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 love me again (weeks after OMB final)


i'm from season one, b*tch
Frida
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Frida



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Emploi : cuban diva

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love me again (weeks after OMB final)
Dim 26 Juil - 12:38



- I guess we were a little too young
I was a little too proud, yeah
We were a little too dumb
I was a little too wild, yeah -

@eli


Ça fait quelques semaines que OMB est terminé pour les candidats. Elle ne s’en est pas rendu compte la cubaine. Parce qu’elle avait été entrainé dans l’effervescence de cette fin d’émission. Avec cette petite notoriété qui lui colle à la peau. Il n’y avait bien que dans le sanctuaire que lui a offert Eli, qu’elle pouvait se reposer au début. Elle essayait de garder la tête froide, mais les invitations à des soirées, les cadeaux, les opportunités, elle avait du mal à les refuser. Si bien qu’on avait tendance à la voir un peu trop présente en ce moment, à la radio, dans les magasines et parfois même à la télévision. Elle surfait sur cette vague. Profitant de cette notoriété salvatrice pour ajouter des moments incroyable à sa collection. Ne pas perdre la tête était presque surhumain, quand on avait une personnalité comme celle de Frida. Toujours en demande d’être aimé, de briller, d’être vu. Et elle avait droit à tout ça depuis sa sortie et pas forcément des bonnes personnes. Elle avait accordé des interview a des magasines limites, balançant des commérages qui n’aurait certainement jamais du sortir de sa bouche. Elle parlait notamment de son histoire avec Zach, de cette fausse relation avec Dylan. Et d’un point de vue extérieur ça pouvait paraitre assez cruel, ce qu’elle distillait de manière pas trop consciente, se faisait piéger par des questions racoleuses, ne maitrisant pas la spontanéité qui brulait ses lèvres. Elle était chanceuse d’avoir les parents d’Eli pour la faire garder les pieds sur terre, parce qu’ils étaient emprunt d’une normalité et d’une bienveillance qui lui faisait oublier les rendez-vous, les nombres de likes, les followers. Qu’il suffisait qu’ils se retrouvent autour d’un bon diner qu’ils préparaient ensemble, ou simplement à prendre le café en discutant de tout et de rien pour que la gamine elle retrouve son innocence, sa réalité. Parce que dehors, elle avait trop tendance encore, à revêtir les traits d’une fausse Frida, riche de tout sauf d’argent. Les traits de cette voleuse qui se racontait comme la star qu’elle n’était pas. Et elle manquait parfois d’authenticité quand elle apparaissait sur le grand écran pour raconter son aventure, ses manipulations, évitant soigneusement les sujets comme: Cuba, sa famille, sa mère. Alors qu’elle termine d’écrire la captation de sa prochaine publication instagram, elle ferme la porte derrière elle. Lunettes vissées sur le nez, capuche, jogging et grosse baskets, elle croit passer incognito. Surtout depuis qu’elle a troqué sa longue chevelure brune pour un peu plus courte, plus claire et surtout avec cette jolie frange qui habille son front. Mais il est arrivé qu’on la suive jusqu’ici, trompant la tranquillité du couple qui l’héberge. Pour le moment elle était tranquillement dans les rues new-yorkaise, tentant de ne pas encore se tromper de direction pour rejoindre Manhattan et l’appartement d’Eli. Etrangement tranquille tout le long du trajet, elle a le temps de poster sa photo, publier quelques tweets, faire des story dans le métro, répondre à quelques messages, regarder ses mails. Des messages elle en avait plein Frida, mais pas de ceux qui comptaient vraiment. Elle n’avait pas encore eut le courage de recontacter sa famille, se disant qu’elle le ferait quand elle aurait de quoi envoyer de l’argent. Mais dans sa petite tête compliquée, elle espérait tous les jours avoir un message de « Papa » ou de « Malu ». Mais rien, tout les jours une déception quand le matin elle n’avait pas la notification qu’elle souhaitait. Un sourire s’échappe de ses pulpeuses, alors qu’elle manquerait presque de descendre à la bonne station. Montant les marches très vite, elle se retrouve bien rapidement happé par une petite horde de « fans » qui demandes photos et autographe. Elle s’y plie, parce que ça gonfle son orgueil, mais ça la rend encore plus en retard que prévu. Après tout elle l’avait cherché, en publiant dans sa story qu’elle se trouvait dans cette ligne là. Eli va s’impatienter. Surtout qu’elle censé ramer les cafés et qu’elle ne s’est pas encore engouffré dans le Starbuck en question. Après plusieurs minutes elle ressort avec les boissons dans les bras, avec une bonne heure de retard sur l’heure du rendez-vous. C’est donc une Frida adorable qui frappe à la porte, les bras chargés. Ses lunettes sur le bout du nez, la bouche qui se confond en excuse, Eli ouvre la porte. « Lo Siennnnnto. » Elle marmonne en s’engouffrant dans son appartement. « J’ai rencontré une horde de zombie. » C’est comme ça qu’elle les appelle, les gens qui la suive pour un selfie. « Oh et avant que j’oublie, ta mère veut récupérer son plat là, de l’autre fois. » Elle sait pas du tout ce quel plat il s’agit en réalité, mais lui il saura. Et Frida va devoir se le taper sur le chemin du retour.
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Eli
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Eli



