Ça y est, Bianca était devenue une grande fan de cet endroit après avoir passé une soirée entre filles avec la belle @Astrea. Ce soir alors qu'elle était sortie sur la Terrasse pour s'aérer après le diner elle avait croisé le beau @Clay. Tous deux n'avaient que très peu échangé depuis le début du jeu et même si elle le trouvait plutôt sympathique elle n'avait jamais fait le premier pas. Peut-être s'attendait-elle à ce qu'il le fasse ? Quoi qu'il en soit ce soir elle a prit les choses en main et c'est pour ça qu'ils se retrouvent tous les deux suspendus sous le plus gros arbre de la propriété. Qu'est-ce que c'est apaisant d'être ici ! Elle fermait les yeux pour sentir le vent sur son visage et dans ses cheveux, avant de pouffer de rire. On dirait @Violette là ! Elle se tourne vers son camarade brun, qui avait apporté une bonne bouteille de champagne suite à ses recommandations. Alors dis moi à quoi tu veux trinquer ce soir ?

@Bianca, elle le rassure pas des masses, notamment parce que les gens trop sûrs d’eux le rendent dubitatif quant à leur réel état mental. Trop de personnes surjouent la confiance et cachent des failles gigantesques au fond d’eux. Mauvais choix au possible, parce que les autres personnes ont tendance à être agressives envers ces pseudo narcissiques qui, souvent, sont tout l’inverse en réalité. Ne sachant trop s’il doit la chambrer pour la remettre à sa place ou se montrer indulgent, Clay accepte de suivre Bianca à l’extérieur, une bouteille de champ et deux coupes avec lui, et grimpe pour la rejoindre dans les fauteuils suspendus. Depuis le début, Bianca argue à tout va qu’elle est irrésistible et son temps semble consacré à deux choses : elle-même et les hommes. Lors du prime, l’une des questions posées à Bianca a reflété son état d’esprit : est-ce que ton secret va changer radicalement la perception, plutôt superficielle, qu’on a tous de toi ? Réponse de l’intéressée : yes. Ça, c’est une nouvelle. Intrigué par son secret, Clay fait sauter le bouchon du champagne glacé qu’il verse dans les coupes et s’apprête à trinquer. — A la femme qui se cache derrière l’actrice, dit-il en faisant tinter son verre contre le sien. Bianca, elle lui fait penser à Marilyn Monroe, autant pour les bons côtés que pour ceux, plus sombres, qui ont parsemé son histoire.

Elle l'avait senti fébrile à l'idée de la suivre et de passer la soirée à ses côtés. Mais si Bianca avait fait cette proposition au charmant @Clay c'était principalement pour apprendre à le connaître, peut-être n'en n'avait-il finalement pas l'envie ni le désir. L'image que renvoyait la blonde pouvait rendre perplexe ses colocataires mais quiconque passera du temps avec elle s'apercevra que ce n'est que la surface de l'iceberg. Si les membres de la team jaune pouvaient témoigner en sa faveur peut-être que sa vie au sein du block serait plus agitée. Pour l'heure, elle passe beaucoup de temps seule et isolée. Si en temps normal ça ne la dérange pas plus que ça, au bout de trois semaines d'enfermement sans voir son fils ça commence un peu à lui peser. Le toast porté par Clay la fait gentiment sourire. Je te remercie ! La voilà rassurée, s'il avait accepté sa requête de l'accompagner jusqu'ici c'était pour bel et bien creuser plus loin derrière les apparences. Tchin. T'as pas une bonne image de moi, je me trompe ? qu'elle ose demander en trempant ses lèvres dans sa coupe. Une réponse positive de sa part ne la fera pas monter sur ses grands chevaux, elle est habituée à tout ça. J'ai déjà bu mais, j'aimerais trinquer moi aussi. Elle sourit et marque un silence : À cette émission... qui me permettra peut-être de renvoyer autre chose qu'un reflet faussé de moi-même à l'avenir ! C'est tout ce que je me souhaite en tout cas.

