce ne sera pas ce à quoi elle est habitué, vu qu’elle a accepté la proposition d’Eli, de partager un temps la maison familiale pour rebondir et trouver ce qu’elle aime faire. Elle réajuste le noeud de sa serviette alors que la température se fait de plus en plus intense à l’intérieur du spa. Une chaleur assommante qui a le dont de détendre chaque partie du corps de Frida. Tout distillant un parfum de calme dans son esprit. Elle est seule et ne s’attend pas tellement à ce que quelqu’un trouble son calme. Et pourtant, lorsqu’elle ouvre un oeil elle croit bien reconnaitre la silhouette sur taillé d’un @Dylan. Elle le scrute d’un oeil méfiant. Même si l’ambiance semble apaisé entre eux, elle reste sur ses gardes. Il pourrait croire que c’est subitement le bon moment pour lui rouler une pelle. Encore. Elle soupire légèrement, parce qu’elle regrette déjà la quiétude du lieu, mais elle ne peut pas le forcer à partir non ? Lui et son statut de finaliste. « Si tu penses que c’est le moment de me rouler une pelle, oublie. » Elle ironise, refermant ses yeux pour goûter un peu plus longtemps à l’ambiance tranquille. Avant qu’il ne se mette à parler, racontes des âneries, parler du nombre de muscles qu’il a acquis pendant cette période au block ou ce genre de choses.

Il hésite à faire demi-tour en voyant @frida. Vraiment. Parce qu'au final, il avait essayé de faire un effort, pendant le prime, pour être sympa ... Mais que la cubaine en avait profité pour l'humilier. Et ça, il l'avait très mal vécu. Obligé, la brune est encore amoureuse de lui et voulait juste le rabaisser pour se venger du fait qu'il l'aimait pas. Obligé. C'était la seule explication possible. Mais soit. Il s'en fout, en vrai: il est en finale, et pas elle. C'est un peu tout ce qui compte à ses yeux, aujourd'hui. Ses tongs claquent avec arrogance entre ses pieds et le sol, le blond ayant complètement abandonnée l'idée de se cacher derrière une serviette sur cette dernière semaine de jeu: tout le monde l'avait déjà vu à poil, tout le monde, ou presque, ne s'était pas fait prier pour le reluquer de la tête aux pieds. Le concernant, sa nudité était une forme de service civique. Euh ... On se calme, hein. C'est pas parce que je t'ai dit que tu baisais bien que direct faut que tu te sentes plus pisser. Y'en a d'autres qui baisent bien, ici, après tout, hein. Eli ... Hayden ... Taj ... Maylis. C'était déjà pas mal, comme liste. Tout le monde sauf @apollon, quoi. Il s'installe alors sur la serviette qu'il avait gardée pliée dans sa main, histoire de ne pas brûler ses fameuses couilles contre le banc. À tous les coups, la brune va lui faire une remarque désobligeante vis-à-vis de sa nudité, et l'obliger à se couvrir, donc il profite du moment tant qu'elle ne s'est pas encore décidée à faire sa grosse reloue de service.

A croire qu’elle avait encore réussit à vexer @Dylan, en même temps c’était si facile. Pour une fois c’était pas tellement intentionnel, il lui avait juste parlé au mauvais moment. Elle n’était pas prête à l’entendre lui parler de ses non-sentiments. Alors avait été un peu dur. Faut dire qu’elle était beaucoup trop focus sur @Zach et sa greluche là. Le mec il arrive les valseuses à l’air et Frida elle réprime un rire. Le mec est sans gêne. S’il avait été seul c’est lui que ça regarde, mais bon là… il impose un peu tout son machin à la vue de Frida, non pas que c’est inédit à son regard. Elle roule des billes quand il lui répond avec ses histoires de baise habituelle. « Je m’en fiche des autres. » Elle a pas l’intention de se comparer aux autres conquêtes de Dylan hein. Parce que clairement elle devra y passer la nuit. Bon puisque lui il est à l’aise là à poile et que Frida à totalement oublié les caméras, elle l’imite et déroule sa serviette pour se retrouver nue sous cette chaleur. Elle offre un regard insolent à Dylan, bah oui s’il la force à avoir en face des yeux sa nudité elle ne voit pas pourquoi elle n’en ferait pas autant. « Alors si tu gagnes, tu fais quoi avec le fric ? » Elle demande, histoire d’essayer d’avoir une conversation, ce qu’ils n’ont jamais vraiment eut, à part pour fomenter une fausse histoire.

