@elsie

Ca la fait bien kiffer, cette semaine loin du block au beau milieu du Kansas. Noor, elle a jamais vraiment connu ça, parce qu'elle a grandi dans une banlieue bétonnée où le seul point de verdure était la forêt pas très loin de chez elle. Même après, avec Miami puis la Nouvelle-Orléans, elle a fait le choix d'une vie plutôt urbaine à l'opposé de ce qu'elle a trouvé ici. Elle deviendra jamais fermière, Noor, faut pas déconner, mais c'est gratifiant de s'occuper de la vie locale et d'en voir le résultat immédiatement. Et surtout, y a son égo qui se réjouit de prouver à tout le monde qu'elle n'est pas une princesse qui refuse de s'investir dans les tâches quotidiennes. En ce cinquième jour de labeur, c'est au tour du potager d'accueillir son élan de détermination. Elle a embarqué @Elsie, l'autre atout charme de leur équipe, pour cette mission. Sûrement que le reste des Rouges finira par les rejoindre, mais elle voit surtout cette tâche comme une opportunité de mieux connaître sa nouvelle coéquipière dont elle ne sait... well... rien du tout. « T'as eu peur de sortir samedi ? » elle demande, tout en se baissant pour s'occuper de fixer des tuteurs sur les plants de tomates (c'est Pornstache qui lui a appris, parce qu'évidemment pour elle rien n'est inné). « Faut dire que t'es très discrète... » elle souligne, sans apporter de jugement dans sa voix. C'est un genre, à l'opposé du sien clairement, mais faut croire que pour l'instant ça fonctionne bien, ça équilibre un peu le mood du block. « T'as déjà fait ce genre de trucs ? Je sais même pas d'où tu viens en vrai. »

Selon le programme donné en fin de prime dernier, les rouges doivent s'occuper du potager aujourd'hui. Du coup, elle fût bien contente, quelques minutes plus tôt, lorsque sa camarade rouge, @Noor, lui a demandé de l'accompagner dans cet endroit. Première satisfaction :  Elsie est dans une équipe qui ne rechigne pas trop, qui ne fait pas de manières et qui semble plutôt bien se prêter au jeu. Et puis, elle est également contente de pouvoir passer un moment avec la candidate, tout simplement. Ca lui permettra de la connaître un peu plus, après tout. Alors que Noor se met tout de suite au travail, en s'occupant des plants de tomates, la brune inspecte les différents légumes plantés, regardant autour d'eux si des mauvaises herbes -ou autre- sont à retirer. Est-ce qu'elle a eu peur de sortir samedi ? Ce serait mentir d'affirmer que non, bien sûr. Noor appuie évidemment sur le fait que la brune soit discrète depuis le début. « Oui, je sais. » qu'elle déplore dans une petite grimace, alors qu'elle regarde la candidate furtivement. « Après, si je dois sortir du jeu, c'est comme ça... J'ai pas envie de me forcer ou de prétendre être quelqu'un d'autre à longueur de temps juste pour rester dans un jeu. » Elle hausse les épaules, sachant pertinemment qu'elle n'en fait pas assez selon certains. Mais elle n'a pas envie de se forcer juste pour rester indéfiniment en jeu. Si elle doit partir, tant pis, c'est le jeu. Elle le regrettera peut-être plus tard, mais soit. Noor semble ensuite revenir sur le potager, lui demandant si elle a déjà fait ce genre de trucs. Elle esquisse un sourire, quand sa camarade lui fait remarquer qu'elle ne sait pas d'où elle vient. « Je viens de Californie. Et non, je n'ai jamais entretenu un potager, ni une ferme, à vrai dire. C'est tout nouveau pour moi ! » Elle laisse échapper quelques petits rires de ses lèvres, puis son ton redevient plus sérieux. « Et toi, c'est nouveau aussi ou tu as déjà connu ça ? » qu'elle demande, curieuse d'en apprendre sur la candidate. « Pourquoi tous les autres semblaient penser que tu la vivrais mal, cette semaine ? » qu'elle demande, également, les sourcils légèrement froncés. D'accord, ils ne s'étaient peut-être pas exprimés aussi clairement que ça, mais l'idée avait tout de même été évoquée, laissant penser que Noor aurait dû mal à s'habituer à la ferme.

