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 fever - (mardi s9, 01h00)


i'm from season two, b*tch
Jules
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Jules



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fever - (mardi s9, 01h00)
Dim 1 Nov - 15:18



@noor
Jules avance, Noor calée sur son dos pour faciliter le transport, vers la mini disco, parce qu’ils sont dans leur petit délire de la soirée : retracer les étapes d’une sortie à l’extérieur. Ça a commencé par un petit date improvisé et alcoolisé au bar pour finir classiquement en boîte de nuit. La base. Ils font vraiment leur vie cette semaine, le block s’étant vidé, leurs interactions sont plus limitées. En plus Jules reste uniquement pour elle, Noor le sait, qu’il en rêve de sa sortie, d’un coup de fil à ses potes ou à ses soeurs, de ne se sentir plus surveillé façon big brother ni même de jouer le jeu de la production. Il se voyait par contre mal la laisser solo vivre sa dernière semaine. Ça ne l’empêche pas de profiter de leurs très nombreux moments à deux surtout que maintenant les secrets dévoilés, il la sait moins tendue sur leur « nous » qu’elle avait déjà enterré la semaine dernière. D’ailleurs Jules ne sait pas trop comment aborder ce fameux sujet qu’elle redoutait tant parce qu’il deale avec ça sans trop de mal même si l’idée de recevoir des videos de sa meuf à la sortie ne lui plait que moyennement, encore heureux. Il sent ses petits bras qui s’enroulent un peu plus autour de son cou tandis qu’il lui assure faire attention à ne pas trop froisser sa tenue, parce qu’elle a fait cet effort. Jules finit par la déposer, l’observe le temps d’un sourire avant de s’approcher de la sono. « Je nous mets quoi ? » il la questionne, en cherchant ses opales noisettes qui sont brillantes. Sans attendre, il met un truc au random, suffisamment tranquille pour qu’ils puissent discuter sans avoir à se crier dessus comme les gens complètement ivres et surex. « Une fois que t’as gagné, tu veux qu’on fasse quoi en premier ? » il lui demande histoire qu’ils ne fassent pas l’autruche jusqu’à samedi soir concernant leur premier move de l’apres.
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Noor
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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Dim 1 Nov - 18:05



Il a suffit qu'elle fasse remarquer qu'ils avaient quand même manqué pas mal d'étapes dans leur chine de début de jeu pour qu'ils s'ambiancent à retracer ce qu'une rencontre à l'extérieur aurait donné. Au programme, Noor a sorti une belle tenue, dompté sa chevelure et s'est même emmerdée à mettre du maquillage. @Jules est resté soft (faudrait pas lui changer ses habitudes) mais a au moins sorti un chino plutôt qu'un jogging marquant un net progrès dans le respect des idées à la con de Noor. Au moment de se rendre dans la discothèque, elle est déjà passablement éméchée, ce qui colle donc parfaitement à l'ambiance qu'ils tentent d'instaurer avec cette petite chine uniquement là pour les distraire. En réalité, à l'extérieur ils se seraient jamais rencontrés parce qu'ils évoluent dans des mondes très différents. Moins distants que le monde qui la sépare d'Olivia, mais quand même. « Tu chinais souvent en boîte ? » elle questionne quand il la repose au sol après qu'elle a insisté pour qu'il la porte jusqu'à la mini disco comme la princesse qu'elle n'est pas. Noor a moins pratiqué les boites que les bars, parce que flemme de toujours se saper comme une queen avec talons et compagnie pour être acceptée dans les seules boîtes dignes de ce nom. Elle leur a toujours préféré les bars, moins formels, plus imprévisibles, encore plus à Nola où c'est devenu un sport olympique. « Un truc tranquille » elle demande pendant que Jules s'improvise DJ. Aucune envie d'un son hardcore alors qu'ils sont juste là, tous les deux, à profiter de l'autre tranquillement et avec un peu d'alcool dans le sang. C'est assez lent pour improviser un espèce de slow chelou, et elle vient naturellement se coller à lui et glisser ses bras autour de son cou comme si elle était à un bal de promo. Mécaniquement, ses lèvres viennent trouver les siennes dans un baiser tendre avant de lui rendre un regard plus sérieux. « Comme si j'allais gagner » elle souligne de son ton le plus sceptique. Not a chance. « Mais d'abord, je veux qu'on aille manger un Five Guys. » Priorities straight, toujours. « Qu'on passe la nuit tous les deux dans un hôtel sympa histoire de se poser et de pas se mêler à l'effervescence. » Parce que ça va être un enfer, au moment de sortir et qu'elle aura la flemme de dealer avec tout ça sur le moment. « Et après ça... tu rentres à Paris et moi à Nola. Le temps de quelques jours, histoire qu'on retrouve nos proches et qu'on atterrisse un peu après tout ça. » Ca lui semble plutôt cohérent comme approche à leur sortie. « Et une semaine après, je prends un vol pour Paris et on entame notre session voyage ? » Paris, Nola, Nicaragua. Peut-être d'autres endroits, s'ils ont l'envie, le temps et les