Freya a repéré tout de suite les sièges flottants près du SPA, le premier jour quand elle a trainé dans les différents lieux, et elle s'est dit que ça serait certainement le meilleur endroit pour observer le soleil se coucher. Enveloppée dans plusieurs couches de couvertures, elle s'est dirigé avec précaution jusqu'à l'un des deux sièges et s'est installé en se balançant lentement, son regard passant vers le sauna par moment en se demandant si elle devrait l'essayer un jour quand même. Perdue dans ses pensées, elle ne fait pas gaffe à ce qui l'entoure et, rapidement, @Addison apparaît dans son champs de vision. Elle fronce un peu ses sourcils et l'observe en se balançant toujours, elle le regarde et lui fait un signe de la main ensuite. "Addison." Ca sort dans un murmure qu'il n'entendra certainement pas et elle se racle la gorge. "Addison !" Cette fois c'est lancé plus fort, sourit doucement vers le géant qui s'approche d'elle finalement alors qu'elle lève la main pour le tcheck en guise de bonjour. Ou bonsoir, au vu du soleil qui se couche et des couleurs qui changent dans le ciel. "Tu m'accompagnes ?" Elle demande en montrant le siège à ses côtés et retire l'une de ses couvertures pour lui tendre, ça fait automatiquement baisser un peu la température mais ce n'est pas non plus dérangeant.

La nuit s’apprête à tomber sur le Canada et je me hâte pour rejoindre l’intérieur des locaux. Je n’ai pas encore mangé et mon estomac commence à salement crier famine, comme pour me rappeler que faire du sport et se dépenser toute la journée c’est bien, mais le rassasier en carburant c’est mieux. J’ai les mollets qui tremblent, surement après avoir été beaucoup trop sollicités, mais rien ne m’arrête sur ma trajectoire, aucun obstacle suffisamment digne de mon attention pour me pousser à reconsidérer mes plans et… Non, laissez tomber ce que je viens de dire. Je crois une première fois entendre mon prénom, prononcé en un souffle qu’il est tout juste possible de distinguer et qui fait s’étirer mes lèvres en un sourire bourré d’autodérision. Si je pouvais me regarder dans le miroir, je me balancerais surement une vacherie. Réflexion ou non, c’est malgré tout le chemin que je décide d’emprunter, d’excellente humeur comme toujours ou presque. « Tu deviens complètement fou, mon vieux ! » Je ne crois pas qu’il s’agisse d’un scénario typique de long-métrage horrifique. Pas de grand méchant à mes trousses ni d’esprit vengeur qui s’amuserait à me faire peur avant de s’attaquer à moi pour me faire disparaitre tragiquement. Le cadre pourrait assez facilement s’y prêter cela dit. Rien de tel qu’une station enneigée et isolée pour qu’une tuerie prenne place sans que personne ne réalise la teneur des événements avant qu’il ne soit trop tard et qu’une trainée de cadavres jonche le sol en un amas épouvantable et sanguinolant. Une imagination fertile, comme toujours. J’entends à nouveau mon prénom, cette fois nettement plus fort que précédemment et réalise que quelqu’un est véritablement en train de m’appeler. Je la reconnais, un peu plus loin, sur ma droite. La douce Freya qui fait s’envoler mes lippes jusqu’à mes oreilles. Je suis content de la retrouver, au point où je dompte ma faim pour la rejoindre au pas de course malgré la rébellion intimée par le mécontentement qui grogne au niveau de mes jambes. « Salut, ma belle ! » Je démarre en français, parfois incapable de me souvenir que l’anglais est la langue cible ici, celle que tout le monde utilise pour communiquer sans aucune barrière linguistique. Un petit tcheck dont nous seuls avons le secret et une couverture que j’attrape sans me faire prier. « Avec plaisir, comment résister à une telle proposition ? » Je me détourne pour investir le second siège en un soupir comblé, apaisé par ce petit break nécessaire. « Je ne suis définitivement pas fait pour le ski, une catastrophe ambulante ! Tu as skié depuis notre arrivée ? »  

