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 Ottolenghi. (mardi 18/05, 10h40)


season three - winner winner chicken dinner!
Sasha
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Sasha



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Ottolenghi. (mardi 18/05, 10h40)
Dim 16 Mai - 13:04



@evey

Sasha est en quête d'Evey. Elle a envie de sa douceur et de son amitié toute naturelle, elle a envie de se poser et parler de tout et de rien. Alors elle délie les jambes après un long moment à rêvasser, s'étire doucement et glisse jusqu'à la cuisine pour mettre de l'eau à chauffer et remplir deux infuseurs de thé. Armée de ses deux tasses, elle parcourt en marche rapide ses environs immédiats, le rez-de-chaussée puis l'étage et c'est finalement sur le filet suspendu qu'elle repère la silhouette léonine de sa copine. Doucement, elle aligne des pas prudents sur les mailles, en faisant attention de ne pas trop les secouer, pour la rejoindre. « Pour toi » elle roucoule en lui tendant la tasse brulante. ça fait un petit moment qu'elle est réveillée, Sasha, mais il n'y a pas d'heure pour une boisson chaude et elle aime ce cocon qui leur donne vue sur les autres, en bas, qui vaquent à leurs occupations. Elle s'installe en tailleur à côté d'elle, le nez dans sa tasse. « Dis, je peux voir ton écriture ? » elle demande sans crier gare, dans l'un de ces stitch qu'elle a, parfois. Sash, elle a toujours un cahier et un bic sur elle, c'est plus qu'un réflexe à ce stade, ça serait comme sortir sans pantalon. Elle pose un regard curieux sur Evey. « J'aime bien voir les écritures des gens, c'est comme si on pouvait voir leur voix » elle explique avec un sourire. Comme avoir leur voix par écrit, et l'inverse aussi vraie : la voix c'est l'écriture de quelqu'un mais à l'oral. Pour elle, c'est aussi unique et aussi significatif. Et tout particulièrement dans le cas d'âmes comme celle d'Evey, pour qui écrire est important et qui met une part d'elle-même dans son journal. Elle est certaine qu'elle pourra voir toutes les variations de ses émotions dans les traits sur le papier, dans le tremblement de ses lignes droites et la rondeur des courbes. « Vous avez prévu quelque chose pour l'avenir, avec Sirius, alors ? » elle demande, sans transition. Elle aime les voir évoluer tous les deux, capter leurs regards, leurs sourires, les petits gestes discrets qu'ils échangent quand personne ne fait attention, même les plus insignifiants. Sasha, ça la rend heureuse de voir Evey heureuse, après tout ce qu'elle lui a dit sur sa vie, sa famille, sur l'amour.  « Je pourrai quand même venir te voir à New York ? » elle fait mine de bouder. Parce que si ça se trouve, Evey, son plan, c'est de prendre le premier avion vers Los Angeles ou même ailleurs. Et Sasha, elle se voyait déjà en pure meuf de Brooklyn, dans son loft artsy, à trainer dans les musées et les librairies indies, son café à la main. « T'avais répondu quoi à Mara, d'ailleurs ? Pas l'Europe à tout hasard ? » elle s'enquiert, le regard mutin. Faut répondre oui même si c'est faux, là, Evey. C'est la clé pour avoir l'accès à Paris.
i'm from season three, b*tch
Evey
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Re: Ottolenghi. (mardi 18/05, 10h40)
Dim 16 Mai - 22:33