moyens de le faire. « Et après ça... je sais pas ce qui se passera pour nous, on verra bien. » Elle n'a pas trop envie d'y réfléchir, Noor, ça lui fait peur de se projeter trop loin parce que ça lui rappelle ce qui risque de s'immiscer entre eux à la sortie et notamment la distance géographique qu'elle sait pas comment gérer. « Tu vois les choses comment toi ? » elle lui retourne la question, afin de vérifier s'ils sont sensiblement sur la même longueur d'onde. « Mais dans tous les cas, comme je suis en train de tomber amoureuse de toi, tu vas devoir me supporter encore un petit moment. » Elle a glissé l'info comme ça, avec la spontanéité associée avec la consommation d'alcool. Ca fait un petit moment qu'elle a capté qu'elle s'attachait vraiment à lui, mais c'est post prime qu'elle a pris conscience que ses sentiments se développaient en quelque chose de plus. Noor, elle a jamais eu de mal à dire les choses, encore moins celles-là, alors ça lui semble naturel de le dire à Jules au détour de leur conversation comme s'il s'agissait d'un détail anodin.
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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Dim 1 Nov - 22:25



Il la dépose délicatement  sur le sol avant de lui couler un regard comme si elle débloquait à la mort. « Non. Faut être sappé pour y entrer, tu me connais... » Jules laisse entendre comme si c’était le seul obstacle majeur. Non, pour lui les boîtes c’étaient juste pour les beaufs tout simplement qui avaient besoin d’aller danser pour trente balles vers les Champs Elysées. Jules, c’était pas du tout sa came, ce délire de nighter qu'il trouvait dépassé. « Plutôt team bar et pause clope pour les débuts de discussion, simple et efficace » il se marre parce qu’ils avaient tous les mêmes bails au fond. C’était quasiment impossible de chiner avec toutes sa bande de potes. « Genre à rien dire et à revenir une heure après avoir refait le monde avec la meuf autour de quelques cigarettes » il lui dit même si elle visualise sans mal quel genre de chineur il était. Il allait clairement pas séduire en allant faire chier une meuf avec ses potes pour danser sur du latino, non merci sérieusement. « Toi, c’est quoi tes techniques ? » il questionne simplement. « En ta qualité de chineuse de compet » Jules taquine parce qu’ils en avaient déjà parlé de sa capacité à flirter au début de la saison. « Ne me dis pas le bain, sinon je me flingue » il répond en devançant une éventuelle connerie, faisant référence à un de leur épisode, l’un des tous premiers. Il l’accueille contre lui, glisse naturellement ses mains dans le bas de son dos en bougeait en rythme sur la musique chill. Un rictus se peint sur ses pulpeuses. « Je ne vois pas pourquoi tu ne gagnerais pas, t’as vu ton parcours ? » il questionne d’un air amusé en lui offrant un regard curieux. Noor, elle revenait de particulièrement loin avec des candidats qui la bashaient régulièrement tout comme une production qui a eu le même jeu. « Tu le mérites » il cale en toute simplicité. « Merci de ne pas remettre en doute mon objectivité » Jules siffle, il avait une longue liste de raisons qui n’étaient pas subjectives, la concernant. Après oui, Noor, c’était sa pref depuis bien longtemps effectivement. Le français l’écoute dérouler leur programme. « Je valide l’interlude pour déconnecter » il étire parce qu’il en ressentait le besoin, d’être juste avec elle même juste une journée sans être parasité par le reste. « Tu sais ce qu’on dit, quand on veut, on peut » Jules amène sereinement. « Ça va le faire ce nous » il lui promet en chercher ses opales. « Même avec la distance, tout se gère » il assure tranquillement, parce qu’il ne s’en faisait pas, sur le moment en tout cas. « Et si tu pouvais ne pas refaire de phases cheloues comme la semaine dernière » il glisse, l’air de rien avec son « tu ne voudras plus de moi après mon secret » Elle balance son truc de façon désinvolte, y a que ça qui marche avec Jules la plupart du temps.  Il étire un smile en hochant la tête. « Ouais, je sais » il cale parce qu’elle est assez transparente dans ses émotions Noor et qu’il a la bonne clef de cryptage à force de passer tout son temps avec elle. Ils sont complémentaires, il admire cette capacité à s’exposer peu importe son interlocuteur et le retour derrière. Jules, ça fait des années qu’il en est incapable, absolument pas dans les mots mais dans la démonstration silencieuse de l’ombre. « Je suis pas doué avec les mots mais j’suis avec toi » Jules amène. Il l’embrasse pour lui faire comprendre qu’il est dans un mood similaire, peu être moins avancé, moins assumé et moins revendiqué mais l’idée est là. « C’était une grosse arnaque cette histoire de distraction tu vois » il souffle en haussant les épaules. « Et je me rappelle d’ailleurs que c’est toi qui m’avais dit : t’emballes pas Casanova » il se souvient, le rebalance parce qu’il fait comme elle maintenant, ayant appris de la meilleure. « On m'a donné la mission de te repousser cette semaine là » mission refusée.