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Re: love me again (weeks after OMB final)
Dim 26 Juil - 22:31



les jours passent, et s'il faut bien admettre que sa vie est un peu différente de celle d'avant, il a fait de son mieux pour revenir à une normalité stable. si on l'arrête parfois dans la rue, s'il a peut-être un peu plus l'oeil sur les réseaux sociaux qu'avant, il est revenu à l'important. sa famille, son job, aider @frida à s'installer, passer le plus clair de son temps libre avec @noah, sans s'oublier non plus. revoir ses proches, d'avant ou du block. c'est que s'il a été plus qu'heureux de retrouver un miles pas vraiment oublié, il n'a pas non plus lâché les basques d'@apollon, plein de projets ou de @raffaele, qui a retrouvé le queen's et ses petits frères. il fallait retrouver du monde, et repasser à une vie plus ouverte. que celle du block. que celle qu'il s'est infligée en parallèle de la thérapie, ces dernières années, à ne sortir que peu, à se focaliser sur ces deux choses qui lui apportaient un tant soi peu d'équilibre. des étiquettes. pompier. padre. mais maintenant, il redevient lui, réussit mieux à jongler, à trouver un juste milieu. refuse les interviews, d'être au centre de l'attention. parce que ça n'a jamais été son but. il n'empêche que son dernier date en date a eu droit à une note en page six du post. pas vraiment ce qu'il cherchait, mais ils auront au moins jugé bon de ne laisser que des petits caractères, dans un 'spotted' pas très intéressant. le manque de photo est apprécié, l'adresse de ce bar dans lequel il traîne trop souvent un peu moins. mais peu importe. ce n'est pas, sur cette journée-là, au centre de ses priorités. et s'il a pris son service à cinq heures du matin, et aurait largement dû être rentré pour cinq heures, au moment ou frida devait se pointer chez lui, un incendie en aura décidé autrement. il n'est pas chez lui à l'heure dite. les joies du métier, ça, et puer le cramé. mais elle n'est pas là non plus, à attendre devant la porte ou dans l'entrée, quand il congédie la baby-sitter de noah. donc il saute sur la douche, histoire d'accueillir la jeune femme comme il se doit quand elle se décidera d'arriver. c'est qu'il est devenu un peu habitué, à ses retards. et une fois changé, il n'a qu'à jeter un œil à ses réseaux sociaux pour savoir exactement pourquoi elle est en retard. pour sa propre sécurité, faut vraiment qu'elle arrête de poster sa localisation en non-stop, la gosse. mais quelqu'un frappe enfin à la porte - et ça ne peut être qu'elle. assez mignonne pour ne pas avoir oublié les cafés. « t'inquiète, je viens de remonter. » qu'il lui réponds avec un sourire, avant de la décharger. les verres en cartons, sur le piano, un peu plus loin, avant qu'il ne l'attire dans ses bras pour la serrer un moment. pas grand-chose, mais c'est devenu routinier. puis, elle le connait, maintenant. toujours un peu trop tactile. « t'es pas très sympa avec eux, ils t'adorent. t'sais, ce seront les premiers à acheter ton cd, le jour ou il sortira. » et la blague à un petit gout de réel. parce que maintenant plus que jamais, il sait qu'elle y arrivera. par la force de son talent, peut-être, mais aussi parce que la notoriété que trop d'entre eux ont acquis, en dehors, est sûrement plus importante que ce qu'il aurait imaginé. et il acquiesce légèrement à la suite. « celui qu'elle m'a filé vendredi, yep, je te le passerais. merci. » un baiser sur son front, avant qu'il ne recule un peu, pour s'appuyer contre le piano. « sinon, ça va ? et je te le demande honnêtement, pas comme le présentateur radio d'hier qui t'as pas laissé en placer une. » c'est qu'il a beau ne pas souvent prêter attention à ce qu'on dit sur eux, eli, il ne manque pas une seule des interviews, souvent foireuses de la cubaine. quitte à rouler des yeux, à l'entendre trop jouer un rôle. mais il ne peut pas lui en vouloir d'essayer de faire durer la lumière. elle est sûrement un peu trop en manque d'attention. et ce qu'il veut lui donner, c'en est une autre forme - peut-être plus saine que celle des projecteurs.
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Re: love me again (weeks after OMB final)
Lun 27 Juil - 20:00



