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 if i called, would you pick it up? (02/17h)


miss congeniality, season two
Maggie
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Maggie



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if i called, would you pick it up? (02/17h)
Dim 27 Sep - 16:40



« Uggggggggggh. » Mais ça ne bouge pas. Elle souffle sur une mèche de cheveux devant ses yeux mais secoue la tête en voyant que ça ne fonctionne pas, la vision toujours filtrée. Elle arrive tout de même à distinguer une silhouette s'approchant d'elle. « C'est comme Excalibur et il sait que je ne veux pas être roi. » Ça devait être drôlement nul d'être le roi de tout un royaume, d'être responsable de tout le monde. On ne pouvait même plus faire ce qu'on voulait, enchainé à son trône. « Tu veux bien m'aider? On peut le faire ensemble, non? » Parce qu'elle voulait y arriver Maggie et elle devait tenir entre ses bras s'il voulait bien lui prêter un peu de force. Elle ne lâche pas la hache, tourne rapidement la tête pour se débarrasser de ses cheveux ce qui ne fonctionne que pour quelques précieuses secondes. « C'est quoi ta légende préférée? » Elle tire encore un peu, mais c'est un géant celui qui a enfoncé la hache, c'est pas possible autrement. Puis elle a des petits bras Maggie, elle a des petits tout. « Ça te dérange toi les petits seins? Souvent les gens préfèrent les gros. » Du moins de ce qu'elle avait pu voir. Et elle avait vu beaucoup. Elle n'avait aucune préférence, la forme humaine fascinante pour elle peu importe sa forme.
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Clay
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Re: if i called, would you pick it up? (02/17h)
Dim 27 Sep - 22:29



On se pèle, putain. Ça aussi ça le gave, de se les geler entouré de personnes infoutues de prendre le lead pour aller, au hasard, couper du bois pour entretenir un feu ? Quelques-uns sauvent tout le reste, heureusement : Gabriele, Brett, Mael et Jules, de ce qu’il voit, il existe parmi les candidats des roots capables de prendre en main les choses pour ne pas simplement se laisser crever en se rapprochant les uns contre les autres pour moins grelotter, méthode pingouin. Ils ont eu froid, la nuit dernière. Cette nuit, Clay ne se fera pas baiser : un stock de bois sec l’attendra à la sortie des box, pour une nuit à la belle étoile avec feu de camp, sac de couchage, lui et les étoiles. Rumer le suivra probablement, parce qu’elle est toujours chaude pour les activités nocturnes qui offrent une intimité particulière, une ambiance feutrée. Tout plutôt que de se geler dans ce box à la con. Lorsqu’il parvient jusqu’au coin à bois, il s’aperçoit que @Maggie est déjà là. La voir, toute fine, toute micro, avec cette hache énorme qu’un Gabriele – qui d’autre ? Walter, allez – a enfoncée sec dans le bois, ça le fait sourire. Même la grosseur du manche de la hache est plus épais que son petit poignet. — J’veux bien t’aider Maggie, mais le faire ensemble, c’est dangereux et j’ai peur d’te faire mal… Il s’approche d’elle et de la hache, observe la situation avant de se décider. — J’te retire cette hache du bois et j’te pose une buche sur le plateau. Et toi, t’essaies de la trancher, deal ? Elle a surtout besoin de lui pour sortir la hache du bois qui la maintient entre ses dents. — Les légendes vivantes, il répond à sa question en attrapant le manche de la hache par-dessous les mains de Maggie, un pied posé sur le billot de bois pour l’en dégager. — Joe Frazier, George Foreman, Rocky Marciano… Il sourit, s’attendant à ce qu’elle lui demande de qui il s’agit. — Attention à toi, prévient-il au moment où il prend appui sur son pied pour retirer fermement, en levant de la toute la force des bras, la hache qu’ils tiennent tous les deux. Shlack. Le métal sort du bois fendu. Ils reculent tous deux et Clay lui laisse la hache entre les doigts. Écoutant sa question, pour le moins inattendue (mais c’est Maggie, faut s’y attendre), il se penche pour ramasser du bois et le lui placer idéalement à la verticale sur le billot. — Gros, moyens, petits, c’est pas quelque chose que je prends en compte quand une personne me plait ou non. Ça m’est complètement égal. Rien ne me plait plus que quelqu’un qui est à l’aise avec son corps, dont tu vois qu’il ou elle se sent bien à l’intérieur, dit-il en terminant par un sourire. — Et toi, alors ? L’Atlantide ou le Hollandais volant ? Grosses ou petites fesses ?