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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Lun 2 Nov - 11:29



Elle tente de retenir avec difficulté un rire moqueur en imaginant Jules obligé de se saper pour aller en boîte. Clairement, un poisson hors de son bocal. Elle n'a pas de problème à le visualiser en chineur des bars en revanche, à la jouer cool et un peu distant en tapant la discussion avec une meuf random. Elle sait pas si ça a souvent fonctionné, mais ça aurait fonctionné avec elle vu que ses techniques sont similaires. Le fait est qu'elle a rarement besoin de lancer la conversation, privilège d'être une meuf, mais elle le fait quand même par amour du jeu, pour la petite excitation dans la poitrine à se demander si ça va avoir l'effet escompté. « Non je me fous rarement dans une baignoire à poil avec des mecs dans un bar » elle souffle, le regard espiègle parce que ça coule de source. Noor s'adapte à son environnement. « Mais vu son efficacité, je vais peut-être méditer sur la question pour mes futurs chinages » elle ajoute, glissant un regard amusé sur lui. Elle ne le sent pas très réceptif à cette idée et secoue la tête. « Je plaisante, détends-toi. » Surtout que l'objectif du bain était moins de forcer un rapprochement entre eux que de l'emmerder à jouer les capricieuses au beau milieu de sa semaine en T-Rex, impossible de penser que ça puisse aussi bien fonctionner. « Généralement comme toi, bars, clopes, ça part souvent en mec qui m'offre un verre, on discute et voilà. Si y a feeling ça va plus loin, si y a pas feeling, je remercie poliment et je passe à autre chose. » Le feeling chez elle tient moins au physique du mec qu'à ce qu'il dégage, elle se lasse trop facilement des beaux mecs qui ont souvent le malheur d'être creux et sans humour. Ils continuent de danser tranquillement, tandis que Jules vante son parcours et le mérite qu'elle aurait à gagner. « Si ce genre d'émission se gagnait au mérite, y en a qui seraient en finale à la place d'autres » elle se contente de répondre, sans expliciter davantage la référence évidente à Mael et son départ prématuré. « J'ai hâte de t'entendre vanter ces mérites pendant ton petit speech d'encouragement samedi » elle se marre en lui rappelant qu'il aura vraisemblablement la lourde tâche de s'y coller – vu son incapacité chronique à mettre des mots sur des émotions, ça risque d'être assez drôle de voir le malaise dans sa dégaine. Noor pour l'instant ne s'autorise pas à rêver sur la possibilité de gagner, ça servirait à rien de nourrir des espoirs pour les voir déçus à la fin. A la place, elle prendra les choses comme elles viennent le moment venu, en partant du principe qu'elle ne gagnera pas et que c'est peut-être mieux comme ça si elle veut que leur couple se donne une vraie chance dehors. Difficile à faire si elle est sollicitée de partout pendant des semaines, pour des interviews et tout le bordel médiatique. « Ca peut être plus qu'une journée d'ailleurs. Deux jours, trois jours, histoire que j'aie ma dose de toi » elle suggère d'un sourire malicieux. Histoire qu'ils profitent de l'autre autant que possible avant une séparation si courte soit-elle. Après avoir passé des semaines non-stop l'un avec l'autre, ça va lui faire bizarre de le voir loin d'elle, même temporairement. Jules la rassure tranquillement, à affirmer que tout ira bien pour eux et qu'ils se donneront les moyens de faire fonctionner leur couple. Elle acquiesce, son regard ancré dans le sien, en continuant de danser au rythme de la musique. « Je te fais confiance ». Il est plus posé qu'elle, alors si même lui en est convaincu c'est sûrement qu'il a raison. « Des phases cheloues ? » elle relève, sourcil haussé parce qu'elle n'aime pas quand il dit ce genre de choses. « Tu flippais pour une simple sextape, excuse-moi d'avoir cru que mon passé de pornstar puisse te déranger » elle raille, parce que ses appréhensions ne sont pas nées de rien. Jusqu'à leur confess, elle n'avait même pas imaginé que ça puisse créer le moindre problème, Noor, c'est dire s'il l'avait faite baliser. « De toute façon j'ai demandé un service à Clay. Il va les faire disparaître » elle l'informe tranquillement, comme s'il s'agissait d'un geste totalement anodin. Et ça l'est pour elle, dans une certaine mesure, même si sa relation avec Jules a clairement précipité la décision de le faire. Noor s'attendait pas à ce que Jules lui retourne ses sentiments et elle se contente de prendre ce qu'il peut lui donner, et