Il hausse des épaules à la réponse de la brune. Ok, elle s'en fiche des autres. Cool. Il va pas cacher qu'il est pas blessé, car au final, il avait essayé d'être sympa et de lui dire c'est pas toi, c'est moi, mais au final, elle lui avait plus ou moins ri au nez, quoi, et ça, il le prenait mal. Il reste donc là, en silence, à bouder dans son coin, la chaleur provoquant quelques gouttes de sueur qui perlent sur son front. Malheureusement pour lui, il semblerait que @FRIDA ait décidé de le tourmenter encore un peu en décidant, elle aussi, de se mettre en tenue d'Ève. Les yeux de merlan de Dylan s'écarquillent alors qu'il profite une dernière fois du spectacle – il faut dire qu'il avait jamais vraiment eu l'opportunité de la regarder nue, trop occupé à l'embrasser et à lui embrasser les seins pour réellement se donner le temps d'admirer son corps. Et quel corps. Il commence vraiment à avoir chaud, d'ailleurs, sa gorge se nouant sous la chaleur tandis qu'il éponge son front d'un revers de son avant bras. Heu ... Avec mon fric ? Ouais, faut dire qu'elle l'a bien déconcentré, la cubaine, avec ses bêtises. C'est pas sérieux tout ça. Euh, j'achèterais une villa, il souffle alors péniblement. Ça a l'air bien plus simple et con que ça ne l'était dans sa tête, mais il est trop ... déconcentré pour pouvoir expliquer toutes les subtilités de son plan. ... Et toi ? C'est que la chaleur lui monte à la tête: faut croire que le blond en a même oublié que la cubaine n'était plus en jeu ...

Ce mec est encore plus boudeur qu’elle, c’est pour dire. Il est tenace dans la rancune et s’imagine tellement de trucs dans sa tête. Mais Frida elle est bien décidé à passer un bon petit moment de détente et donc de ne pas rentrer dans son jeu de gars grincheux. Elle laisse couler. Comme elle dit rien sur sa nudité, elle préfère le provoquer avec la vue de sa nudité à elle. C’est lui qui a commencé à se trimbaler le zob à l’air. Ce n’est qu’un juste retour des choses et à dire vrai, la serviette commençait à être de trop. Il n’a fait que lui donner le tempo. Elle remarque sa réaction de ses yeux écarquillés jusqu’à la façon dont il la détaille du regard. Le gars il est plus là et on pourrait même croire que les goûtes de sueurs sont encore plus nombreuses sur ses tempes. Elle garde pour elle l’éclat de rire qui a faillit passer la barrière de ses lèvres. Se décidant à le torturer autrement que par l’ironie. Heu quoi Dylan ? « Oui ton fric. »  Elle insiste, changeant de position pour galber un peu plus le haut de son corps, ramenant ses cheveux en arrière. « A Malibu ? »  Bien sûr à Malibu il ne jure que part cet endroit là. Mais c’est juste pour jouer le jeu des questions. Bon par contre faut qu’elle se calme niveau provocation, parce qu’elle va finir par se faire prendre à son propre jeu, parce que clairement la température elle ne monte pas que de son coté à lui. La façon dont il la regarde, sa nudité à elle, à lui. Ça ne peut faire qu’éclore des pensées pas très religieuses. Il faudra qu’elle se repose sur sa médaille de la vierge qui pend entre ses seins pour la sauver de cette situation dangereuse. Médaille qu’elle vient effleurer de sa main, en même temps que la courbe de son sein droit.

Il tente vraiment, du mieux qu'il le peut, de répondre aux interrogations de la brune. Mais le blond est faible. Une paire de seins, des lèvres pulpeuses, un corps dénudé suffisent à lui faire perdre tous ses moyens, ainsi que l'usage de ses cinq sens. Il a beau ne pas être amoureux de la brune, incapable d'aimer quoi que ce soit d'autre que sa petite personne privilégiée, le blond ne la désire pas moins pour autant. Comme il l'avait toujours désirée, en réalité. Il avait beau l'avoir prise en grippe dès son entrée en jeu, la cubaine était un joli spécimen. Il lui aurait fallu être aveugle pour ne pas le remarquer. La cubaine semble d'ailleurs se jouer de sa faiblesse, abusant de la vulnérabilité de Dylan à la beauté de son corps pour le torturer longuement de façon sensuelle et langoureuse. Le blond protesterait bien s'il était en état de le réaliser. En l'état, tout ce qu'il est capable de faire, c'est de s'empêcher de bander pour ne pas s'humilier complètement face à la brune. Euh ... Ouais, À Malibu ... Pour commencer. Il y a bien plus à dire au sujet mais Dylan est trop obnubilé par Frida pour pouvoir en dire davantage. Il a tellement chaud qu'il cherche désespérément, du coin de l'oeil, un verre d'eau, bien conscient qu'il ne risque pourtant pas d'en trouver. S'il portait une chemise, il tenterait d'ailleurs de réajuster son col pour laisser davantage d'air entrer près de son cou. Mais le blond ne porte pas de chemise et la chaleur ne semble pas vouloir partir pour autant. Bouche-bée et sans voix, il se retrouve impuissant, face à la cubaine qui joue avec le médaillon qu'elle a entre les deux seins, et le blond tente, véritablement, de résister à la trajectoire que lui encourage ce mouvement, mais au final, Dylan est faible, et ne peut donc pas s'empêcher de fixer ce médaillon de ses deux yeux pervers. Et par instinct, voilà qu'il vient attraper le médaillon qu'il porte lui-même autour du cou, la croix volée à @zach quelques semaines plus tôt qu'il peut fièrement porter maintenant que le brun n'est plus en jeu. Et il la porte à ses lèvres pour pouvoir mordiller dessus, nerveusement. Tant pis si ça lui abîme les dents. La sueur continue de perler à son front, et sur tout le reste de son corps, en vérité. Ses cheveux lui collent à la peau. Heu ... C'est moi ou il fait super chaud, tout d'un cou ? Il demande finalement, le médaillon se libérant de l'emprise de ses dents pour venir enlacer son pectoral droit, tandis que le blond s'éponge, de nouveau, le front d'un revers de son avant-bras.