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Re: if i called, would you pick it up? (02/17h)
Lun 28 Sep - 22:42



Il arrive sans fidèle destrier, le chevalier, mais il y a pas de princesses à secourir non plus alors ça va. Jules ferait un joli âne. Ou non, Mael, il pourrait faire un étalon, un cheval pur sang que toutes les princesses voudrait monter. Parce qu'il serait le plus beau pour elles. Alors que tout le monde saurait que le plus beau c'est Shadi. Et puis Clay. Et puis Jules. Et puis tout les autres aussi, tout le monde est beau ici. Elle soulève la tête au maximum, dégageant un maximum de visibilité pour pouvoir l'observer.  Elle a pas peur de se faire mal Maggie, elle veut juste y arriver. « On mettra un pansement. » Ils appelleront une jolie infirmière pour la soigner alors. Ils trouveraient bien une façon de l'inclure dans l'histoire. « Deal. » Elle n'a pas vraiment écouté, alpaguée par la courbe de sa mâchoire, ses mouvements lorsqu'il parle. Elle n'est pas gracieuse mais purement masculine, dure et sans raffinement. Comme taillée dans le marbre en arrêtée en pleine action. « Rocky comme les film? » Et rocky bat le boa. Mais nous nous égarons, et nous oublions nos autres amis. C'est coincé dans sa tête maintenant, la chanson qui défile, coupée brusquement par la hache qu'il déloge, sacré nouveau roi. Elle sourit, le plaisir qui bout au creux de son estomac. Elle l'a fait. Avec de l'aide. Beaucoup d'aide. Il l'a fait mais elle avait ses mains dessus. Et ça compte aussi un peu. « Merci. » Qu'elle adresse, le sourire qui menace d'engloutir ses pommettes. Elle est trop lourde la hache, elle pourra jamais couper le bois mais elle peut essayer, et le laisse placer une buche sur le tronc. Et il y a louis le grizzli et augustin le lamantin. « T'aimes qu'une seule personne aussi comme Jules ou plusieurs? » Parce que Jules il partageait pas, qu'une seule à la fois. « Il y a de la beauté partout. Puis c'est comme les fruits. Des fois ils sont magnifiques mais tout pourris de l’intérieur à cause d'un ver. Ça t'es jamais arrivé, d'être aveuglé comme ça? » Elle inspire, les bras qui tremblent du poids de la hache qu'elle abat sur le morceau de bois. Qui tremble à peine. « Pffiou. » Elle soupire, pas surprise mais un peu déçue. « Encore. » Elle retire la hache sans trop de difficulté cette fois mais le métal s'écrase au sol, les bras qui ne suivent pas. Elle attend que ça passe Maggie, que les forces reviennent. « C'est quoi la chose dont t'es le plus fier? » Ce qui le fait sourire. Elle veut le voir sourire à Clay, un vrai de vrai, qui vient du cœur et qui réchauffe l'âme. « T'en as déjà coupé du bois avant toi? Faut avoir de gros bras je crois. »
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Re: if i called, would you pick it up? (02/17h)
Mar 29 Sep - 17:48