Etre discrète, dans ce jeu, c’est pas nécessairement un gage de sortie prématurée vu la part de chance qu’il y a aussi avec les nomins. Y a qu’à voir Abigaëlle qui échappe aux nomins semaine après semaine même si personne ne la voit jamais. Est-ce qu’elle a même des potes ? Elsie au moins est un peu plus visible, un peu comme une Samm. Ca offre un contraste nécessaire avec les forts caractères dont elle fait partie (dont elle pourrait être la présidente d’honneur en vrai) et un équilibre indispensable pour ne pas que ça parte en crise tous les jours dans le block. « T’as raison » elle approuve d’un hochement de tête, ses mains occupées à placer le tuteur correctement. « Ca sert à rien de te forcer à être plus extravertie ou plus bruyante si c’est pas ta vraie nature, les gens sont pas cons, ils finiraient par s’en rendre compte. » De la même façon que Noor ne prétendra jamais qu’elle est discrète, parce que ça serait vraiment absurde. Du coup elle pose quelques questions à Elsie, histoire d’apprendre à connaître sa coéquipière, voire créer un lien comme elle l’avait fait en première semaine avec Astrea. Noor aime bien graviter autour des hommes parce qu’elle a été entourée toute sa vie de l’influence masculine de ses potes et qu’elle est capable de gérer ; pour autant, dans ce jeu elle se surprend à aller plus spontanément vers les femmes et ne pas systématiquement se mettre en opposition. Elle les trouve plus fiables sans être nécessairement plus facilement malléables. « Où ça en Californie ? Décidément j’ai l’impression que vous venez tous de là-bas… » New York, Cali, Paris. En gros. Avec des petites exceptions comme elle qui se pointent de nulle part. « Jamais non. J’ai grandi entourée de béton, les potagers c’est bien quand tu viens de la campagne ou que t’as du temps à perdre… » Autrement dit : quand tu ne calcules pas chaque dollar pour tenir jusqu’à la fin du mois, comme dans sa famille. « Chez moi on est plutôt le genre à acheter en gros à Walmart » elle se marre, tellement ça lui évoque de souvenirs. A la question qu’Elsie lui pose, elle se contente de hausser les épaules. « Parce que tout le monde pense encore que je suis une diva capricieuse et assistée j’imagine. » Elle se tape plein d’étiquettes Noor, dont la moitié est fausse, mais à ce stade c’est trop tard pour changer l’imaginaire collectif sur elle. « Je trouve ça plutôt cool d’être à la campagne comme ça, ça me dérange pas de bosser. » C’est une grosse travailleuse Noor, qui rechigne jamais à la tâche même la moins reluisante. Quand on part de rien, on peut pas se permettre de faire la fine bouche. « Pourquoi tu participes à ce jeu ? »

Si il y a bien une chose qu'elle ne fera pas Elsie, c'est devenir quelqu'un d'autre. Le temps d'une petite mission, d'une soirée à thème, pourquoi pas. Jouer quelqu'un d'autre toute la journée pour se donner une image, c'est non. De toute façon, ça lui demanderait sans doute bien trop d'efforts. Et dans certains moments, elle serait bien embêtée aussi, ne sachant pas comment s'y prendre. @Noor semble totalement comprendre la position de la brune et Elsie affiche un petit sourire alors qu'elle hoche également la tête aux mots de la candidates. « Voilà, exactement. » qu'elle enchérit, contente de voir que Noor soit à l'écoute. Seule autre présence féminine de l'équipe, Elsie est bien contente de passer un moment en tête à tête avec la candidate, cela lui permettant enfin d'apprendre à la connaître un peu plus. Elle rigole à la remarque de Noor, d'ailleurs, qui se plaint que tout le monde vient de là-bas. « San Francisco. Et ce n'est pas une impression, je crois bien. Je me suis fait la même remarque, également. » Elle affiche