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 sometimes vocabulary runs through my head. (mardi 4, 14h49)


i'm from season three, b*tch
Salem
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Salem



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sometimes vocabulary runs through my head. (mardi 4, 14h49)
Dim 2 Mai - 9:15



((the alphabet runs right from A to Z, conversations, hesitations in my mind, you got my conscience asking questions that I can't find))
"Ah, t'es là." Salem lance, le ton un peu passif-agressif alors que son regard se plante sur @Elvis qui a l'air de dire 'pas encore, Salem?', mais le gallois lui laisse pas trop le temps d'en placer une et il lui balance son cadeau à la figure. Enfin. Il visait un peu trop violemment les mains quoi. "Tiens j'ai oublié de te donner ça l'autre jour avec tes conneries là." Il marmonne, toujours dans l'esprit de râler comme il faut avec Elvis, agressif par la gène que ça occasionne ce genre de comportement là, à offrir des cadeaux comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Le pauvre, là, installé sur son skate parterre, certainement en train de prendre une petite pause jusqu'à ce que la furie Salem débarque et lui balance son truc à la gueule. Bon, au moins c'est pas censé faire mal donc Salem panique pas trop pour le coup. "Joyeux anniversaire." Il lance, l'air grognon, son regard sur le candidat alors qu'il retient un peu son souffle, déjà dans sa tête il s'est dit qu'il était hors de question de parler du prime et des images passées sur l'écran, autant pour lui que pour Bird, au final. "T'attends pas à un cadeau de dingue, ça vient du thrift shop." Au cas où. Du bout de sa basket ensuite il vient tapoter le skateboard, son regard plongé en contrebas sur Elvis. "C'est quand que tu m'emmènes faire un tour ?"
i'm from season three, b*tch
Elvis
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Elvis



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Re: sometimes vocabulary runs through my head. (mardi 4, 14h49)
Lun 3 Mai - 12:45



Il est en train de se griller une clope entre deux sessions de skate intensives. Son seul défouloir du moment. Les pensées se bousculent dans sa tête et certains toc commencent à réapparaître, le résultat d'une hypomanie latente. Il a peur de faire une crise, ici, devant tout le monde et le fait d'être soumis à autant de pression et de troubles émotionnelles participe à son mal être. Donc ces derniers jours, il s'applique à prendre son traitement, de vérifier sa température de l'humeur, de décompresser, de se défouler. Tous les moyens possibles pour contrer cela, pour en atténuer les symptômes. Son psy l'a prévenu, il faudra plus de temps pour que son rééducation fasse effet. Il terminait sa clope lorsque @Salem vient l'accoster, le tirant de son introspection. Il reçoit violemment entre ses mains, à ce qui ressemblerait à un paquet de cadeau. Il lève les yeux vers lui, les oreilles rosées et un grand sourire à la bouche. Le premier de la semaine. Son anniversaire paraît si loin désormais, or à cet instant, il est touché par ce geste. Il finit par lever et l'embrasser tendrement sur la joue pour le remercier : — Merci, fallait pas., qu'il lui souffle. Il examine le cadeau de plus près. — Il y a quoi à l'intérieur ? Il provient du thriftstore, apparemment. Déjà, ça a tout pour lui plaire. Il se laisse tomber sur l'herbe, prêt à l'ouvrir jusqu'à ce que le pied du gallois tapote son skate. — Quand tu veux ma Thelma. Il sera sa Louise pour le coup. A partir en roadtrip, à filer vers l'horizon sans jamais se retourner. Bon le skate, c'est mieux glamour qu'une caisse. — Laisse-moi quelques minutes pour récupérer un peu et je t'emmène loin d'ici. Ca lui ferait du bien de s'éloigner, de se barrer, de s'enfuir. Loin des problèmes, loin des tout. — J'crois que j'ai surtout besoin d'une infirmière là. Il sait pas vers qui se tourner en cet instant, il est de ceux qui connaissent sa condition psychique. Là, il a besoin qu'on l'écoute, qu'on ne le juge pas. Qu'on l'écoute, c'est tout ce qu'il veut. — J'suis à bout, Salem. A ce rythme-là, j'crois pas pouvoir tenir. C'est trop, trop intense. Trop de gens, trop d'émotions. — Après un an et demi de dépression et deux ans de thérapie, je réalise que j'ai besoin de plus temps pour guérir. Il ne pourra jamais guérir complètement, mais apprendre à vivre avec, oui. A commencer, par accepter sa condition et d'arrêter de faire comme si de rien n'était.
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Re: sometimes vocabulary runs through my head. (mardi 4, 14h49)
Lun 3 Mai - 16:25