Le sourire, plus doux que carnassier, que @Bianca lui adresse le détend et le met peu à peu en confiance. Ils trinquent et chacun avalent une gorgée en son honneur, ou plutôt, en celui de la Bianca de son secret, et non de la pseudo femme fatale qui le crie trop sur tous les toits pour que ce soit crédible sur la durée. A sa question, Clay et son tact habituel acquiescent de la tête. — Pas ouf non. Tu jouais un personnage en arrivant ici, un peu comme tout le monde – surtout les filles. Mais depuis, les gens sont redescendus et montrent d’autres facettes d’eux-mêmes, des trucs attachants, des trucs… vrais, tangibles, tu vois c’que je veux dire ? A part Walter, fidèle à ce qu’il a montré dès le début. Il soupire. Il y a des gens qui sont des personnages. Ils vivent dans leur personnage et le personnage finit par se confondre avec eux et il n’y a pas de problème. Ils n’en souffrent d’ailleurs pas, car à leurs propres yeux, ils sont en totale cohérence. Mais quand on lit un peu de tristesse dans le regard d’un homme ou d’une femme, alors on peut deviner si on n’est pas trop con, qu’il y autre chose qui ne veut pas se montrer complètement. — C’est pour ça que j’attendais le prime et le détecteur de mensonges. Je voulais vraiment savoir… … Ton secret. Si seulement il pouvait gagner quelques foutus indices… Mais cette roulette à la con ne l’a pas à la bonne, on dirait, et il n’ose plus la faire tourner. Il trinque avec elle pour la seconde fois. A l’émission, qui lui permettra de montrer autre chose d’elle-même, quelque chose de plus… tangible que cette femme inaccessible digne de la page Wikipédia d’une actrice quelconque, finalement. — Donne-moi trois adjectifs que ta mère donnerait pour te définir si on lui posait la question. Pas elle-même, non, parce que quand Bianca parle d’elle, elle parle de son personnage, de ce qu’elle voudrait être. Demandez à votre mère ou votre sœur ou votre frère de balancer trois adjectifs sur vous, et ils seront probablement plus véridiques que tout ce que pourriez imaginer à votre propre sujet.

À la question de la blonde, elle savait pertinemment quelle serait la réponse que le beau @Clay lui donnerait. Apparement le brun savait lire entre les lignes, ou du moins il était désireux de le faire et ne se contentait pas d'à prioris pour juger la personne face à lui, c'était tout à son honneur. Rectification, je joue un personnage dans ma vie de tous les jours ! C'est pas pour cette émission qu'elle a fait l'effort de se créer une image de vie parfaite. Dans le milieu où je travaille il faut être le prédateur plutôt que la proie. Encore plus quand tu es une femme. Ce genre de discours on l'entendait chaque jour sur les réseaux sociaux et dans les médias, mais c'était bel et bien la réalité des choses et elle le vivait chaque jour. Je vois ce que tu veux dire. Et je préfère ça aussi si ça peut te rassurer. Bien sûr son rôle de peste blonde n'était pas juste sorti du chapeau d'un magicien, elle ne s'était contentée que de masquer certains traits de caractères pour en exagérer d'autres, mais au fond son tempérament était le même. Ah, Walter... Elle buvait une gorgée de champagne quand Clay prononçait le nom du doyen du block. Si tu veux mon avis, c'est lui qui aurait bien besoin des conseils d'un psy. Ce que je lui ai vivement conseillé de faire d'ailleurs, après qu'il ne m'aie insulté. Cet homme était définitivement un OVNI, plus encore que Shadi ou Maggie, c'est à dire qu'il