d'accepter qu'il ne soit simplement pas aussi démonstratif, ou expressif, qu'elle. Au fond, son comportement suffit à dire tout ce qu'il ne sait pas mettre en paroles, et elle répond à son baiser comme pour le conforter dans l'idée que ça lui va, qu'elle ne cherche pas plus. « C'était peut-être ça, mon move de chineuse de compet ? » elle suggère d'un ton amusé. « Te faire croire que je voulais rien de plus et te laisser te faire avoir... » En réalité, elle n'avait pas anticipé l'évolution de leur situation, principalement parce qu'elle ne pensait pas arriver si loin, et n'imaginait pas qu'il la supporte assez longtemps pour s'attacher vraiment à elle. « Puis tu fais le mec, mais c'est pas entièrement faux finalement. C'était quoi ton truc ? Rien qui puisse avoir un impact à l'extérieur ? » elle lui rappelle sobrement. Elle laisse échapper un rire devant la mission foireuse de la prod. « T'as échoué du coup ? Tu pouvais pas résister à mon charme ? » Elle refait le scénario à sa façon Noor, là encore selon ce qui l'arrange le plus. « T'as jamais répondu à ma question cela dit. A quel moment je t'ai plu ? Parce que tu fais genre que c'était mon initiative mais en vrai... » Elle aime bien savoir ce genre d'infos, comme toutes les meufs. Comprendre à quel moment la bascule a opéré entre un vague intérêt et l'envie d'être sa distraction.

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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Lun 2 Nov - 22:40



Noor, elle se saisit de la moindre opportunité pour lui faire froncer les sourcils d’un air désabusé par les remarques qu’elle enchaine avec une rapidement déconcertante, toujours plus. « Je préfère ne plus répondre à tes provoc » il cale en soupirant en mode je suis l’adulte du duo. « Parce qu’après tu vas te vexer et blabla » il fait mine de devancer le truc avant de reparler de sa place en finale. « Sois pas amère » il lui demande parce qu’il sait très bien à qui elle fait référence. Il complète d’un « Profite de ta qualif » avant un petit kiss et de la faire tourner sur elle même. Noor le pique en s'amusant déjà de la scène qu'il allait leur offrir, trop généreux. « J’y pense depuis dimanche minuit, à ton discours » il raille parce qu’elle savait très bien qu’il allait pas être serein le mec, avec son gros problème d’expression, lui qui se trimballe son éternel air blasé h24 selon les autres, sauf avec Noor. « Mon but, c’est que tu pleures d’émotion » Jules siffle, gen-re. Parce que ce discours, il allait le faire pour elle et pas pour la vendre auprès du public, c’est pas un commercial dans l’âme. « Crédible ou pas ? » il la questionne avant qu’ils reviennent sur un sujet qu’ils avaient volontairement zappé genre son secret. « Je ne flippais pas, j’étais juste agacé parce que t’étais à deux doigts de me faire une liste des pratiques sexuelles que t’avais avec ton ex déjà » il lui rappelle simplement, en rétablissement les faits, parce que Noor avait tendance à souvent trop parler sans capter que y a quand même une frontière dans l’acceptable. « Je connais peu de personne qui serait capable de dealer avec ce genre de détails » Jules relève sincère en croisant ses opales. « Quand à ton secret, t’as eu une vie avant cette émission, j’vais pas te la reprocher ou m’en servir surtout que ça change rien à ce que je pense de toi et ça ne te définit pas » il met les choses à plat en haussant les épaules. C’était simplement ça qu’il retenait, chacun se trimballait son background, ils le savaient dès la signature de leur contrat pour cette télé-réalité. Elle lui lance une info qui a son importance, Clay va effacer ses videos, wtf. Les sourcils froissés, il lui lance un regard interrogateur. « Ah bon ? Pourquoi ? » Jules demande. Dans son esprit, Noor, elle en a plus rien à faire de ses vidéos parce qu’elle est largement passée à autre chose et qu’elles n’ont plus d’emprise sur son présent si ce n’est l’effet médiatique de son secret récemment dévoilé. Qui finira par s’estomper à la sortie très rapidement. Ils se relancent en pleine face une ancienne discussion, initiant leurs fondations bancales. « J’ai dit ça ? » il feint le trou de mémoire en lui lançant un regard ironique. « Erreur du débutant » le parisien concède en se penchant vers elle pour mieux la soulever, poids plume. Les jambes de Noor s’enroulent naturellement autour de son bassin et lui glisse ses bras sous ses fesses pour la maintenir avant de se diriger vers une banquette. « J’ai fait beaucoup plus simple, j’ai refusé d’emblée la mission » Jules étire dans un sourire. Il avait laissé peu d’espace à l’interventionniste de la production concernant ses relations et notamment celle avec Noor. Jules, il avait surtout capté qu’il fallait qu’il se positionne cette fameuse semaine parce que ça avait assez duré, leurs conneries d’ado incapables de s'entendre.  