Il esquisse un sourire, face à cette grande fille qui parle et agit comme une enfant qui ferait ses premiers pas et prononcerait des mots naïfs, des mots jolis d’innocence. C’est elle, la protégée de @Shadi, l’enfant sacrée de la communauté dont Clay ignore tout mais dont il sait qu’ils font tous les deux partie. A lui, @Maggie lui fait penser à une intelligence artificielle extra-terrestre. On est en 3516 : l’humanité est morte, la Troisième Guerre mondiale opposant l’Inde, la Chine et les vieilles puissances s’est achevée par un déferlement de haine, une violence physique, puis chimique qui a détruit toute trace de vie humaine à la surface de la terre. Le peuple d’une autre galaxie, qui étudiait la Terre en gardant ses distances, envoie Maggie sur la planète, après l’avoir créée sur la base de ses connaissances de l’humanité récoltées au cours de millénaires d'observation. Maggie ne possède pas de genre en particulier : elle ressemble à un individu de sexe féminin, mais elle est dotée d’un amour universel inscrit dans son génome. Elle est capable d’aimer par-delà les sexes, les genres, et les types. Maggie peut dédier un amour indéfectible à un arbre aussi bien qu’à un papillon, qu’à un homme ou une femme ou un enfant. Sa naïveté intrinsèque face au monde s’inspire du profil psychologique de l’enfant humain, bien entendu, mais c’est aussi une condition nécessaire pour lui permettre de repeupler la Terre. Sa mémoire est entièrement vierge, et sa capacité de stockage limitée : l’oubli, aux yeux des créateurs de Maggie, est la condition du pardon. La mission de Maggie sur Terre est de trouver de la vie avec laquelle se reproduire. Homme, femme, être hybride, les possibilités de matcher avec le système reproductif de Maggie sont nombreuses, tout est prévu. Le choix de son apparence est aussi un condensé de toute l’humanité : sa peau est un mélange de blancheur et de tâches pigmentées rappelant les peaux plus sombres. Ses yeux sont le brun de la terre, symbole de sa mission, la couleur de ses cheveux, le feu de la vie, qu’elle est venue apporter ici. Dans le cas très probable où absolument personne n’aurait survécu sur aucun continent, Maggie possède la capacité de s’auto-féconder, une option qui ne s’activera qu’après deux siècles de recherches assidues de morceaux de vie survivante. Le prénom Maggie lui a été donné en ce qu’il se rapporte à deux définitions : margaritifera, moule perlière d’eau douce à l’origine de la vie sur Terre, et parce que les extra-terrestres la voyaient comme le fruit caché de la coquille brune (comprendre : la couche terrestre), symbole de l’être humain. Ensuite, magie, pour magia, religion, croyance, sorcellerie, à l’origine de la culture humaine qui a fait de cet animal un sujet digne d’intérêt aux yeux des extra-terrestres. La lettre « g » ajoutée en complément symbolise la raison d’être de Maggie : primitivement dans la langue humaine, le G avait la même fonction phonétique que le C. C’est lorsque le C est devenu le K en termes de prononciation que le G a dû naitre pour sauver la langue des hommes. Et parce que C, symbole de la femme, du réceptacle, de la Création, a été annihilé dans le K du chaos pendant la guerre, le G de Maggie apparait dès lors nécessaire pour sauver l’humanité. Voilà pourquoi Maggie existe, et pourquoi elle se trouve parmi eux, à l’état de bêta test, jusqu’à la Dernière Guerre de l’humanité.