Depuis la sortie elle se laissait beaucoup trop happé par cette fame qui arriverait bien à lui monter à la tête si elle n’était si bien entourée. Entre Eli, ses parents et certains anciens avec qui elle garde le contacte, elle devrait réussir à garder la tête froide. Enfin, si on lui miroite pas trop de belles choses dont elle n’a pas tellement besoin. Elle devrait se concentrer sur les trucs important. Nyu, sa régularisation. Au de lieu de ça elle se laisse monter la tête par des choses aussi futile que des interview à la chaine. On l’encense, parle d’elle comme d’une star, d’une personnalité déroutante et détonante et son orgueil il se gonfle. Elle se rend pas tellement compte que dans le fond on se sert d’elle, de sa naïveté de ses boulettes pour obtenir des info exclusive sur l’intérieur du block. Elle joue le jeu, parce qu’elle aime la lumière, l’attention, cette fausse affection qu’on semble lui porter. Elle arrive en retard, bien sûr. Entre les zombies et sa façon bien à elle de comprendre les horaires. De toute façon il semble être tout juste rentré au vu de l’humidité qui s’accumule toujours autour de ses tempes. Une douche récente. Il lui confirme, la débarrassant des cafés qu’il dépose près du piano qu’elle vient que trop souvent squatter. Elle se laisse entrainer dans ses câlins habituels, qu’elle apprécie toujours autant. Sa petite tête s’installant brièvement sur son torse. Elle retire ses lunettes de star. « Pfff, faudrait déjà qu’on me contacte pour autre chose que des interview ou des collaborations avec des marques nulles. » Elle se plaindrait presque. Mais pour l’instant y a pas de producteur qui frappe à la porte, y a des gratteurs. La capuche tombe, en même temps que son hoodie qu’elle dépose dans un coin du salon. Ils parlent de ce fameux plat que maman Eli veut récupérer et il dépose un baiser sur son front. « Ouais ça doit être celui-là. » Elle en sait rien, elle fait pas attention aux plats Frida. Elle fait la moue, parce qu’elle sent le sermon venir. Elle passe trop de temps à dire de la merde, elle sait. Mais ce gars là en question ouais, il parlait beaucoup qu’elle et arrêtait de lui faire dire des trucs qu’elle pense même pas. « Je pète le feu. » Elle ironise en sautant par dessus le canapé pour s’installer. Réalisant qu’elle a oublié de prendre son café. « J’ai pas de nouvelles des filles ou de mon père. » Elle finit par lâcher, jouant avec un bibelot qui traine sur la table basse. « Il est où le plus mignon là ? » Elle change de sujet, parce que Noah il est pas dans les parages là. Un bon moyen pour éviter les sujets qui fâche. Il connait le fonctionnement de la gamine maintenant, elle vit pour l’évitement. Même si elle fait des efforts.
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Re: love me again (weeks after OMB final)
Mar 28 Juil - 0:13



