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 wildest dreams (15/10, 8h15)


i'm from season two, b*tch
Gabriele
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Gabriele



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wildest dreams (15/10, 8h15)
Mar 13 Oct - 21:36



@Addison
Il a le regard différent de d’habitude l’italien. Un mélange de rêve et de scepticisme. Il reste silencieux, le regard figé sur un @Addison qui prend son petit-déjeuner face à lui à la table. On pourrait croire qu’il lui lance un regard noir, parce que c’est son regard quand il est concentré ou qu’il pense fortement, pas parce qu’il est vraiment fâché. Il fixe ses lèvres un moment avant de retrouver son regard qui l’interroge et qui le réveille. Ah oui, qu’est-ce qu’il a ? « Tu suces bien Addison ? » il lâche comme ça, sans pression. Parce qu’il est comme ça Gabriele, sans filtre, sans tact et sans honte non plus. Alors pour lui, c’est naturel de lui dire tout ce qu’il pense, même de façon cru. Il n’aurait pas agi de cette façon face à une femme c’est vrai. C’est son côté macho qui se sent plus à l’aise d’être franc avec les hommes et plus délicats avec les femmes (enfin du moins il essaie). Il lâche son gros rire habituel après sa question avant de lui expliquer d’où lui vient cette question. « Parce que j’ai fait un rêve érotique avec toi et il me semble que t’étais doué » Une nouvelle fois, aucune gêne sur son visage, dans sa voix. Juste lui et ses pensées lâchés avec facilité. Et ce n’est pas une invitation hein. C’est juste dans son tempérament de dire les choses sans arrière-pensée.
i'm from season two, b*tch
Addison
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Addison



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Re: wildest dreams (15/10, 8h15)
Mar 13 Oct - 22:23




Il est encore tôt, ce matin, mais je brûle déjà d’une énergie qu’il est grand temps de trouver un moyen de canaliser par le biais d’une séance de sport. J’ai besoin de cela pour conserver une certaine forme d’équilibre. Suer en un effort intense mais efficace, repousser mes limites pour mieux pouvoir envisager la journée qui m’attend après cela. Je ne me lève jamais plus tard que huit heures, cet horaire étant déjà comparable à une grasse matinée pour moi. Le rituel est souvent le même, il démarre toujours au même endroit, aux abords de la cuisine de laquelle je ressors généralement chargé d’une tasse de thé, – pour ne pas surcharger mon corps nerveusement dès le matin avec un bon café – d’un bol de céréales recouvertes d’une couche généreuse de fromage blanc et d’un verre de jus d’orange frais. Attablé, mon esprit se laisse parfois emporter par des pensées très éloignées comme c’est le cas ce matin. Je ne réalise pas tout de suite que Gabriele est entré dans la pièce et qu’il m’observe, ce n’est que lorsqu’il prononce mon nom qu’il m’arrache à mes songes et influence mes opales qui viennent très logiquement se poser sur lui. Je l’accueille en un large sourire très sincère et naturel. Il est le premier rayon de soleil de ma journée. Et puis une phrase, aussi brutale qu’improbable, du genre à me faire recracher en un geste maladroit l’intégralité de ma cuillère de céréales. « Je te demande pardon ? » Je l’interroge, pas certain d’avoir bien compris ou bien entendu. Il reprécise son propos d’un naturel déconcertant qui fait à nouveau croitre ce sourire sur mes lèvres. Je ne m’attendais pas à cela, pas à nourrir ses fantasmes et pourtant… C’est, quelque part, extrêmement plaisant d’apprendre une telle chose même si ça n’a aucune incidence du tout sur notre relation. « Personne n’est jamais venu se plaindre de ce que j’ai à offrir en la matière. C’est plutôt l’inverse qui se produit généralement mais je ne sais pas… » Je concède en un haussement d’épaules, pas du genre à me lancer des fleurs. « J’imagine qu’il faut essayer pour obtenir une telle réponse ! » Je me penche à nouveau pour porter une cuillère de céréales à ma bouche, pas le moins du monde gêné ou excité par une conversation de ce calibre, de bon matin. Je suis plutôt chill, encore plus sur un tel sujet. « Que se passait-il dans ton rêve ? » En dehors du taillage de pipe qu’il vient de mentionner, bien entendu.
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Re: wildest dreams (15/10, 8h15)
Jeu 15 Oct - 1:19