Le blond est dans tous ses états. Mais c’est lui le fautif. Il pensait quoi ? Que ce serait sans conséquence de venir se trimbaler à poil ici, de balancer à sa vue son intimité ? @dylan ne pouvait pas savoir qu’il y trouverait Frida. Mais quand il est entré il aurait du anticiper en posant ses yeux sur elle, qu’elle irait dans la provocation. C’est son truc à elle. Et puis aujourd’hui que reste-t-il de leur relation ? A part cette animosité qui se confond bien souvent avec une attirance réciproque. Elle est passée à autre chose. Ne ressent plus rien pour lui, mais il faudrait être aveugle pour ne pas désirer le corps qui s’impose à sa vue. Alors elle joue. Elle a conscience qu’il s’agit d’un jeu dangereux. Mais l’excitation est déjà bien trop grande. Alors elle continue de lui poser des questions, maitre de la situation. Observant ses réactions avec un sourire malicieux sur ses lèvres pulpeuses, qu’elle mordille de temps à autre, sans le quitter des yeux. « Pour commencer ? » Elle répète à l’interrogative, souhaitant le pousser un peu plus loin dans ses retranchements. Il n’est pas bavard, il a le regard fuyant. Et Frida elle n’attend qu’une chose, c’est que le truc dont il est si fière et qui se tient entre ses jambes se dresse face au comportement de Frida. Et quand elle vient jouer avec sa médaille de la vierge qui habille son décolleté, le regard du blond se veut plus intense. Il glisse sur ses seins. Monsieur est concentré, dévie son attention sur sa propre croix à lui. Frida l’observe le métal entre les dents, les gouttelettes de sueur s’accumuler autour de ses tempes. Est-ce qu’il fait super chaud d’un coup ? « C’est le principe du sauna non ? » Elle questionne encore, décidé à aller encore plus dans la provocation. Frida elle n’a pas froid aux yeux et les caméras elles sont bien loin dans son esprit. Alors qu’elle porte à ses lèvres sa propre médaille, qu’elle mordille avec sensualité, ses cuisses s’écartent légèrement. Un air de défi sur le regard, sa main droite glisse dangereusement plus au sud. Après tout il n’est pas obligé de participer non ? L’index caressant la courbe de son intimité, elle ne le quitte pas des yeux. Combien de temps vas-t-il encore résister ? Vas-t-elle devoir avoir un orgasme devant ses yeux pour qu’il réagisse ? Un soupire de plaisir animant ses pulpeuses, elle attend sa réaction.

Il a du mal à rester focalisé, mais il fait l'effort, pour ne pas trahir ses pensées les plus intimes. Euh ... Ouais. Après, je la revends et j'en rachète deux. Et cetera... Elle semble cruellement. chercher à l'aguicher, avec son regard de vile séductrice et ses lèvres aguicheuses. La bible avait raison: les femmes étaient toutes des viles tentatrices qui assureraient, inévitablement, à eux, les hommes 'bons'. Tentant, tant bien que mal de résister aux avances de la brune, conscient que succomber à ses charmes pourrait avoir de nouveau des conséquences désastreuses pour lui, le blond se retrouve finalement à tenter de changer le sujet en parlant de la température. Autant le dire: il s'agit là d'un échec cuisant. Euh ... Ouais, sans doute, il affirme donc, d'une voix douce, bien que pensive. La brune augmente alors ce jeu de roulette russe d'un cran, jouant à un jeu dangereux, voire même fatal pour le blond, qui demeure complètement sans défenses face aux mouvement innocent de sa main qui glisse dangereusement en direction de sa vulve. Le blond ne parvient plus à contenir le flot de sang qui menace d'éveiller ses sens, le laissant affluer, de façon torrentielle, presque instantanée, le long des veines de son sexe habituellement si entreprenant. Si ça ne tenait qu'à lui, ses mains seraient déjà perdues entre les cheveux soyeux de la brune, leurs lèvres s'entrechoquant dans une douce danse sensuelle et téméraire. Mais ça ne tient pas qu'à lui, et non désireux de perdre l'usage de ses couilles suite à une nouvelle agression de la part de la brune, le blond pose ses coudes sur ses genoux pour appuyer sa tête sur ses mains, portant son regard vers le sol en espérant que cette nouvelle position obscurcira son érection monstre suffisamment longtemps pour que la cubaine n'ait pas le temps de la remarquer. Bien qu'il se doute que c'était probablement déjà bien trop tard pour ça.