Il étire un sourire en attendant sa fameuse question « à quel moment », Jules se contente de lui voler un baiser avant de lui répondre. « Hm à partir du moment où j’ai capté que j’adorais te contrarier ? » il propose dans un rictus. C’est vrai, habituellement Jules n’est qu’indifférence avec les autres, se contentant d’être là, sans trop l’être non plus. « Y a pas vraiment de moment je pense, il ne m’a pas fallu trop de temps pour comprendre -parce que tu t’es toujours assumée- que tu étais aussi grande gueule qu’impliquée, aussi paradoxale que pseudo logique et déterminée et que ça me plaisait » il souffle en haussant les épaules en la regardant. « Bref, rapidement quoi » Jules finit par résumer parce que sinon il va clairement se perdre.
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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Mar 3 Nov - 14:12



Elle glisse un sourire malicieux à son commentaire, qui n’est probablement pas faux. « Tout de suite me vexer… » elle souffle, comme s’il était à côté de la plaque. Il n’y a qu’à voir comment elle part en live à la moindre contrariété, Noor, à la façon d’une môme capricieuse qui peut jouer avec lui mais qui ne supporte pas qu’il joue avec elle. Deux poids deux mesures, et Jules a le bon sens d’éviter le problème à la source. « Ca sera notre petit truc à nous » elle conclut, histoire de contenter tout le monde. Il improvise un petit move de danseur qui lui fait arquer un sourcil, se pliant à l’exercice malgré tout dans un sourire. Elle retrouve rapidement le contact de son corps contre le sien, ses mains retrouvant leur place naturelle derrière son cou. Elle profite de sa qualif’, oui, elle ne le montre peut-être pas autant qu’on l’imaginerait venant d’elle mais elle est contente d’être là, malgré ses insécurités ponctuelles toujours plus exacerbées à cause du contexte, du jeu, des caméras. Elle l’est d’autant plus avec Jules à ses côtés, comme si sa présence était le remède à la morosité ambiante qui a envahi le block avec le départ de l’essentiel des anciens candidats. La perspective de l’entendre faire un discours l’amuse probablement plus qu’elle ne le devrait. L’handicapé de la parole, obligé de préparer quelque chose incluant plus de deux phrases pour ne pas avoir l’air d’un idiot face aux autres discours… De quoi offrir à Noor matière à se moquer gentiment. « Vu mon état actuel ça ne devrait pas être bien compliqué » elle lui fait remarquer. Elle a les émotions à fleur de peau, elle craque pour un oui ou pour un non sans aucun moyen de se retenir, de la même façon qu’elle est incapable de retenir ses colères, ses frustrations, ses joies et ses désirs. Un putain de livre ouvert en permanence. « Dis-toi que tu me donnes une dose pour un petit moment » elle poursuit, en se plaçant dans le rôle de l’addict aux petites déclarations mims. Elle a probablement pas choisi le bon mec pour ça, mais elle s’adapte Noor. Jules tente de rétablir la vérité, et elle l’observe faire avec un peu de perplexité dans le regard. « J’essayais juste de protéger mon secret. » Difficile de faire autrement que de le noyer dans des détails, y compris ceux qu’il ne souhaite pas savoir. « T’as l’air de croire qu’on a fait des trucs de ouf alors que c’est pas le cas, je voulais juste te perdre dans mon histoire. » Et comme Noor ne sait pas mentir, elle a fait la seule chose qu’elle pouvait faire : trop parler, trop en dire, insister lourdement sur des sujets qui le mettent mal à l’aise pour le détourner de la vérité. Au final, ça ne lui a pas trop mal réussi. Il la rassure sur son secret et elle se contente d’acquiescer en ancrant son regard dans le sien, avant de lui parler de la faveur demandée à Clay. « Parce qu’en en parlant samedi, j’ai probablement rouvert la boite de Pandore pour un moment et je suis venue ici pour la fermer » elle lui répond très sérieusement. Elle veut laisser son passé précisément à cette place, et préfèrerait de toute façon ne pas avoir à dealer avec cette ombre sur leur couple qui aura déjà bien assez de galères sans avoir besoin de rajouter celle-ci. Ils ne s’attardent pas sur le sujet et dévient à la place sur leur petit