un sourire, en repensant au moment où elle s'est dit exactement la même chose. « Tu viens d'où, toi ? » qu'elle demande Elsie, puisque Noor non plus ne connait pas la vie de la ferme. Elle dit avoir grandit entourée de bêton. En ville, alors. Et non en campagne. Elsie n'a pu s'empêcher de poser une certaine question à Noor, ensuite. Concernant cette semaine à la ferme, justement. Beaucoup semblaient penser qu'elle le vivrait mal. C'est en tout cas ce qu'elle avait compris, Elsie. Alors que finalement, c'est tout le contraire : elle le vit plutôt très bien. Selon Noor, certains candidats estiment donc qu'elle est une diva capricieuse et assistée. Elle fronce les sourcils Elsie, n'étant pas sûre de faire le lien. « Donc t'es une diva capricieuse et assistée juste parce que tu ne te laisses pas marcher sur les pieds et que tu oses râler, parfois ? » Ou souvent ? Elle ne sait pas trop. Elle sait juste que Noor ne se laisse pas marcher sur les pieds. Et selon Elsie, même si elle ne le fait pas personnellement, Noor a plutôt raison d'être comme ça, sur ce point. Elle hoche la tête sur un point, néanmoins, Elsie : elle aussi trouve cette idée d'être à la campagne sympa. C'est reposant, même si ils bossent un peu. « C'est peut-être l'occasion de montrer à certains qu'ils ont tort à ton sujet, du coup ? » Même si elle doit s'en ficher pas mal, à vrai dire. Et là, en une question, Noor pose une colle à Elsie. Pourquoi participe-t-elle à ce jeu ? « J'en sais rien. Je n'ai pas de but précis derrière, c'est juste histoire de changer d'air, de voir l'envers du décor vu de l'intérieur... » Elle hausse les épaules, n'ajoutant rien de plus. « Tu es là pour une raison particulière, toi ? »

« Je trouve ça presque suspect… Tu crois que y a des gens qui se connaissaient déjà, à part ceux qu’on sait ? » elle demande, toujours très méfiante avec la propension de la prod’ à tout manipuler. Suffisait de voir l’histoire Côme/Addison, même si elle n’avait pas été particulièrement surprise : zéro ressemblance physique, à tout point de vue, sans parler du détecteur de mensonges. Elle de son côté, elle s’en tapait un peu vu qu’elle ne les côtoyait pas tout le temps, mais ça poussait à se demander s’il y avait d’autres délires du genre ou, à l’inverse, d’autres Chiara et Gaby dans le jeu. « Ca a l’air cool San Francisco, je me suis toujours dit que j’aimerais bien y vivre. » Du moins avant qu’elle ne trouve son bonheur à la Nouvelle-Orléans et n’en arrive à la conclusion qu’elle était irrémédiablement une meuf de l’Est plutôt que de l’Ouest américain. « Tu fais quoi là-bas ? » Le genre de questions qu’on ne devrait plus avoir à poser en quatrième semaine, but oh well… « Je suis née et j'ai grandi dans la banlieue de Détroit, j’ai vécu à Miami et maintenant je suis à la Nouvelle-Orléans. » Rien d’extrêmement passionnant, par rapport à des gens qui ont passé leur vie à bouger d’un pays à l’autre. « T’y as déjà été ? » Histoire qu’elle sache si elle peut sortir son laïus habituel sur le fait que ce soit la meilleure ville au monde, façon déformation professionnelle. Elle tourne la tête vers Elsie face à la question la plus sensée qu’on lui ait posée jusqu’à présent. « I know right ! » elle confirme, soudain très dynamisée. « Moi aussi ça me dépasse. » Elsie vient de la résumer en deux secondes après avoir échangé trois phrases. Preuve que les autres n’y mettent aucune bonne volonté, parce que la différence entre avoir une personnalité affirmée et être une diva capricieuse est quand même grande. « Mmmh i guess » elle hausse les épaules. « Même si je le fais pas dans ce but-là. J’ai rien à prouver à personne » elle poursuit, tranchante sur l’approche. Si ça