Freya le voit d'ici, @Addison qui pense que son prénom est sorti de derrière le sauna, murmuré par un homme qui tient une hache, prêt à lui fracasser le crâne. Here comes Johnny. Mais finalement il la repère, à se balancer sur son siège, et elle sourit dans sa direction, comme pour lui dire que ça va aller, qu'il ne risque pas de se faire attaquer. Pas tout de suit du moins. Lorsqu'il s'approche, elle tape vivement dans sa main, en riant un peu face au français qui s'échappe de ses lèvres alors qu'elle plisse un peu les yeux. "J'ai juste compris salut, je crois que le reste je n'ai jamais dû entendre Mael ou Jules le dire." C'est pas une vraie surprise, pour le coup. Elle lui donne une couverture et l'observe s'installer sur la deuxième balançoire, visiblement prêt aussi à observer le coucher de soleil. "Non je suis une catastrophe aussi si je me mets sur des skis je crois, mais j'ai fais du snowboard ? Mais là aussi, rien de très fameux, c'est comme le skateboard et en même temps pas du tout." Freya fait remarquer en se mordant la lèvre, l'air un peu ailleurs, alors qu'elle revient poser son regard sur lui juste après. "Alors, ça fait quoi d'avoir deux personnes qui se battent pour ton coeur ?" Elle demande avec un sourire amusé au coin des lèvres, elle parle de Shadi et Violette, Freya a capté quelques bribes par-ci par-là et puis Shadi a voulu choisir Addison deux fois pour le Shag, Marry, Kill, et tuer deux candidats. Elle donne un petit élan avec ses jambes pour continuer à se balancer, son regard planté face à elle à présent pour observer le soleil qui commence à se coucher sur les montagnes. "C'est joli, tu dois souvent peindre ce genre de choses, non ?" Elle rajoute du bout des lèvres, elle aimerait bien être douée pour la peinture elle aussi.

Je déambule en toute quiétude, l’esprit visiblement bien trop fertile pour parvenir à regarder partout autour de moi avant de sauter directement à des conclusions qui n’ont ni queue ni tête. Bien-sûr qu’aucun sérial killer n’est dissimulé derrière le sauna, prêt à me sauter à la gorge pour m’étriper. Bien-sûr qu’un esprit diabolique ne virevolte pas dans les airs à la recherche d’un corps à utiliser comme vaisseau. Rien de tout ceci n’est réel, pas ici en tout cas, et je m’exaspère à considérer de telles choses en premier lieu plutôt que de chercher des motifs plus logiques. Une autre réponse, peut-être même plus adaptée que la précédente, aurait tout simplement été de reprendre mon chemin mais il aurait été nécessaire de me persuader au préalable que tout ceci n’était que dans ma tête. Ce n’est pas le cas, puisque la petite voix précédemment fluette s’élève de manière nettement plus prononcée et résolue au point où il devient extrêmement facile d’en identifier la provenance. Freya, un peu plus loin. Le piège se referme sur mon estomac qui attendra encore un peu avant d’apprécier la chaleur réconfortante d’un bon repas. Tout ce dont j’ai besoin, dans l’immédiat, c’est de savourer un moment convivial à ses côtés. Les salutations sont à notre image depuis la toute première fois, une chorégraphie dont nous seuls avons le secret. Mon français la fait rire, j’ai tendance à oublier que tout le monde ne maitrise pas cette langue ici. « Je ne connais pas assez @Jules pour savoir s’il est du genre à prononcer ce genre de petits surnoms mais j’imagine totalement @Mael y avoir recours. Ma belle, c’est affectif, le Hello beautiful français, tu vois ? » Elle aura appris un petit truc en plus aujourd’hui, pour une fois que je sers à quelque chose. « Du snowboard ? Plus facile que de skier ou la même galère ? Lorsque tu prives mes pieds du sol ou de l’eau, j’ai l’impression de ne plus être capable de rien ! » Je reconnais, jamais le dernier à me moquer de mes piètres performances en roller, skateboard et, maintenant, en ski. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle aborde un sujet qui, ma foi, semble encore un peu sensible parfois. Un fin sourire se dessine sur mes lèvres. J’hésite un instant, inspire à la recherche de la bonne réponse, de la réflexion la plus adaptée, du recul nécessaire pour pouvoir parler sans laisser mes émotions l’emporter sur tout le reste. Après quelques secondes, je me décide finalement à incliner la tête pour pouvoir la regarder, les mains resserrées contre la couverture que je monte jusque sur mon menton. « C’est à la fois courant, et horrible ! » Je ne réalise pas avant un petit moment que mes paroles peuvent retranscrire le mauvais message, loin du sens premier que j’imaginais au moment de prononcer ces mots. « Quand je dis courant… Ce n’est pas par arrogance ou parce que j’ai l’habitude de faire tomber tout le monde fou amoureux de moi hein… C’est juste que j’ai toujours été libre jusqu’à maintenant. Je n’ai jamais eu aucun problème à aimer plusieurs personnes en même temps et ça n’a jamais dérangé les personnes concernées non plus. » Je marque une nouvelle pause, la tête ailleurs. « Tomber amoureux d’un garçon qui n’envisage pas son futur à mes côtés sans monogamie, c’est inédit et très… Compliqué à gérer. » Mais je l’aime, je tombe amoureux de lui chaque jour un peu plus et je ne peux tout simplement pas me risquer à le perdre pour de vieilles habitudes. Je suis prêt à essayer d’être celui dont il a besoin pour être heureux. « Je n’ai jamais eu à choisir… Et je déteste cela ! Choisir. Je crois qu’il est possible de rencontrer plusieurs âmes sœurs en une seule existence. Comment suis-je censé savoir laquelle sacrifier pour être heureux ? » J’ai du mal à savoir si mes propos sont cohérents, ce n’est surement pas le cas. Je sais également ô combien il est difficile de comprendre le polyamour, il faut le vivre pour pouvoir le tolérer. Moi aussi, avant de rencontrer @Violette, j’étais incapable d’envisager une telle option et pourtant… Pourtant les choses changent et s’apprêtent à nouveau à changer. Je crois être prêt à me donner corps et âme. « Il mérite cet effort, @Shadi… Je suis prêt à le faire pour lui ! » Même si éloigner @Violette émotionnellement me tue. Les choses seront peut-être plus simples à l’extérieur. « Désolé… Je parle trop ! » La pauvre doit amèrement regretter d’avoir abordé le sujet en premier lieu. « Et toi alors ? Comment as-tu rencontré @Astrea ? Raconte-moi votre histoire ! » Elle a l’air belle, leur relation. Le genre que je pourrais avoir plaisir à illustrer sur une toile pour leur faire plaisir. Peut-être même que je le ferais lorsque nous quitterons le jeu définitivement. Je prendrais le temps nécessaire et, sans rien dire à ce sujet, les surprendrait un bon matin en faisant livrer l’immense toile à leur adresse. « À vrai dire, j’ai commencé avec des portraits très jeune… Je reproduisais ce que je voyais à la télévision, dans les magazines… Et puis lorsque j’ai commencé à travailler l’été sur la plage j’ai pris l’habitude de rester après mes heures de surveillance pour contempler la vue et la reproduire. Les paysages, c’est un tout autre type de travail que les portraits. Je préfère les dessiner à même le corps, comme je le fais souvent en body-painting plutôt que sur papier. C’est le phénomène inverse pour les silhouettes et les portraits ! » Parler dessin, je pourrais le faire en permanence sans jamais me lasser. « Tu as un plaisir coupable ? Quelque chose que tu aimes faire et dans lequel tu es plutôt douée ? »