best-of de leurs meilleures citations, chacun s’étant donné niveau promesses foireuses d’entrée de jeu. « Ou bien je suis juste irrésistible et t’as pas réussi à t’empêcher de t’attacher ? » elle suggère, le sourire espiègle, tout en enroulant ses jambes autour de lui pour se faire porter jusqu’à la banquette. « Sérieux ? Intéressant… » Son sourire s’élargit tandis qu’elle s’installe sur ses genoux, ses bras toujours accrochés à son cou. Elle se doute que ça tient davantage à son refus de laisser la production s’immiscer dans ses histoires, qu’à son refus de la repousser, mais Noor retiendra la version qui l’arrange le plus comme il doit s’en douter. « Moi je devais te voler un baiser, mais t’as été trop rapide » elle lui indique d’un ton moqueur, même si c’est la vérité. Elle a du se rattraper autrement. « Parce que je m’en fiche que la prod se mêle de mes bails si ça va dans le sens qui m’arrange. » Autant être honnête sur le sujet, elle aurait été nettement moins open si on lui avait demandé de l’ignorer ou de le repousser. « C’est un peu cruel cela dit tu trouves pas ? Si t’avais accepté la mission, j’aurais tenté quelque chose, tu m’aurais recalée, et on serait peut-être passés à côté de nous. » Elle affiche une moue boudeuse face à cette réalité alternative. Heureusement que Jules place pas le jeu avant tout le reste. Sa moue disparaît rapidement quand Jules lui révèle ce qui l’a séduit et elle l’écoute, captivée par ce portrait express d’elle-même. Instinctivement, ses lèvres viennent effleurer les siennes, jouant avec lui quelques secondes avant d’approfondir son baiser, son corps cherchant déjà l’appel du sien. Elle se détache à contrecoeur en se rappelant des caméras rivées sur eux. « Tu vois, ça va le faire pour ton discours » elle souffle à son oreille, mutine, avant de se remettre face à lui. « Moi tu m’as plu direct. Avant le premier prime, quand je me suis tapée l’incrust’ sur votre îlot. » Il doit probablement s’en souvenir aussi bien qu’elle, quand elle se tapait déjà des missions à la con à base de paroles de chansons, limitant grandement sa capacité à communiquer avec lui. Elle s’était concentrée sur Mael par facilité, mais son esprit était déjà tout occupé par Jules. Sans la moindre transition, mis à part le lien entre leur relation ici et le futur qu’ils pourraient se créer à l’extérieur, elle repense à son secret à lui. « Tu vas recommencer à héberger des gens ? » elle lui demande, parce que c’est ce qu’elle a compris de sa révélation. « Tu serais à risque encore si tu le refaisais ? On pourrait te renvoyer en prison ? » Qu’elle sache si le syndrome du sauveur de son mec l’oblige à transformer ses visites à Paris en visites conjugales.
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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Mer 4 Nov - 21:08



Il esquisse un sourire. « T’es à fleur de peau cette semaine » il glisse dans un constat mêlé à l’étonnement, ses bras s’enroulant autour de la belle. Il a encore en souvenir sa main serrant fort la sienne lors du dernier prime pour s’assurer de sa présence toute la semaine. Evidemment Jules lui avait cédé, abdiquant sa liberté pour la retarder d’une semaine afin d’étirer leur parenthèse un peu plus longtemps. Le parisien se fait attentif lorsqu’elle rebondit sur son secret ou le service qu’elle va demander à Clay. « D’accord, de toute façon, fais ce qui te semble être le mieux. J’te soutiens peu importe le bail » il avance l’évidence en soutenant son regard sans ciller, vidéos ou pas vidéos, il était à fond dans ses délires même s’il se plaisait de temps à temps à se montrer revêche. « Ça fait combien de temps que tu n’as pas vu ta mère déjà ? » il questionne doucement. Noor, elle lui fait son cinema en retenant ce qu’elle veut. Il dodeline de la tête pour lui dire que ça devait être ça, il s’était fatalement attaché à son caractère de merde et son petit 1m60. Elle continue son rôle concernant la semaine 4 et leurs missions respectives. « Tu sais pas, peut être je serai venu te gratter la nuit comme un charo après t’avoir recal » il se marre, c'est typiquement pas son genre. Il se fait faussement assujetti à sa volonté de le faire attendre, souriant quand il essaie de s’avancer pour capturer ses lèvres et qu’elle recule pour lui faire comprendre que c’est elle qui décide. Une de ses mains se glisse sur sa nuque, l’embrassant longuement, assez pour rendre leur souffles anarchiques avant qu’ils ne se fassent plus décents. « Tu vois, ça, ça ne me