Peut-être qu’il ne s’en rend pas compte, mais c’est lui qui avait commencé les hostilités. Frida n’avait fait que répondre et aller toujours plus loin. Parce que c’est dans sa nature de repousser les limites, de tester les gens qui l’entoure. Et plus la chaleur monte dans le spa, plus elle a envie de passer un dernier moment sympa avec Dylan. Et lui comme elle, savent qu’ils n’avaient passé que des moments sympas en ce qui concerne le sexe. Sauf que bien sûr Monsieur est certainement toujours fâché pour quelque chose qui dépasser Frida. Alors qu’elle réussissait à mettre de coté tout ce qu’il y a de négatif en lui, pour ne penser qu’à ce qui avait été important entre eux. Elle initie une conversation, juste parce qu’ils ne parlent jamais habituellement et qu’elle voit bien qu’il n’a pas du tout toute sa concentration pour lui. Elle nue, qui le chauffe ouvertement. Faisant fit des caméras ou de la vitre qui offre un spectacle intéressant à n’importe qui qui passerait sur le toit. « Ah oui t’es dans l’immobilier c’est ça ? » Il va investir. Elle pourrait pousser la chose à lui demander des détails plus techniques. Mais son esprit à elle est accroché par la seule idée de l’exciter. Il tente quelque chose en parlant de la chaleur ambiante. Elle précise que c’est le but d’un sauna. Elle sait très bien qu’il ne parlait pas de ça. Mais la seule pensée de toujours réussir à le déstabilisé l’enchante. Alors elle augmente son jeu, écarte légèrement les cuisses pour venir caresser son intimité. Elle voit bien qu’il réagit immédiatement. Et il a beau se mettre dans une position étrange pour le cacher à la brune, mais ça ne fait aucun doute. Il se dresse face au spectacle qu’elle lui offre. Pendant qu’il regarde vers le sol, bien décidé à ne pas succomber ? N’en a t-il pas autant envie qu’elle ? De terminer cette relation chaotique sur une note positive ? Elle glisse jusqu’à se retrouver juste à coté de lui. Arrêtant un instant son manège pour se saisir de la main droite de Dylan, qu’elle dépose sur sa cuisse. « Tu préfères que j’arrête ? Je peux m’en aller aussi. » Ce n’est pas un problème. Le but était de l’exciter jusqu’à un point de non-retour. Et vu comment sa queue se dresse entre ses jambes, le but est largement atteint. Mais bien sûr qu’elle n’imposera rien. « On se reverra plus après. » Elle ajoute, effleurant les muscles de son bras avec son sein gauche. « Ce n’est pas un piège. » Elle termine, le sachant déjà entrain de se demander si elle n’a pas échafauder un plan pour l’humilier et le faire perdre la victoire. Ce n’est pas ça. C’est juste l’envie du moment.

Ouais, ouais, dans l'immobilier ... Qu'il répond à demi-voix. Une mèche des cheveux de la brune tombe alors devant ses seins, lui barrant la vue, et il se retient de justesse de lui demander de se recoiffer pour pouvoir profiter du spectacle de nouveau. De justesse. Au final, la brune continue de tenter de l'aguicher, le corps du blond réagissant davantage qu'il ne l'aurait souhaité. Pour sa part, il abaisse ses yeux pour tenter de réduire la tentation qui le gagne, ce qui explique pourquoi il ne remarque la proximité de la brune que lorsqu'elle est à deux doigts de lui. C'est pas plutôt moi qui devrais te la poser, cette question ? Il demande finalement, toujours sans relever son regard. Mais pour seule réponse, la cubaine lui répond qu'ils se reverront plus, après ... Et le pire, dans tout ça, c'est qu'elle n'a pas tord. Il est tellement perdu dans son hésitation qu'il n'entend même pas la dernière réflexion de la brune, se focalisant plutôt sur le moelleux de son sein contre son biceps de bodybuilder en carton.