Freya écoute attentivement @Addison lui donner son explication concernant le français qu'il lui a glissé, et elle ne peut s'empêcher de sourire très légèrement. "Non, c'est pas le genre de @Mael, c'est juste un sale gosse celui-là." Elle lance en secouant sa tête avec un sourire au coin des lèvres, amusée. Lorsqu'il demande si le snowboard est plus facile que skier, elle grimace un peu. "Je sais pas si c'est moi qui suis faite à l'envers ou pas, mais pour moi oui ? Parce que je skate beaucoup, alors c'est assez similaire, juste un poil plus instable, mais oui. Skier c'est clairement plus compliqué de mon point de vue." La blonde avoue dans un rire, visiblement ni l'un ni l'autre n'était très douée pour le ski. Doucement, elle aborde un sujet qui doit être un peu délicat pour Addison, elle ne sait pas trop si elle met les deux pieds dans le plat, mais elle est curieuse de savoir où en était le brun dans cette histoire, et peut-être parce qu'elle était un brin protectrice envers @Shadi maintenant. Apparemment c'est courant que les gens se battent pour lui et elle ne peut s'empêcher de sourire, attendant une explication plus approfondie au lieu de lui sauter à la gorge tout de suite. Donc, les bails c'est que Shadi veut Addison que pour lui, ce qui semble couler de source. Addison fait remarquer qu'il lui est difficile de choisir et elle ne peut s'empêcher d'interrompre son discours pile à ce moment là. "Tu serais pas balance, toi ?" Elle demande, un sourire en coin des lèvres avant de hocher de la tête finalement, elle peut comprendre cette histoire de plusieurs âmes soeurs, même si elle n'a qu'Astrea dans son coeur, elle arrive à imaginer. "Tu devrais le faire, il a effectivement l'air d'en valoir le coup." Elle n'était pas objective pour le coup mais bon. "Non, non, je t'ai demandé, je voulais savoir ce qu'il en était, j'avoue avoir suivi l'histoire de loin donc tu as assouvis ma curiosité." Freya avoue avec un sourire en venant lui tapoter le bras doucement, non vraiment, il n'avait pas à s'excuser. Lorsqu'il est question d'Astrea et elle, elle rit un peu, tout le monde veut savoir, mais elle se doutait bien aussi, avec le peu d'informations qu'elles avaient donnés, certainement prise de court par le buzz de Maggie. "Uhm, on s'est rencontrées il y a deux ans, enfin un peu plus, à LA, elle était venue pour un photoshoot, des amis communs nous ont présentés, et je sais pas si c'était un coup de foudre mais... elle était si belle ? Enfin, tu vois quoi. Du coup je flirtais un peu trop avec elle et je pense qu'elle a succombé à mes charmes." Freya lance dans un rire, amusée, elle avait craqué dès la première seconde elle. Un sourire tendre étire les lèvres de la blonde alors qu'elle regarde face à elle, le coucher de soleil, et qu'elle se berce un peu de ces souvenirs, jusqu'à entendre Addison lui expliquer son amour pour la peinture. "J'adore, j'ai toujours ton dessin d'ailleurs, je le garde précieusement, je crois que je n'ai jamais été aussi belle. J'aimerais bien avoir ce genre de don aussi." Pour la peinture, le dessin, mais elle se débrouillait sur d'autres tableaux. "Je pense que mon plaisir coupable et dont je ne peux me passer c'est nager, je me sens comme une sirène dans l'eau, j'ai grandis avec la mer en tant que bonne californienne. Sinon il y a... le golf aussi, grâce à mon père, et le skateboard, grâce à mes frères." Tout un schéma.