manquera pas » il cale en faisant référence aux cameras qu’ils intégraient dans leur calcul, l’absence d’intimité qu’on leur imposait. Jules depuis qu’il était out soit soit deux semaines, il avait l’impression de s’infliger ça complètement gratuitement encore plus parce qu’ils étaient souvent ensemble. En vrai, rien ne lui manquera Jules, il l’a déjà dit à Noor. Ses potes d’ici, il sait qu’il les reverra, Noor, il repart carrément avec elle pour un périple d’un mois vu leurs ambitions du moment, voire plus. Le reste n’a aucune importance si bien que la nostalgie ne parvient pas à s’infiltrer, trop imperméable ou détaché du phénomène. Jules perd son fil rouge et complètement hors sujet : « D’ailleurs hâte de voir comment tu vas gérer la distance, toi » il ne peut pas s’empêcher de se moqueur parce qu’il avait conscience que c’était une fille du moment. « Vu comment t’étais à bout après 5 semaines » d’abstinence. Elle lui avait même sorti qu’il s’était fait désiré, ce qu’il n’avait pas fait, selon lui. Pour trancher la chose, ils s’étaient contentés d’un tout est relatif. Noor revient sur son secret. « J’en sais rien mais je ne pense pas dire non si on me le redemande » il lui répond honnêtement sans vision sur le long terme. Il était sorti de taule et avait enchainé avec OMB. Jules s’était souvent demandé si la fin avait été différente si Chani n’était pas restée aussi longtemps chez lui, à se complaire dans leur confort relatif à deux. « Mais cette fois je serai mieux préparé, si jamais » il étire dans une nonchalance agaçante, comme si cette année sans liberté ne l’avait pas marqué. « L’affaire a fait du bruit, ça m’évitera surement une deuxième condamnation » à cause de sa nouvelle dimension politique, évidemment la plupart des grosses associations françaises s’étaient emparées de cette affaire pour en faire un de leur combat. Ses opales squattent celles de Noor, pour essayer de la décrypter. « T’as peur que je t’abandonne avec mes conneries ? » il questionne un peu sérieusement bien que l’idée l’avait fait sourire au départ. Noor, elle dealait mal avec tout ça depuis samedi soir. « Mais t’inquiète y aura personne quand tu viendras » il la rassure dans une certaine ironie, même si c’est véridique. Jules, il a quand même hâte de la voir évoluer dans son bordel. Le bout de son nez vient chercher celui de Noor dans un geste tout doux. « T’auras un king size sans cams dans ma chambre d’amis » il provoque, un sourire léger au bout des lèvres. Parce que oui, son appartement était suffisamment grand pour avoir une chambre d’amis, un palace en banlieue, il avait fait son choix sur le moment.
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Re: fever - (mardi s9, 01h00)
Mer 4 Nov - 22:46



« Ouais... je sais pas trop pourquoi. » Elle a ses phases, Noor, ses moments où sa sensibilité est exacerbée sans qu'elle sache bien ce qui influence ses humeurs. Elle suppose que c'est l'imminence de la fin, l'aventure qui touche à son terme et la perspective de l'après encore flou. D'habitude, le flou ça lui plaît bien, ne jamais savoir à l'avance ce qu'il se passera, échafauder des dizaines de plans et finir par prendre des décisions random sur des coups de tête. Mais dans ce cas de figure précis, sans qu'elle arrive à mettre le doigt sur ce qui lui pose problème, elle a du mal à gérer l'inconnu qui les attend. Elle a envie de mettre simplement ça sur l'épuisement, après autant de semaines d'une telle intensité, ça finit par impacter mentalement, moralement, et pour une fille qui vit ses émotions en permanence sans le moindre filtre pour ralentir la cadence, l'impact est encore plus difficile à maîtriser. Si elle ne s'attendait pas à ce que Jules lui impose quoi que ce soit, en avoir la confirmation lui suffit. « Merci » elle souffle, sérieusement. Elle ne l'aurait pas écouté, de toute façon, préférant le plaisir simple de n'en faire qu'à sa tête, mais elle apprécie de savoir qu'il lui laisse décider de ce qu'elle veut faire. « Trop longtemps. » Deux ans et quelques, elle croit se rappeler. Elle a honte, parfois, de pas se faire plus présente dans la vie de sa mère, de se contenter de vidéos, de messages, plutôt que de faire l'effort d'aller la voir et passer du temps ensemble, mais le poids de la déception qu'elle lit dans son regard est trop dur à accepter. Elles ne verront jamais les choses de la même façon, sa mère ne comprendra jamais pourquoi Noor a fait certains choix, et ne cautionnera jamais que sa fille soit prête à tout faire