Il a le regard surpris Gabriele, surement moins que son interlocuteur, quand il recrache ses céréales. Il a le regard penaud, un peu rieur et moqueur avant de continuer sur sa lancée. D’accord il veut bien admettre que c’est pas une question qu’on pose à chaque matin mais ça va, ça reste @Addison. C’est son pote. Il finit par lui répondre tout de même, lui offrant une réponse en demi-teinte, qui termine sur une note modeste malgré qu’il puisse déceler un oui à peine dissimulé. « Mais je ne sais pas… » il imite en minaudant, faussement modeste comme un gamin avant de rire. C’est bon il l’a grillé, pas la peine de faire genre. Y a le sourire du déconneur qui vient s’infiltrer entre ses lèvres alors que de l’autre côté de la table en face de lui, il tend son bras et agite son doigt devant lui. « Aaaahaah, j’en étais sûr que tu suçais bien ! » Il se moque, sa voix forte qui porte sans aucune gêne. Franchement les sujets délicats avec Gabriele, ça n’existe pas. La honte ? Qu’est-ce que c’est ? L’embarras ? Connait pas. Mais c’est vrai qu’on se dit immédiatement ça en observant @Addison, qu’il suce bien. Parce qu’il a des lèvres bien charnues, de suceuse comme on dit… Ce qui est finalement un peu bête de penser comme ça puisque ce n’est pas vraiment les lèvres qui rentrent en jeu. Il lui demande ce qui se passait dans son rêve. Gabriele fait une moue faussement embarrassée. « Ah c’est un peu gênant… » Il fait un peu mielleux, le regard qui se dévie, avant que son gros rire gras vienne casser son acting qui était repéré à des kilomètres à la ronde. Bien sûr qu’il déconne. Il va tout raconter. « Alors ! » il fait d’une voix bien vive. Il se redresse, les coudes qui se posent sur la table, prêt à rentrer dans les moindres détails. « T’étais en train de me peindre le corps. Le pinceau était tellemmeeeeent agréable sur la peau. Est-ce que c’est vraiment le cas d’ailleurs ? » il demande sérieusement, faisant une petite pause dans son histoire avant de reprendre. « Donc ça faisait des petites chatouilles, des petites caresses sur le corps et j’ai même fini par fermer les yeux pour profiter des sensations. Quand j’ai ouvert les yeux, c’était plus le pinceau sur mon corps mais ta langue. Et j’étais bien incapable de dire quand exactement le changement s’est fait tellement j’ai rien senti. Puis tes lèvres ont dérivé sur la suite que tu connais. J’crois que c’est tout, ça reste quand même flou » Il se marre. Il le trouve drôle finalement ce rêve. « Dans mon rêve, c’était finalement pareil qu’avec une femme. Est-ce que toi qui a déjà testé les deux, tu dirais que c’est différent ? » Il est vraiment curieux Gabriele. Et il aime bien parler de sex aussi c'est vrai.
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Re: wildest dreams (15/10, 8h15)
Sam 17 Oct - 13:51