Perdu dans ses pensées, il finit par réaliser qu’elle lui propose sérieusement d’apposer un pansement sur la blessure que pourrait occasionner un coup de hache. — Hmmm, après tout… — Presque, dit-il en réponse à sa question sur Rocky ; c’est qu’elle a quasi bon, mine de rien. Il l’aide à libérer la hache de l’étau du billot, pour la laisser s’amuser avec. — Jules aime plusieurs personnes, ce qu’il voulait te dire, c’est qu’il ne fait l’amour qu’avec une seule partenaire à la fois. Tu comprends ? Les mains sur les hanches, il attend de lire dans le regard de Maggie un « ah ok » rassurant. — Il est pas polyamoureux comme Addison, ajoute Clay dans un sourire. La question de Maggie sur les fruits, beaux à l’extérieur, laids dedans, il ne se l’était jamais posée de cette manière, et il lui trouve beaucoup de profondeur. Ses sourcils se fronçant légèrement le temps de sa réflexion, il guette quand même la hache entre les petits doigts de Maggie du coin de l’œil. — J’ai tendance à me méfier des fruits trop beaux. Ceux des supermarchés, qui sont dans du plastique et qui brillent beaucoup, tu les vois, ceux-là ? Les fruits des arbres, ils sont rarement beaux : la pluie et la grêle les abiment, et aussi, les coups de bec des oiseaux, les asticots qui se glissent dedans pour en faire leur maison. Sa mère, à Clay, elle était sacrément belle de l’extérieur. Une divinité grecque, avec de longs cheveux blonds ondulés et des boucles tout en bas. Maggie redresse la hache, et Clay, il a les entrailles qui dansent un peu, là. Il serre la mâchoire lorsqu’elle abat le métal. Rien de cassé. Pas même la buche. Ravi de la voir épuisée, il profite du répit pour s’avancer et tendre la main. — A moi ? Il demande dans un sourire. Avec un peu de chance, Maggie le laisse lui couper son bois et oublie l’idée de le faire elle-même et de manquer de s’arracher un bras. — La chose dont j’suis le plus fier ?... J’sais pas trop… Avoir aidé des gens qui étaient en danger grâce à mon métier. Il y a surtout cette fois où il a bossé jour et nuit pendant des semaines qui se sont transformées en mois, pour démanteler un réseau d’esclavage de jeunes femmes en Mauritanie. Le gouvernement ne voulait rien savoir tant qu’il ne donnait pas son identité, et il a dû faire autrement : contacter les familles. Leur donner les points d’accès menant à leurs filles, leurs sœurs disparues. Le truc, c’est qu’il n’a pas envie de raconter ça à Maggie. Pas envie de lui montrer la noirceur du monde, profitant de ce qu’elle ne la remarque pas. D’un grand geste, il abat la hache et fend la bûche en deux. Le métal mord le bois du billot et Clay se penche pour ramasser les deux morceaux, qu’il tend à Maggie. — Pas souvent mais ça m’est déjà arrivé, en vacances. En général, après avoir coupé du bois, tu rentres dans la maison où t’attendent un bon feu de cheminée, des boissons chaudes et de la bonne bouffe. Ça te parle ?
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Re: if i called, would you pick it up? (02/17h)
Jeu 1 Oct - 0:39



« C'est qu'à moitié Rocky? » Elle ne sait pas trop comment on peut presque être quelqu'un. Du moins pas comme ça.Mais au final elle réfère parler de Jules que de Rocky, parce qu'elle le connait Jules et qu'il est tout entier lui. Elle penche la tête en arrière mais le menton de Clay est sa seule partie qui s'affiche dans son champ de vision.  « Aimer et faire l'amour c'est la même chose. » Qu'elle exprime avant de saisir que ça ne devait pas l'être pour lui puisqu'il avait fait la distinction.  « Non? » Elle demande, curieuse d'avoir son point de vue sur la question puisqu'ils différaient.  « Oh il est polyamoureux Addison? » Elle a les sourcils qui se froncent légèrement, le nez qui s'agite. Ça ne va pas, mais pas du tout. Parce que ça irait pas du tout à Shadi ça, ça fonctionnerait jamais. Et elle veut pas qu'il s'attache trop à Addison si c'est pour souffrir à la fin. Il faudrait qu'elle lui dise, elle sait pas encore auquel mais il faut que ça se sache.  « Tout le monde le sait? » Peut-être que ce n'était qu'elle qui avait manqué l'information et qu'il le savait déjà Shadi.  « Et t'as pas répondu à la question. » Il avait reporté la chose sur Jules et en avait profité pour rien dévoiler sur lui. Alors qu'elle avait envie d'en savoir plus sur @Clay, le mystérieux Clay. Il était beau, et drôle mais il brillait pas très fort, le flot comme interrompu quelque part en chemin. Pourtant il avait le potentiel, elle pouvait le voir tourbillonner en lui comme une étoile en fusion. Elle sait qu'il n'aime pas les fruits qui brillent dans les supermarchés maintenant. L'échec n'est pas cuisant, juste présent et elle laisse Clay attraper la hache. C'est logique que ce soit chacun son tour, elle avait apprit à partager étant plus jeune. « Tu travailles dans la police? » Elle ne sait pas bien ce qu'il fait Clay, ou elle a peut-être oublié, c'est pas très clair, en tous les cas elle voudrait savoir. « Ou psychologue. » Mais ça collait pas bien à ce qu'elle voyait de lui. « Tu passes beaucoup de temps tout seul? » Il avait pas l'air solitaire comme elle pouvait l'être parfois mais pas non plus dans l'extravagance sociale. Il semblait à l'aise en société, savait utiliser ses manières et analyser les situations. « Tu penses que tu serai un bon leader de secte? » Il serait bon, elle imagine. Il a le charisme et l’élocution pour bien s'en sortir. Peut-être pas l'envie, ceci dit, ce serait beaucoup de travail. Mais il a des bras puissants, comme le prouve son découpage de buche. Elle a le sourire qu'en démord pas Maggie, excitée de le voir réussir aussi facilement. Elle attrape le morceau qu'il lui tend et le dépose un peu plus loin, le remplaçant sur le socle par une buche intacte. « A moi. » Qu'elle s'exclame, s'avançant de nouveau et tendant les mains, les doigts se refermant comme un enfant attendant son jouet. « Pas vraiment. Mais j'ai dormi dans un igloo une fois! » C'était une des choses les plus commerciales qu'ils avaient jamais fait avec @Shadi mais c'était une expérience qu'elle n'avait jamais oublié. « Je préfère quand on rentre tous en riant et qu'on partage nos moments préférés de la journée. Tu faisais ça avec ta famille aussi? » Elle avait pas l'impression que beaucoup étaient aussi proches de leurs familles qu'elle pouvait être de la sienne. Mais peut-être qu'elle le voyait simplement pas, ou qu'ils étaient l'exception qui confirmait la règle. Elle attrape la hache, écartant les pieds pour être plus stable. Elle va y arriver, ça devrait être comme le vélo. « C'est que dans les muscles tu crois? » Parce qu'elle allait y passer du temps, si c'était ça. Mais ça tombait bien, elle en avait à revendre. Peut-être qu'il y avait une plus petite hache, une qui semblait pas peser autant qu'elle. « C'est quoi ton plus beau souvenir de vacances? Et tes vacances de rêve? » Elle pousse sur ses jambes et ramène la hache du sol au socle. Bien, plus qu'à la monter sur la buche.
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Re: if i called, would you pick it up? (02/17h)
Ven 2 Oct - 16:18



— Presque comme lui, oui, il répond dans un sourire. — Ils s’appellent pareil, et ils font de la boxe, pareil. Mais le Rocky dont j’te parle, il est pas comme celui des films. Celui des films, c’est un personnage, joué par un autre mec. Mon Rocky à moi, il faisait pas du cinéma. Pourquoi même lui il sent que c’est pas clair, comme explication ? Dans cinq minutes, Maggie l’embrouille et il finit par croire qu’il n’y au fond qu’un seul et même Rocky sur terre, l’entité Rocky, il le sent venir. Oh putain, ça y est, @Maggie elle est partie dans les questions d’enfant comme si Clay il coupait du bois avec sa petite fille de six ans. Ok. On est à ça de « papa met son pistil dans la fleur de maman », eh merde à la fin, il y avait personne pour expliquer la vie à Maggie en tant d’années ? Shadi, t’as foutu quoi mon vieux ? — C’est bien de