pour lui assurer une vie plus confortable. Noor la soupçonne parfois d'avoir honte et d'être trop fière pour appeler à l'aide, un trait de caractère dont la benjamine aura hérité tandis que l'aîné se complait dans sa dépendance familiale. « Mais je vais aller la voir bientôt. » C'est important. Elle s'en voudrait beaucoup trop de rater sa chance avec sa mère et Noor veut pas devoir gérer les regrets s'il lui arrivait quoi que ce soit. Parler de Jules et d'elle, retracer les moments qui les ont amenés ici, c'est bien plus agréable que de s'appesantir sur sa famille. « C'est moi qui t'aurais recalé, j'ai un peu de dignité quand même » elle s'amuse en imaginant la situation, Jules tentant un move dans son box au beau milieu de la nuit et Noor l'envoyant chier par principe. Elle aurait évidemment tenu trente secondes avant de finalement le laisser faire, parce qu'elle n'a effectivement pas le moindre self control, surtout avec lui, et que ses désirs passent avant son égo en la matière. Son regard suit le sien et se heurte aux caméras qui les scrutent et dont la présence permanente rend tout plus compliqué. « Dans quelques jours, on pourra faire ce qu'on veut » elle murmure à son oreille dans un élan assumé de provocation. Elle s'imagine déjà lui sortir le grand jeu, avec sa lingerie affriolante, à prendre le temps de le séduire dans les règles de l'art jusqu'à le rendre un peu fou. Ici, ils sont toujours contraints de maintenir un peu de pudeur, à se réfréner dans leurs moindres instincts pour ne pas donner en pâture leur intimité, mais une fois dehors, débarrassés de ces caméras qui les scrutent en permanence, elle ne le quittera pas une seconde, s'attèlera à le conquérir encore et encore, à sentir son souffle s'accélérer, son cœur battre à tout rompre contre sa peau. La perspective lui arrache un sourire rêveur avant qu'elle ne revienne à la réalité. « Tu connais les sextos ? Je t'apprendrai » elle se moque, même si la question se posera forcément à un moment avec elle. Pour le reste, elle apprendra simplement à gérer l'absence de lui, jusqu'au moment où elle s'imposera définitivement dans sa vie sans vraiment lui laisser le choix, quand elle en aura marre de gérer la distance et ses contraintes. « T'as l'air de penser que tu vas pas galérer toi, je sais pas comment je dois le prendre » elle se plaint en étouffant un rire dans son cou. Noor saura trouver les arguments pour lui manquer, si sa seule absence ne suffit pas. Elle recouvre son sérieux en évoquant le secret de Jules. Si elle avait un tas de questions à poser samedi, elle réalise que la principale est aussi simple que ça : est-ce qu'il va recommencer ? Il n'a pas l'air d'hésiter, prêt à refaire la même chose s'il en a la possibilité au mépris de tout ce que ça peut engendrer comme conséquences. « Fais gaffe, quand même » elle se contente de lui répondre. Elle ne voudrait pas que son excès d'assurance le ramène tout droit derrière les barreaux d'une cellule. « J'ai peur que tu m'abandonnes tout court oui » elle reconnaît très sérieusement. Pour jouer les sauveurs, ou parce qu'en-dehors du jeu, il réalisera qu'il n'a plus envie d'être avec elle. Ca tient moins aux tentations de l'extérieur, parce qu'il est pas ce genre de mec, qu'à la réalisation intrinsèque que ce qu'ils partageaient ici ne peut pas se retranscrire dehors. « Mais je suis trop bien comme meuf, je vois pas pourquoi tu m'abandonnerais » elle conclut finalement, le sourire malicieux dans un regain d'égo. Elle a pas envie d'être la meuf noyée dans ses insécurités, parce qu'elles sont exacerbées par leurs conditions actuelles. Mais parler d'abandon, chez elle c'est jamais anodin. Elle arque un sourcil, vaguement agacée par sa provocation gratuite – ce qui était inévitablement le but recherché, elle le sait. « Pourquoi, tu comptes offrir la place dans ton lit à une meuf que tu voudras sauver ? » elle répond directement, avant de lever les yeux au ciel. « C'est mort. » Comme ça la question est réglée, s'il y avait le moindre doute. « Change pas ton programme pour moi cela dit. Si je viens et qu'il y a des gens, ça me donnera une petite idée de ce que c'est, ton quotidien » elle reprend un peu plus sérieusement, la provocation mise de côté. « J'ai envie de te découvrir dans ton environnement et je suis très adaptable comme meuf de toute façon. » Pourvu qu'à la fin de la journée, ils s'endorment dans les bras de l'autre, elle demande rien de plus que ça.



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