permet de changer la perspective des autres, tant mieux, mais elle se forcera jamais à faire quoi que ce soit juste pour ça. « Sérieux ? Come on Elsie, me la fais pas, je suis sûre que y a une raison plus précise. Défendre ton secret maybe ? » elle propose l’air de rien. On n’atterrit pas ici par hasard, c’est une évidence, parce qu’il faut faire pas mal de concessions sur sa vie perso pour venir dans une téléréalité. « Ouais, pour l’argent » elle admet sans honte. Elle est profondément américaine Noor : parler d’argent ça lui pose aucun problème. « Je me suis dit que c’était l’occasion d’en gagner beaucoup d’un coup. » Et peut-être gagner en notoriété dans la foulée même si c’est pas le but premier, ça ouvrirait de nouvelles perspectives.

Elle s'arrête un instant aux paroles de @Noor, Elsie et elle fronce les sourcils un instant. Elle repense à Chiara et Gabriele, à Côme et Addison (bon, même si pour eux, tout s'avérait être faux)... « Je crois qu'on peut s'attendre à tout dans ce jeu. » qu'elle dit d'un ton las, soufflant un peu. Et c'est vrai, d'ailleurs. Il suffit de voir les nominations de la veille. Entre les abandons et certains nominés, cette annonce en avait surpris plus d'un. Elle hoche la tête, Elsie, lorsque Noor évoque San Francisco. « Oui, c'est sympa, on y vit bien. » qu'elle acquiesce, appuyant les mots de la brune. « J'y vis, c'est tout. » qu'elle répond, en rigolant un peu, prenant mot pour mot la question de la brune. Elle reprend un ton plus sérieux, finalement, répondant enfin à la question de la candidate : « Je suis aide-soignante. » qu'elle ajoute, donc, sans y ajouter plus de détails. Noor explique à son tour d'où elle vient. Détroit, Miami puis finalement, la Nouvelle-Orléans. Ainsi, contrairement à Elsie, Noor a déjà déménagé plusieurs fois. « Non, je n'y suis jamais allée » qu'elle répond, secouant sa tête de gauche à droite, doucement. « Tu t'y plais ? Tu comptes y rester un moment ou tu voudrais encore déménager ? » qu'elle demande par simple curiosité. Les deux candidats reviennent sur le jeu en lui-même, évoquant le comportement de certains candidats envers Noor. Elsie a un peu de mal à comprendre, fronçant les sourcils même, lorsqu'elle évoque son idée. Noor, enfin comprise, ne peut que montrer son enthousiasme sur l'idée de la brune, ce qui la fait sourire. Elle souffle ensuite, se pinçant les lèvres lorsque Noor évoque être dépassée par cette situation. Elle lui indique, du coup, que c'est peut-être le moment d'essayer de montrer à certains qu'elle n'est pas une diva, cette semaine. Après tout, c'est vrai, depuis le début de la semaine, elle n'a jamais vu Noor se plaindre d'une quelconque tâche à faire. Elle approuve... à moitié, seulement, n'estimant n'avoir rien à prouver à personne, ce que Elsie comprend totalement. Une fois de plus, la conversation avance. Cette fois-ci, elles viennent à évoquer les raisons pour lesquelles elles sont ici. Elle prend un petit air amusé, Elsie, lorsque Noor râle un peu après avoir écouté sa réponse. « Bah, c'est le but de tout le monde de défendre son secret, non ? » Non, c'est pas vraiment la raison pour laquelle elle est ici, Elsie, n'estimant pas que son secret soit difficile à défendre. Noor est là pour l'argent, elle le dit clairement. Elsie hoche la tête un instant. « C'est pas faux ! » Elle sourit un peu. « J'espère que tu auras ce que tu voudras, alors. » qu'elle ajoute, doucement. Elle le pense vraiment, elle estime que Noor peut aller loin dans ce jeu. Même si, encore une fois, elle se retrouve nominée cette semaine. « Tu as peur pour samedi, toi ? » qu'elle demande, repensant à la première question qu'elle lui a posée en arrivant sur les lieux.