faire l’amour si on s'aime, et d’aimer quand on fait l’amour, je te le confirme. Après… mon père, par exemple, je l’aime, tu vois ? Mais on va pas avoir des relations sexuelles ensemble. Pareil pour mon frère. Rien que le dire, ça lui raidit la nuque d’angoisse. En fait, peut-être que Maggie n’a pas du tout le même référentiel que lui. Que le reste du monde. — Papa, maman, qui c’est pour toi ? Il demande, curieux, lui jetant un regard intrigué. Il a capté sur les rs des histoires étranges autour de Maggie et de sa manière de parler des siens. Vu comme c’est parti, il serait pas étonné d’apprendre que « papa » ne veut pas du tout dire « géniteur » dans le langage maggisien. Auquel cas… tout ce qu’il lui dit depuis tout à l’heure n’a aucun sens, et aucun intérêt. Elle fronce les sourcils au sujet d’Addison, c’est bien la première fois qu’il la voit comme ça, désapprouver quoi que ce soit. Maggie, elle a l’air tellement open sur tous les sujets, hormis lorsque c’est méchant ou cruel, ou injuste. — Ui, il l’est. Il pense que l’amour n’est pas réservé à une seule personne, que ce serait égoïste de vouloir le contenir. Attention, ça veut pas dire qu’il n’est pas fidèle. Il faut juste qu’il trouve quelqu’un qui comprenne son état d’esprit. Tu devrais en parler avec lui, il t’expliquerait bien mieux que moi, dit-il avec douceur. Est-ce que tout le monde le sait ? — J’en sais rien, peut-être que Addi il a pas envie de crier ça partout, parce que ça le regarde, après tout…, admet Clay. Elle lui signale qu’il n’a pas répondu à sa question, la petite rusée. — J’suis pareil que Jules : je n’ai qu’un seul partenaire à la fois. Addi trouverait probablement ça dommage et enfermant, maintenant qu’il y pense… Elle le mitraille de questions comme une enfant ou comme si elle comptait écrire un livre sur sa vie. Peut-être que c’est ça qu’elle fait, en fait, Maggie : elle recueille tout sur eux et va balancer leur biographie dans un recueil. — Non, je travaille pas dans la police. Je les aime pas trop, eux, d’ailleurs, et ils me le rendent bien. Ces demeurés, avec leur protocole de merde, ils ont toujours pas compris que rien de ce qu’ils font ne fonctionne plus dans le monde actuel. Il a jamais pu compter sur eux, Clay, pas même pour aider des gens en danger de mort. Il rit en entendant qu’elle le voit peut-être psy. Quelle horreur. — Non plus, j’aurais fait fuir tous les patients ! A leur dire tous, un par un, « bon j’crois que vous êtes total taré déso ». Bon, stop les devinettes. — Je suis hackeur, un informaticien qui se concentre sur les failles des systèmes de protection. J’appuie là où ça fait mal, il explique, galvanisé. — Et toi, tu gagnes ta croute ? A son avis, il n’est pas le premier à lui poser la question de son éventuelle profession, mais il ignore tout de la réponse. Est-ce que c’est Shadi qui s’occupe d’elle ? Ou le gouvernement ? (stop avec ces histoires de bot). — Ça fait que j’passe beaucoup, beaucoup de temps tout seul devant mes ordinateurs. Je lâche rien tant que j’ai pas trouvé ce que je cherchais. Il avait aussi cette réputation du temps de la boxe : il lâchait jamais, se relevait toujours tandis que Willy lui enfonçait des cotons trempés d’adrénaline dans la narine, arrêtait le sang de son arcade ou de sa paupière. Il perdait aux poings, jamais au KO, sauf une fois, contre ce gros monstre d’Arizona qui aurait du se battre dans la catégorie du dessus, clairement. La question de Maggie sur le fait de leader ou non une secte le laisse perplexe. — Je me suis jamais posé la question… Il y pense quelques secondes, ses yeux courant dans les siens. — Il faut être très séducteur, non ? Il gardera pour lui le fait que tous les gourous de sectes dont il a entendu parler, ils se tapaient toutes les nanas ou presque de la communauté, et que ce sont souvent des malades sexuels. Notamment parce qu’il soupçonne Maggie d’appartenir à une secte, probablement très éloignée de ses propres idées reçues, et