J’ai des céréales recouvertes de fromage blanc partout sur les mains, peut-être même un peu sur les avant-bras. Je ne m’attendais pas du tout à une telle remarque de la part du bel italien. Pas de bon matin et sans aucune transition évidente en tout cas. La surprise est totale, et à la fois pas si surprenante que cela parce qu’il est un peu comme moi à ce sujet-là, totalement décomplexé, pas du genre à rougir dès qu’on aborde des sujets en-dessous de la ceinture. Il est d’une ouverture d’esprit extrêmement appréciable, qui donne envie de converser et laisse présager la possibilité de parler de tout et de rien sans avoir peur de se frotter aux limites d’un esprit bien trop étriqué. Que ce soit sexuellement ou non, d’ailleurs, puisque cette qualité s’applique à priori à une très large variété de sujets différents. Il se moque, bien-sûr qu’il a cette lueur amusée dans le regard lorsqu’il laisse ses prunelles se poser sur moi. J’opte évidemment pour une réponse qui lorgne entre analyse timide et affirmation prétentieuse sans jamais vraiment le quitter des yeux, remis de mes émotions et capable d’anticiper sur chacune des réponses qu’il aura à fournir à mes propres indications sans risquer de m’étouffer avec le contenu de mon bol. Je m’empare d’une serviette que j’utilise pour nettoyer ma peau, la débarrasser des quelques résidus de céréales et de crème sans pour autant arrêter de l’observer, de guetter la moindre réaction. Il se moque à nouveau et fait s’étirer mes lèvres en un sourire que j’ai du mal à contenir et qui tranche avec le majeur que je lève fièrement dans sa direction en guise d’unique réponse à ses provocations. « Sucer est un art délicat, vois-tu. Une pratique qu’il est important d’apprendre à maitriser avec une pratique régulière et assidue ! » Je m’emporte, tel un espèce de Maitre Yoda du sexe homosexuel. « La règle est exactement la même pour un cunnilingus exercé dans les règles, d’ailleurs ! » Parce qu’il est impossible d’envisager du sexe qui reste dans les annales sans des préliminaires qui marquent les esprits et laissent présager le meilleur pour la suite. « Disons que je suis passé Maitre dans l’art de l’orgasme sans même avoir à passer par la pénétration surfaite, d’ailleurs ! » Parce qu’il existe bien des manières de se faire plaisir sans pour autant avoir à s’adonner à ce que j’apprécie malgré tout énormément. Varier les plaisirs pour ne jamais se lasser. Le ton solennel que j’ai plaisir à employer depuis tout à l’heure n’est pas du tout adapté à la situation et c’est exactement ce qui fait s’illuminer mes opales. Un peu gênant, j’explose de rire, un éclat théâtral, exagéré à souhait auquel il est impossible de croire tout comme sa subite innocence. « Bitch please ! » Son petit jeu ne s’étend pas au-delà de quelques secondes et me laisse, hilare, assister à une description teintée d’érotisme qui me permet de me fendre la gueule en appréciant ce petit-déjeuner qui, décidément, n’est pas comme les autres. Accroché à ma cuillère, je bois la moindre de ses paroles sans faillir et visualise la scène. « T’étais conteur d’histoires dans une vie antérieure toi ? Tu devrais peut-être songer à la reconversion ! » Je me moque, bien-sûr que je me fous de sa gueule. C’est de bonne guerre. « Le pinceau, bien utilisé, est extrêmement agréable sur la peau. C’est d’ailleurs toute la difficulté du body-painting. Dessiner sans pour autant laisser la sensualité prendre le dessus. » Parce que la nudité peut très facilement tenter et qu’un autre type de pinceau peut soudainement se manifester au milieu d’une œuvre qu’il est légitime de vouloir terminer malgré toutes les tentations annexes. J’ai du mal à garder mon sérieux, lui aussi d’ailleurs, mais son récit a le mérite de me mettre d’excellente humeur dès le matin. « Je vois… Tu t’es réveillé à quel moment ? Quand le plaisir que tu éprouvais dans ton rêve s’est répercuté sur ton propre corps endormi ? » Je pousse, taquin, poussé à la réflexion l’espace d’une seconde sur un tout autre sujet. « C’est très semblable… J’ai néanmoins l’impression que partager un acte sensuel et intime avec une personne du même sexe que soi, ça permet de savoir ce que tu aimes, ce qui te fait réagir… Il y a une aisance liée au corps qui n’est pas forcément la même avec une personne de sexe opposé… Je ne sais pas… Je crois que j’envisage le sexe et l’expérimente de la même manière à chaque fois, que ce soit avec un homme ou une femme ! » Je l’observe un instant, curieux. « Tu aimerais essayer ? »  



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