Elsie ne prend pas trop de risques avec sa réponse, juste assez évasive pour être vraie. C'est presque frustrant d'apprendre après plusieurs semaines de jeu des liens préalables entre candidats, comme si ça faussait un peu tout, sans parler des binômes pour lesquels une connexion offrait un avantage notamment pour des alliances. « Sûrement... » elle répond à son tour, elle aussi très évasive. Elle se concentre sur les quelques informations glanées d'Elsie, à commencer par son lieu de résidence et son taf. San Francisco, aide-soignante. Au moins son métier explique pourquoi elle est un peu plus discrète que d'autres (genre, Noor au hasard). « C'est une vocation ? » elle demande, toujours curieuse de savoir ce qui peut passer par la tête des gens dont le boulot est littéralement de venir en aide à son prochain. Noor aime bien les autres, mais pas au point de les soigner, surtout vu la reconnaissance qu'ils ont en retour – sans parler du salaire dérisoire, welcome to the US. « Ouais j'adore » elle confirme dans un sourire, comme toujours quand elle évoque la Nouvelle-Orléans. Même si elle s'adapte à la vie au block, son quotidien au French Quarter lui manque parce qu'en trois ans et demi, elle a eu le temps d'offrir son âme à cette ville si vivante. « C'est super animé, tout le temps, on y vit bien, on y mange bien, on y danse bien... » elle ajoute d'un ton amusé. Y a toujours de la musique, toujours du rythme, que ce soit les jeunes de Bourbon Street tapant sur des couvercles de poubelle et des canettes pour instiller le rythme, ou les trompettes de groupes de jazz, le Vieux Carré n'est jamais calme – comme elle, il est passionné. « Je suis pas encore décidée, j'exclus pas la possibilité de déménager ailleurs mais ça sera pas parce que je m'y plais plus. » Ca serait plutôt une question d'opportunité, sur le moment, comme toujours avec elle qui n'anticipe pas de plan de carrière. Elle sourit à la réponse d'Elsie sur sa présence ici. « Non mais je veux dire, défendre ton secret genre défendre un message tu vois ? » elle tente d'expliquer. Il y a des gens qui ont besoin d'une large tribune pour une cause, et celle-ci est tout aussi valable qu'une autre. Clairement Noor ne fait pas partie de cette catégorie, mais elle soupçonne que ce soit le cas de certains. « Mais tu ne réponds pas à ma question du coup, qu'est-ce que tu viens chercher ici ? » elle répète, parce qu'on la lui fait pas à elle. C'est comme Olivia qui tente toujours de dévier la conversation sur un autre sujet, et que Noor rattrape systématiquement au vol pour la refoutre dans le sujet principal. « Moi aussi j'espère » elle approuve d'un hochement de tête. Au pire du pire, gagner un peu de notoriété peut lui permettre d'atteindre cet objectif, même si c'est d'une façon détournée. « Un peu, mais j'essaie de pas le montrer » elle répond, parfaitement sincère. Si elle était d'une humeur exécrable hier soir, aujourd'hui elle est surtout impatiente des résultats, pour savoir ce qui va lui arriver. Ce qui la frustre, c'est cette sensation de mise en danger par l'accumulation de nominations, quand sur le principe elle ne l'a jamais été, en danger. « Mais avec un peu de chance je vais encore m'en tirer » elle conclut dans un nouveau sourire.