qu’il ne veut pas avoir l’air de l’insulter. — Donc je serais probablement très nul et personne ne verrait l’intérêt de me suivre. En plus, des tas de gens perdus ou tristes sont attirés par les safe places que sont censées représenter les sectes. Clay ne se voit pas capable de réunir autant de gens avec autant de passés et de raisons différentes de fuir la société ou de se mettre à l’abri d’elle. — Noooon, dans un igloo ? Et il y faisait chaud, à l’intérieur ? Il sourit, pressé de l’entendre lui raconter l’expérience. Une partie de lui, cachée tout au fond de lui, s’en veut un peu d’être aussi content de lui parler et de lui parler comme à une enfant. Il adore les mômes, Clay, mais il faut pas se méprendre : Maggie, c’est plus une enfant, si ? Alors pourquoi il rentre dans son jeu et entretient le truc malgré lui ? Il arrive tout simplement pas à ne pas éprouver de tendresse devant elle. — Pas vraiment, il répond à la question sur sa famille. — Mon père travaillait jusque tard le soir, avec mon frère on le rejoignait à la salle pour s’entrainer avec lui, après l’école, et ensuite on rentrait manger tous les deux et on le laissait là-bas. Quand ma mère était avec nous, c’était il y a longtemps, elle avait pas envie de nous entendre raconter notre journée. Pas envie de rire, non plus. Sa voix s’éteint, tandis que son attention se reporte très (trop) rapidement sur elle quand il la voit soulever la hache. Il lève les deux mains au niveau de son torse, comme pour se tenir prêt à parer tout accident mortel. Elle lui pose une question, mais les yeux et 100% du cerveau de Clay sont rivés sur elle. — Maggie… Tchonk. Elle replante le mordant de la hache sur le billot. — J’arrive pas à me concentrer, tu veux pas lâcher l’affaire avec la hache là ? Maggie, putain, l’oblige pas à revenir à la ferme avec ton petit corps inerte entre ses bras comme une poupée de chiffon, à soutenir le regard fou de Shadi tandis que les urgences rappliqueront, oh non, pas ça, pas aujourd’hui, pas maintenant.
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Re: if i called, would you pick it up? (02/17h)
Sam 3 Oct - 15:58



Il explique un peu plus sur Rocky @Clay et elle comprend mieux. « Comme si Shrek existait ce serait pas le même que dans les films parce que ce serait pas le vrai, mais un qui serait dans une jolie histoire? » Il explique bien Clay, c'est tout clair et précis. Il continue sur sa lancée à expliquer la différence entre aimer et faire l'amour. Elle fronce un peu les sourcils parce qu'elle comprend moins tout, tout de suite. Elle ferait pas l'amour avec Shadi non plus, ce serait beurk. Et avec papa deux non plus, ou maman deux. Non, ils étaient de la même famille, c'était différent. « Tu crois que je fais l'amour avec Shadi? Est-ce que tout le monde croit ça? » Parce que ce serait bizarre. Ce serait pas la première fois, mais ce serait bizarre quand même. C'est juste que le sexe c'est aimer quelqu'un à chaque fois. C'est le lui dire avec les doigts et la bouche et des énergies merveilleuses. Donc le sexe c'est de l'amour. Toujours. Du moins ça l'était pour elle, c'était logique pour elle mais pas pour lui si elle lisait entre les lignes. Elle était pas très forte pour ça Maggie, mais il venait de lui expliquer alors ce n'était pas difficile à comprendre. Elle lève la tête pour l'observer, ses yeux croisant les siens à la question inattendue. Elle cherche un message caché mais n'en découvre aucun. « C'est papa et maman? » Elle lui demande presque, pas persuadée d'avoir tout saisi. Parce que c'est logique. Papa et maman c'est les adultes, ceux qui s'occupent d'elle et Shadi. « J'ai pas compris. » Elle avoue sans difficulté, sans honte aucune, perdue dans cette question. Elle veut juste pouvoir lui répondre correctement, comme il le fait avec ses questions. « Je sais ce que c'est. » elle souffle doucement, l'ayant tout de même écouté jusqu'au bout. « Et c'est chouette, c'est beau, je comprends. » Sans aucune