Il s'attendait pas à ce qu'@Elvis se lève pour venir l'embrasser sur la joue, lui faisant automatiquement froncer des sourcils et buguer un peu à Salem, il passe en pilote automatique pendant une seconde, le souffle court et il observe le candidat se remettre dans l'herbe. Au moins il est content de son cadeau, prêt à l'ouvrir, mais il continue de parler quand même et ça le fait froncer des sourcils. "Tu veux pas l'ouvrir pour voir, peut-être ?" Salem répond presque automatiquement quand Elvis demande ce qu'il y a dans le paquet parce que, oui, il lui a même fait un joli emballage, ça pourrait être notifié ça aussi. Le gallois enfonce ses mains dans son pantalon cargo, s'intéresse au skateboard d'Elvis en attendant, et il lui jette un coup d'oeil amusé en l'entendant avec sa référence de film. Encore une histoire tragique, à croire que Salem les attire. "On part pour le Mexique, ma Louise ?" Il glisse avec un éclat dans le regard, il tombe si facilement pour ce genre de choses, Salem. Mais Elvis parle ensuite de ce besoin d'infirmière et l'air un peu plus sérieux, le Rose l'observe, se rapprochant un peu de luis pour venir s'installer à ses côtés avec douceur, peut-être un peu trop près, il calcule pas tout de suite. "Je pense pas que tu puisses totalement guérir, tu sais. Mais tu peux apprendre à le gérer et si tu as des crises de temps en temps, c'est pas bien grave, c'est toi. Et c'est une partie que tu ne peux pas effacer, qu'on ne te demande pas d'effacer non plus." Il reprend, Salem, il en a toujours eu marre des gens qui rendaient tabou les maladies mentales. Sa main se glisse dans la sienne et leurs doigts se mêlent, il arrive à se déco de ses propres sentiments avec trop d'aisance Salem, et son regard se plante dans celui d'Elvis alors qu'il remonte ses genoux contre son torse. "Faut juste que tu sois bien entouré, si tu as des gens sur qui compter alors ça passe. C'est moins dur." Il fait remarquer, caresse de son pouce le dos de sa main, y trace des cercles légers. "Autant ici que dehors. C'est juste qu'ici c'est un peu plus compliqué de bien t'entourer parce que les gens pensent au jeu avant tout." Il fait remarquer en venant poser sa joue contre ses genoux, son regard toujours vrillé sur Elvis. "Je vais nul part, moi. Sauf au Mexique." Mais il est de la partie aussi.
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Re: sometimes vocabulary runs through my head. (mardi 4, 14h49)
Jeu 6 Mai - 22:09