dans ses bras, elle reprend ses airs gamins qui sont un peu tombés, depuis leur sortie. c'est qu'elle a tous les airs d'une star, et elle leur en donne à voir, au public. et au fond - pourquoi pas ? tant que le tout ne la bouffe pas, ça ne devrait pas être un problème. mais il sait qu'elle n'a jamais eu droit à ce genre d'attention @frida, avant. et pour être honnête, lui non plus. ce n'est probablement le cas d'aucun des ex-habitants du block. mais elle, plus que les autres, à tendance à en dire trop, à lâcher des bombes, pour faire vivre son nom sous les projecteurs. se rapprocher de l'image de la petite princesse des instagrams de cette double-vite qu'elle s'était imaginée. et s'il n'est personne pour l'en empêcher, eli, il peut juste espérer de pouvoir l'aider à garder un certain équilibre. lui sourit, quand elle recule enfin, avec cette mine faussement dépitée. c'est qu'elle est loin d'être au bout de son chemin. c'est même plus un début qu'autre chose. « c'est déjà pas mal, non ? puis, t'es pas obligée d'accepter les trucs que tu sens pas pour te faire plus de followers. concentre toi sur ce qui est important, plutôt. t'as la rentrée dans deux mois, et les shows au bar qui commencent bientôt, si j'ai tout suivi. les choses vont venir, faut juste pas que tu te laisses emporter par ceux qui veulent... une image à imprimer dans la presse à scandale. tu vaux mieux que ça. » de ça, il en est persuadé. et il ne veut pas lui faire la morale, juste essayer de l'aiguiller. avec son visa en bonne voix pour être approuvé, ce serait con qu'elle gaspille ses chances pour dix minutes de succès qui s'éteindront bien à un moment. quand la saison deux commencera, peut-être. autant qu'elle use de son talent à bon escient, pour garder tout ça. et elle va bien, soi-disent. prends ses aises. et il se pose près d'elle, lui tendant son café, avant de se mettre en tailleur. parce qu'elle glisse des informations plus importante que n'importe quelle connerie qu'on pourrait lui faire dire à la radio ou sur internet. la frida plus humaine, celle qu'il a appris à connaitre, au fil des semaines, dedans, et dehors. celle à laquelle il faut qu'elle s'accroche. et ils ne donnent pas de nouvelles. il en est attristé, sait que sa famille lui manque mais - après tout... peut-être qu'il faudrait qu'elle fasse un pas vers eux. « mh... et t'as pensé à leur en envoyer des tiennes, peut-être ? » ils ont sûrement vu les images, aux bahamas, ou dans le block, quand elle parlait d'eux. mais peut-être que c'est une histoire de fierté, peut-être qu'ils ne sont pas certains qu'elle en veuille, des nouvelles. et il essaie de l'encourager, avec bienveillance, parce qu'elle n'a besoin de rien d'autre. a sûrement déjà été assez jugée pour ses actes, par des gens qui n'ont pas pris le temps de la connaitre. pour sa fuite. il ne sera pas de ceux-là. et autant qu'elle puisse aller à son rythme, il sait qu'elle a parfois besoin d'un léger coup de pieds aux fesses. et vu qu'elle en souffre, de ce manque d'eux, il lui donnera bien volontiers, pour qu'elle puisse au moins tenter de les retrouver. « sur mon ordi devant la reine des neiges, j'pense pas qu'il ait entendu la porte. » ce film n'est plus autorisé sur la télé familiale. sans animosité aucune contre lui, let it go en boucle, quelle que soit la langue, c'est mignon, mais devenu sujet au 'non, tout mais pas ça' après six visionnages. et à la seconde ou il va retirer ses écouteurs, et se rendre compte de l'arrivée de frida, il va sûrement débouler en courant le gamin. déjà trop attaché à la jeune femme. c'est qu'elle s'est greffée bien aisément à cette famille-là. peut-être pas sienne par le sang, ou l'histoire, mais elle y a quand même sa place. et il espère bien que c'est pour longtemps. « tiens, d'ailleurs - au bar, tu commences quand au final ? que je fasse en sorte de pas être de garde. »



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