y avait de quoi faire avec ce casting. Elle était de toi, la question sur mon secret ? Si c'était vrai alors ça voulait dire que Clay était intriguée par elle et qu'il ne s'intéressait pas à la blonde juste pour sa superficialité apparente, chose qu'elle appréciait. J'espère t'avoir rassuré alors, même si je ne suis pas certaine qu'apprendre mon secret te fera totalement changer l'image que tu as de moi. Elle préférait être honnête avec le garçon, qu'il ne mise pas trop sur elle au point de finir déçu. Tu me verras différemment c'est sûr, mais peut-être pas en bien. Tout dépendrait de lui. Elle joue avec ses bagues aux doigts, réfléchissant à quelle réponse donner à cette question que jamais personne ne lui avait posée, et qu'elle même ne s'était jamais posée. En fin de compte, savoir ce que nos parents pensent de nous ce n'est pas évident. Entre ce qu'ils disent pour nous faire plaisir et la réalité... Je ne suis pas sûre, mais je crois qu'elle dirait de moi que... elle plonge son regard dans celui du brun : que je suis ambitieuse, compétitive et... trop exigeante. Ça ce serait pour le côté pro. Côté vie privée... curieuse, amusante et un peu trop solitaire. Elle s'était prêtée au jeu des adjectifs et peut-être que ça avait débloqué quelque chose en elle, quelque chose qui lui procurait des frissons dans tout le corps, allant jusqu'à lui donner la chair de poule sur les bras et les jambes. C'est toi le vrai psychologue de la maison. J'espère que tes séances sont gratuites, je n'ai plus grand chose sur mon compte tu sais. Merci le prime et merci les choix de certains résidents. Et toi, les trois adjectifs que tu donnerais pour me décrire ça serait quoi ? Après tout, s'il avait été en mesure de la titiller avec son discours et ses petites questions, c'est qu'il avait une idée de qui elle était ?
Bon, et toi alors, qui es-tu ? Je n'ai pas envie que la soirée ne tourne que sur moi, ça ne serait pas très poli même si relativement intéressant je l'avoue ! Elle rigole avant de porter sa flûte à sa bouche. C'est quoi ta vie. C'est quoi tes trois adjectifs ? Est-ce que tu as des vues sur quelqu'un ici ? Je veux tout savoir ! Et on a tout le temps pour ça. La soirée ne faisait que commencer.

Quand il écoute @Bianca parler, il entend les réalités qui sont probablement celles du métier de star de cinéma : les femmes et les hommes qui veulent percer et durer doivent jouer un rôle, sans quoi le public les délaisse. Ok, il voit le truc, du moins il pense voir, même s’il n’est pas du tout du milieu, lui. — Mais ici, c’est différent. Ici, c’est l’authenticité qui compte… Non ? Ils sont trop, et passent trop de temps ensemble, collés les uns aux autres, pour que le jeu tienne sur la durée. Il sourit à l’évocation de Walter, un personnage à part entière, qui fait beaucoup rire Clay. Il semble impossible à heurter, Walter, indestructible dans ses certitudes, et le peu de discussion qu’il avait eue avec lui, un soir à l’abri sur le balcon, lui avait plu. — Au-delà de ses… jugements peut-être hâtifs, il s’intéresse vraiment aux autres, ici. J’veux dire : il fait pas semblant par politesse. Les gens l’intéressent pour de vrai. C’est une qualité, non ? Selon lui, oui, mais Bianca pensait probablement différemment. A sa question de savoir si la question sur son secret était de lui, il lui adresse un sourire glissé dans une moue qui dit « guilty ». Différente, mais pas forcément mieux qu’à présent, prévient Bianca. Probablement