difficulté, elle aimait bien trop de monde elle même. « Mais pour Shadi c'est pas bien, il serait pas bien là. » Non, elle le sait, ça lui conviendrait pas du tout. Puis si il s'attache sans savoir il va être blessé après. Puis s'il est blessé elle va pleurer, puis son cœur il va saigner. Et elle voudra faire saigner Addison aussi, parce que c'est son frère et que personne a droit de le blesser. Et s'il le savait pas il fallait lui dire, même si Addison il en avait pas envie. Il pouvait être avec Violette, parce que ça lui allait mais pas Shadi. Puis Clay il pouvait aimer une personne à la fois, comme Jules. Tout le monde faisait comme il voulait tant que Shadi il était heureux. « Et t'aimerais aimer qui tout seul? » Parce que c'est important aussi. Aussi important que ce qu'il fait, il hacke, apparemment. Ca a pas l'air très légal, mais ça la gêne pas vraiment, elle s'en fiche, tant que ça lui plait. Puis il sauve des gens, c'est comme un super héros. « C'est quoi ton nom de super héros? » Elle demande, excitée d'être dans la confidence, parce qu'il devait en avoir un, pour sauver autant de personne. Elle aussi, elle travaille, mais c'est pas du travail, pas vraiment, elle est toujours contente de le faire Maggie. « Je fais des orgies. » Qu'elle annonce, un peu fière de ne pas être un boulet pour Shadi. Elle pouvait pas vraiment se débrouiller toute seule mais elle voulait pas qu'il fasse tout non plus. Alors elle aidait là où elle pouvait. « Ca va avec mes études. » Qu'elle précise parce que c'était important aussi, pour elle, pour elle, pour son équilibre. Elle était exactement là où elle voulait être Maggie, c'était très bien comme ça. « T'es pas triste d'être tout seul?  »Elle est un peu triste pour lui, elle l'imagine tout penaud, devant son ordinateur, avec tout plein de boites de chinois autour de lui. Parce qu'il a une tête à manger chinois Clay. Et des pizzas. Des pizzas avec de la viande dessus, pas que des légumes. Mais ils continuent leurs découvertes et elle hume doucement. « Un peu. Mais faut surtout avoir l'air protecteur je crois. Faire les gens se sentir en sécurité. » C'était ça le principal, elle pensait, plus que la séduction. « Moi j pense que tu ferais un bon leader de secte. » Parce qu'elle se sentait en sécurité avec lui, et qu'il semblait assez puissant pour porter le tout à bout de bras. Puis il avait des bras costauds Clay, il était taillé pour être leader.

Ca a l'air de lui plaire, l'igloo et elle comprend, c'était bien trop chouette. Alors elle sautille presque sur place, la hache à la main. « Pas vraiment. Mais avec les vêtements qu'il faut et le bonnet sous le duvet il fait ultraaaa chaud. » Pas au départ, au départ il fait un peu froid mais dans la nuit, ça devient vite un petit sauna. Mais elle a pas beaucoup dormi Maggie, elle voulait profiter de chaque seconde, puis si elle fermait les yeux elle allait en manquer. C'était une très chouette nuit. Un très chouette séjour de manière générale. Et c'était moins chouette qu'ils aient pas ri beaucoup dans la famille de Clay. Quelle salle? Elle a pas tout saisi, il lui manque des informations. « Moi je veux tout le temps savoir comment c'est ta journée. Tu peux me la raconter tous les jours et j'écouterais. On pourra même rentrer en riant si tu veux. » Parce que sa famille à elle, elle était magique et tout le monde devrait pouvoir en avoir une comme ça. Elle lève la tête pour le regarder, la concentration sur la hache à diminuant d'autant plus. « Quoi? Pourquoi? » Elle le fait quand même, parce qu'il a un air sérieux Clay et que ça arrive pas souvent. Alors elle la lâche et se recule rapidement pour ne pas se prendre le manche sur le pied. « Qu'est ce que j'ai fait? » Elle veut pas le rendre triste, alors elle veut savoir ce que c'est pour plus le refaire si elle peut. Elle peut pas toujours, mais elle peut promettre d'essayer. Oui, ça elle peut.[/color]



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