Apparemment, @Salem a un cadeau d'anniversaire pour lui. Parfaitement enrubanné, il déchire le papier comme un môme et y découvre un t-shirt à l'effigie des Razmokets. Il lance un : — Chee hoo ! Bien de chez lui, puis il enchaîne. — Mahalo ! Du fond du coeur. Ce genre de t-shirt aurait fait plaise à Vel aussi. On les a baptisé les Grumeaux durant toute leur enfance pas pour rien. A faire des bêtises dans leur coin, en s'en tirant de justesse de leurs conneries. Il ôte le t-shirt blanc qu'il a sur le dos pour le troquer pour une autre pièce. — Alors, comment tu me trouves, ma Thelma ?, lui demande-t-il en se tournant sur lui-même pour lui montrer le résultat. Parfaitement fitté, en plus. Que demander de mieux ? Il est à deux doigts de lui faire un câlin mais il se ravise à la dernière seconde car il a compris que ce n'était pas trop son truc à Salem. Mais la gratitude y est, dans la manière dont il le gratifie d'un sourire solaire. Il redevient sa Louise, ce dernier mentionnant Mexico. — Oui, tout droit. Vers le soleil couchant. Comme dans le film, mais le ending tragique en moins. Il rêverait de partir à l'aventure avec lui. Avec un compagnon de voyage comme le gallois, ça promet. Très vite, ec laisse place à l'engorgement, la saturation. Finalement, il en peut plus de tout contenir à l'intérieur, Elvis. Ca fait des jours qu'il lutte contre ce mal qui le ronge au quotidien, tout en maintenant un masque de circonstance. Mais le masque finit par se fissurer, laissant entrevoir un gamin apeuré par l'obscurité, recroquevillé dans le noir. Cerné de tout part, il sent un début d'angoisse monter en lui mais la main de Salem finit par le remonter à la surface. Il l'écoute, avec attention, le regard hagard, la main dans la sienne. Il ne peut pas pleurer, il n'y arrive plus mais sa détresse est palpable — Tu as raison., qu'il expulse, la voix enrouée par l'émotion. Il a besoin d'être soutenu, qu'il lui dit. Ici et à l'extérieur. La seule personne qui représente tout cela à la fois ne lui parle plus depuis des jours. Quand il repense à Kieve, ça le rend d'autant plus triste. — Tu es un de ces gens, Salem ? Peut-il compter sur lui ? Lui offrira-t-il à nouveau sa main pour le relever comme à cet instant ? Il l'espère, en tout cas. — Tu ne préfères pas Hawaï plutôt ? Je sais combien tu raffoles des noix de coco., qu'il suggère, mi-souriant, mi-grimaçant. Le mal du pays le regagne, à la simple mention de son île. Il embraye ensuite sur un tout autre sujet : — Si tu pouvais remonter le temps, quel conseil donnerais-tu à ton toi, plus jeune ? Elvis se rend alors compte, il ne connaît rien de Salem. De son passé, de son enfance, de sa famille, de ses rêves brisés. Qui se cache derrière ce regard acéré, ce bagou mordant ?
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Re: sometimes vocabulary runs through my head. (mardi 4, 14h49)
Ven 7 Mai - 15:12



"Ok par contre mon niveau de hawaïen il s'arrête à Lilo & Stitch." Salem prévient en entendant les différentes exclamations d'@Elvis face à son cadeau, mais il croit vaguement se rappeler que mahalo ça veut dire merci. Bon, voilà que le Violet se met à poil devant lui, retire son t-shirt pour faire un échange et voir que celui des Razmokets semble lui aller comme un gant. Il pousse un léger sourire, Salem, et plante son regard sur lui ensuite. "T'es plutôt pas mal, Louise." Il glisse, sourire au coin des lèvres avant de se rapprocher de lui jusqu'à s'installer à ses côtés dans l'herbe, étant ses jambes pour croiser ses boots sur le skateboard face à eux, à rêver de s'enfuir au Mexique, ni vu ni connu. Le rêve flotte entre eux, quelques secondes, avant de disparaître doucement, parce qu'Elvis, à ses côtés, semble replonger dans une torpeur qu'il a du mal à quitter. Il voit d'un coup le masque s'effriter pour laisser place à la détresse en-dessous, une détresse qui réveille Salem, alors que sa main vient récupérer la sienne sans plus attendre et mêler leurs doigts. "Bien sûr." Il souffle, faisant une promesse qu'il est sûr de pouvoir tenir pour le coup, il ne laisserait jamais quelqu'un souffrir comme ça, se battre avec une maladie mentale aussi importante. "Je suis ton infirmière, non ? J'ai pas le droit de partir comme ça." Il rajoute avec un sourire en coin, il ne fait pas trop gaffe, Salem, avec sa joue posée contre ses genoux pour pouvoir mieux observer Elvis, avec sa main dans la sienne comme ça. Ce n'est que lorsque l'autre candidat parle de Hawaï qu'il se permet un léger sourire et de reconnecter un peu avec la réalité, son regard se posant sur leurs mains, et Salem inspire un peu. "C'est vrai, tu as bien retenu. On peut y aller. Tu me feras visiter ?" Il demande, plantant son regard à nouveau dans le sien, sérieux. La question qui suit le prend un peu par surprise et Salem se retrouve à se mordiller la lèvre une seconde, réfléchissant un peu à une réponse. "Pas aussi sharp les sourcils, kiddo?" Il propose en éclatant doucement de rire, vraiment ces sourcils de son début de drag étaient abominables. "Je lui dirais rien à ce gamin, juste d'apprécier l'énorme chance qu'il a de grandir dans une famille comme la sienne." Tout se passait bien dans sa famille, c'est juste le divorce qui a un peu rendu les choses plus bancales, mais rien qu'il ne regrette vraiment. "Arrêtes de vouloir manger autant d'ananas alors que tu y es allergique, aussi."



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