« Un petit diablotin dissimulé derrière le charme à la sudiste, c’est hyper courant. Tout le monde se fait avoir au départ. » Je reprends, hilare, en associant @Mael à une tactique inspirée par les racines d’une grosse partie de la France à laquelle nous appartenons tous les deux. On déconne bien avec lui, je le soupçonne d’être cet excellent pote sur lequel tu peux compter pour faire la fête, certes, mais également pour tenir bon la barre lorsqu’un ouragan s’abat sur toi et menace de tout détruire sur son passage. Il a l’air d’être une oreille attentive, un gars que tout le monde doit absolument se sentir chanceux d’avoir dans sa vie. Si la description que je pourrais utiliser pour qualifier ma partenaire est différente, la conclusion est plus ou moins la même. J’espère qu’elle viendra se perdre en France tôt ou tard, Freya. Il serait dommage de couper les ponts sous prétexte que l’aventure s’arrête. Sans être les meilleurs amis du monde, notre aventure en commun n’est ponctuée que de bons moments qui restent gravés dans ma mémoire. Skier, mettre les pieds sur un skate ou même un snowboard : un seul et même combat pour l’incapable que je suis dès lors qu’on me prive de mon équilibre. « Tu me feras une petite démonstration demain ? J’ai envie de voir de quel bois tu te chauffe ! » Un soupçon de défi dans la voix, juste ce qu’il faut pour la titiller et inspirer une réponse que j’espère positive à cette requête. Elle ne devrait logiquement pas me dire non, ce n’est pas dans ses habitudes, surtout avec la promesse de passer un bon moment tous les deux. Ils vont se rarifier avec le temps puisqu’il ne nous reste plus que trois jours avant un prime décisif. La moitié des candidats encore en lice sera éliminée samedi soir pour une finale de haut vol quoiqu’il arrive. J’ai hâte et je redoute à la fois le retour à la maison. J’imagine que c’est le cas pour tout le monde ici, j’ignore ce qui nous attend à l’extérieur du block. Nous avons été préservés des réseaux sociaux, des commentaires à notre sujet. Qui sait ce que cette notoriété momentanée nous réserve. Quoiqu’il arrive, tout le monde aura pour obligation de se frotter à tout cela dans une semaine et demie. Pour l’heure, c’est un moment suspendu que j’apprécie, une légère parenthèse nécessaire à mon équilibre. @Shadi apparait dans la conversation, je suis surpris de ne pas entendre parler de @Violette dans la foulée. Nous sommes souvent associés tous les trois, à juste titre. Sa remarque me fait rire. « Loupé, je suis lion ! Mois d’août ! » Je la gratifie d’un sourire tandis que mes jades ne peuvent qu’acquiescer à ses propos. « Bien-sûr qu’il en vaut la peine. @Shadi c’est… Il est exceptionnel ! » Je crois avoir les yeux qui brillent rien que de parler de lui. Les mots me manquent à chaque fois, il me faudrait un crayon ou une toile pour correctement exprimer ce qu’il fait s’animer en moi systématiquement. Il est une rencontre que je n’attendais pas, un coup de cœur que je n’envisageais pas en intégrant l’émission. Une exception à toutes mes règles. Leur histoire à @Astrea et elle m’intéresse tout autant et je crois être un adolescent qui ressent l’amour par procuration en écoutant son histoire. Elles vont tellement bien ensemble, ces deux petits bouts de femme. « Votre couple est une belle surprise. Je me sens comme un fanboy à chaque fois que je vous vois. » Un sourire honnête et admiratif… Comment ne pas rêver de ce qu’elles ont, franchement ? Mes lippes s’élargissent à la mention du dessin que je lui ai offert quelques semaines en arrière. « Tu parles, je n’ai fait que retranscrire la réalité. Tu es magnifique, ma petite ! » Un clin d’œil assuré qui accompagne mes paroles. J’ai plaisir à dessiner des portraits réalistes, pas à embellir la réalité. « L’eau, toi-même tu sais ! » Référence à notre après-midi à la piscine, une bataille que j’ai fini par remporter après avoir pris l’avantage dès le début, en la jetant à l’eau.