qu’il lui faudrait se faire son propre avis, une fois le secret de la candidate révélé… — Ça m’intrigue, il confie les sourcils légèrement froncés. Il écoute, attentif, la manière dont, selon Bianca, sa mère la décrirait sur tous les plans. Trop exigeante. Ce qui veut dire qu’elle n’en a jamais assez, ou plutôt, qu’elle vit dans le manque permanent. Peut-être qu’elle n’est pas si sûre d’elle qu’elle veut bien le leur montrer, finalement… Enfin, bien que curieuse et amusante, elle dirait d’elle qu’elle est trop solitaire. — Solitaire ? Il répète, comme si le mot allait résonner différemment quand c’est lui qui le prononce (spoiler alert : non). Être qualifié de psychologue le fait marrer. Il n’a absolument rien à argumenter tant le truc est absurde. — Dur de te qualifier en trois adjectifs sans te connaitre, avoue-t-il dans un sourire. Il la regarde un moment, espérant que les termes viendraient s’imposer à lui sans qu’il ait besoin de partir à leur recherche. Fail. — Ok. Téméraire. Elle ose tout, et c’est pour ça qu’elle a percé dans un milieu où, sans caractère, sans détermination à toute épreuve, vous n’avez plus qu’à tailler des pipes avec des fraises tagadas sur les tétons pour vous voir offrir un second rôle. — Passionnée. Parce qu’elle s’enflamme beaucoup, surtout quand ça la touche au premier plan, ça la rend hystérique comme une actrice à fleur de peau, et ça montre qu’elle tient énormément à la vie et à ce qu’elle construit, quand bien même rien n’est jamais assez. Sa passion la rend narcissique, elle a besoin de se convaincre qu’elle est aimée et désirée. Ça lui permet aussi d’avancer et de se faire confiance. — Repentie, conclue-t-il en souriant de plus belle. Parce que si Bianca est entrée dans l’émission en surjouant, aujourd’hui, elle s’adapte de plus en plus à son écosystème, et se dévoile toujours plus. Il a surpris certaines de ses conversations avec des candidats, que ce soit en se préparant à manger ou en choisissant son programme lavage à la buanderie, ou encore en faisant du sport : elle s’ouvre de plus, s’interdit un peu plus de juger sévèrement, elle est plus tendre qu’avant. Il rit à sa vanne sur son propre sujet, saisissant un second degré qu’il y a quelques semaines, il aurait probablement confondu avec une étonnante sincérité. — Ma mère n’a pas vraiment fait l’effort de me connaitre, alors si mon père devait donner trois adjectifs… Mdr, non c’est impossible, son père, il dirait que de la merde… — Ffff, j’sais pas. Il te dirait que j’suis un petit enfoiré hyperactif qu’a pas arrêté de lui briser les couilles jusqu’à son départ de la maison. Un bon boxeur qui aurait pu faire un bon combattant si seulement il avait été plus discipliné. Tu vois le genre ? Il sourit et boit une nouvelle gorgée de champ. — Des vues sur quelqu’un… J’connais encore pas grand monde ici, et j’ai la sexualité d’un moine depuis le début de l’aventure. Autant te dire que mon cerveau n’envisage personne en particulier, mais ma testostérone me supplie d’y remédier. Et que les autres ne fassent pas les hypocrites : ils sont tous comme lui, hein. — J’veux surtout pas plaire à quelqu’un pour de vrai, tu vois ? Je veux pas faire de mal à quelqu’un de gentil, en ressentant pas le même truc, en me voyant pas m’engager, ou sans connaitre son secret… Parce que ouais, votre secret, parfois, il vous change complètement. Imaginez : Loen qui sort de taule après l’assassinat de trois personnes. Bonne ambiance.

L'authenticité ? Dans un jeu d'argent où tout le monde cache sa vraie nature avec un secret et monte des stratégies pour aller le plus loin possible ? Bianca doutait de ce que prônait le brun en face d'elle. Mais bien sûr elle comprenait où il voulait en venir et après avoir bu une gorgée de champagne elle sourit en secouant la tête : Je te taquine. Quoi que ? Je pensais être apte à faire ma Bree Van de Kamp et à cacher toutes mes émotions mais il faut avouer que c'est compliqué. Et peut-être pas nécessaire. Les 17% du public la première semaine c'était peut-être parce qu'elle paraissait trop fade, trop fake. En tout cas elle serait contente de passer entre les mailles du filet et d’échapper à une deuxième nomination malgré ses trois votes contre elle remportés à la loterie au dernier prime. La conversation dévie sur @Walter et Clay est sûrement le premier candidat ici à vouloir prendre la défense du doyen. Désolée, je n'accroche plus au personnage depuis bien longtemps. Et c'est pas faute d'avoir essayé. Les coulisses, le mini-golf, les soirées... elle haussait les épaules : mais je comprend qu'il puisse plaire, ou intriguer. Il a quelque chose. Elle ne parlait pas que d'attirance physique, à moins que Clay ne soit intéressé par lui, mais plus en terme de personnalité. Il se dit intrigué par son secret : Oh et bien de ce que j'ai cru comprendre tu n'es pas le seul. Mais allez-y, j'ai besoin de me refaire une petite cagnotte j'suis quasiment à sec. Ne restait sur son compte que 5000 et quelques dollars soit l'équivalent d'une demi-journée de shopping habituelle à Miami. L'adjectif 'solitaire" semblait faire tilt dans son esprit pour que le garçon le répète ensuite, l'air de ne pas comprendre pourquoi. Prenons une situation que tu connais : on est tous les deux ici, candidats de cette émission. À ton avis combien d'amis 'proches' je peux compter ? Elle lui laissait le temps de faire un calcul rapide dans sa tête avant de lui dire : trois ! @Mael, @Addison et @Samm. Le reste s'en contrefiche de moi. c'était son ressenti et elle lui partageait sans pudeur. C'est pareil dans ma vie. Certes on me voit, mais est-ce que pour autant on s'intéresse à mon cas ? Bianca n'était pas dupe, elle savait que les filles ne l'apprécieraient guère et que certains garçons la trouverait trop directe. Clay se prêtait à l'exercice de la définition en trois adjectifs, bien qu'ils ne se connaissaient réellement que depuis dix minutes, pour le reste il se baserait sur ses à priori et sur ce qu'elle laissait entrevoir durant leurs moments de vie en commun : c'est à dire les repas, les soirées, les primes. Téméraire, Passionnée, Repentie. Ok je retire ! T'es pas psychologue t'es carrément prêtre ! Merci de m'accorder ton pardon très cher. Elle riait aux éclats. Repentie... t'en connais de jolis mots dis donc. Tu fais quoi dans la vie ? Au fond elle n'en savait rien, au bout de trois semaines elle apprenait seulement à connaître les autres résidents et eux avec elle, pareil.  J’ai cru comprendre que si je ne changeais pas ne serait-ce qu’un tout petit peu je serais dehors dans les semaines à venir. Pas le choix. Elle n’était pas venue pour être humiliée et déjà s’en aller. Non, elle aussi elle avait des envies et des besoins qu’elle ne voulait pas abandonner. Pas après tout ça. Elle grimace quand elle l’entend évoquer sa mère et des mots durs que son père aurait employé en parlant de son fils. Oh je suis désolée… Elle se sentait un peu gênée par tout ça, ne comprenant pas à quel moment dans la vie de parent on peut basculer au point de renier son enfant. Peut-être était-ce parce qu’elle était jeune maman d’un enfant de cinq ans et que sa vie se déroulait à priori plutôt bien mais… Je vois le genre oui. Et je te proposerais bien de t’adopter mais tu me parais un peu trop grand pour ça. Blague à part, il affirmait n’être attiré par personne. Même si l’envie ne lui manquait pas, il avait du respect et avait fait le choix de ne pas s’engager dans quoi que ce soit pour ne pas avoir à faire souffrir quiconque ici. Belle mentalité. À l’heure où certains (et certaines) ont déjà sûrement planifier toute leur aventure du début à la fin pour s’offrir une victoire, je trouve ça cool ce que tu dis là. Tu m’impressionnes. Elle dit, de façon honnête à son interlocuteur privilégié pour la soirée. Après, si ta testostérone fait encore des siennes, tu sais où me trouver. On pourrait l’appeler Soeur Bianca, cette fille est si bonne envers son prochain ! Petit clin d’oeil avant de replonger ses lèvres dans son champagne préféré.