Elle est d'humeur pensive en ce moment, Evey. Pas morose, pas triste, pas appréhensive, seulement dans un élan d'introspection qui la pousse à se renfermer un peu sur elle-même. C'est peut-être parce qu'elle sent que la fin se rapproche d'eux petit à petit, couplé à un rien de frustration dans sa chasse aux secrets. Elle parcourt ses notes dans son carnet, reprenant posément les indices qu'elle possède sur l'un ou l'autre, à la recherche d'une connexion qui lui aurait manqué. Elle a besoin de se prouver à elle-même qu'elle en est capable, Evey, qu'elle peut s'illustrer autrement que pour sa seule relation avec Sirius. C'était plus facile quand elle devait cacher son secret : s'ils formaient déjà un duo évident, les tenants et les aboutissants étaient plus ténus. Désormais, ils ne sont plus seulement un duo, ils sont une entité, qu'elle préférerait ne pas voir devenir indivisible. L'arrivée de @Sasha met un terme à ses réflexions et elle referme son carnet pour l'accueillir de sa douceur habituelle. « C'est trop gentil, merci Sasha » elle répond en attrapant la tasse de thé brûlant, veillant à ne rien renverser. Elle la prend par surprise avec sa question, mais à ce stade elle devrait savoir que l'esprit de la Française est un véritable mystère et qu'il est impossible de comprendre son cheminement. C'est ce qui fait son charme, ce qui lui a plu d'emblée quand elles ont échangé leurs premiers mots sur l'îlot juste avant le premier prime. « Oui bien sûr » elle fait avant de lui tendre son carnet sur une page au hasard. Une simple description d'une journée, de ses moments forts, quelques semaines plus tôt. Elle a toujours eu une écriture soignée Evey, c'était sa marque de fabrique à l'école : l'écriture sur laquelle il était facile de copier parce qu'elle se lisait même depuis une autre table. Les lettres sont rondes et nettes, toutes droites mais légèrement resserrées sur elles-mêmes. « Il paraît que quand l'écriture est serrée, ça montre un manque de confiance en soi, comme si on voulait se faire tout petit en regroupant les mots sur eux-mêmes. » Elle ne sait pas si c'est réellement le cas pour elle, ou s'il y a un vrai lien de cause à effet, mais elle n'a de façon générale jamais brillé par sa confiance en elle, sans pour autant être névrosée sur le sujet. « On n'en a pas encore parlé. On profite un peu de notre bulle, pour l'instant... » Une bulle où tout est simple, où personne ne vient s'immiscer entre eux, où le poids de son sacrifice ne leur pèse pas dessus. Comme un couple qui se découvre pour la première fois. La question de Sasha lui tire un sourire lumineux. « Bien sûr, tu seras toujours la bienvenue à New York ! » Ou n'importe où ailleurs si elle le voulait, d'ailleurs. Même si Evey ne se projette pas vraiment en-dehors de sa ville pour le moment. « J'avais dit Paris. Entre autres. » Elle glisse un regard amusé sur elle, les lèvres déliées en un sourire tendre. Elle a envie de connaître l'âme de cette ville, dans laquelle elle n'a jamais fait que passer. « Tu me feras visiter ? Qu'est-ce que tu recommandes pour une artiste ? » Elle doit savoir, Sasha, les endroits qui font davantage vibrer l'esprit, les endroits dans lesquels puiser son inspiration. Evey, elle s'imagine bien à la terrasse d'un café avec une tasse sur sa table et son carnet de dessin ouvert, à reproduire les gens qu'elle verrait passer.
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Sasha
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Re: Ottolenghi. (mardi 18/05, 10h40)
Mar 18 Mai - 18:53



Sasha, elle penche aussitôt la tête vers le petit carnet d'@Evey, celui qu'elle a déjà tant de fois aperçu entre ses mains et qui l'a toujours rendue curieuse, surtout depuis qu'elle y a eu accès un bref instant. Elle ne se permettrait jamais de lui demander frontalement tout ce qu'elle écrit dedans, elle sait que ça serait comme lui demander à elle de livrer tous ses dessins, y compris ceux qu'elle fait pour elle, qui n'ont pas nécessairement la vocation à être partagés. Elle n'a rien à cacher, Sasha, et probablement qu'Evey non plus, mais ça reste intime, une partie de leur âme qu'elles déversent chacune à leur façon sur le papier pour la capturer et la chérir. C'est aussi pour ça qu'elle aime découvrir les écritures du monde autour, Sasha, parce qu'il y a quelque chose de très personnel dans la façon de tracer, de lâcher prise sur le papier. Comme les traits de son crayon en disent long sur sa façon à elle de percevoir le monde et la création. Son style, il est comme elle : un mélange de sa vie, la vie réelle, normale, classique, et de tout ce qui se passe dans sa tête en permanence, l'onirisme qu'elle aime toucher du doigt et le côté destroy de son absence total d'instinct de survie. Du doigt, elle suit le tracé des lettres, des mots, des phrases, comme pour y lire l'essence même d'Evey. A l'école, elle aimait toujours découvrir l'écriture de ses nouveaux profs pour y discerner leur personnalité. « C'est vrai ? Moi j'aurais plutôt interprété ça comme une preuve que tu aimes les gens, que tu aimes être ensemble, que ça soit ta famille, tes amis, tes collègues, ton amoureux. Parce que les lettres sont rassemblées. » elle sourit. Elle n'aime pas imaginer Evey comme quelqu'un qui manque de confiance en elle. Plutôt comme quelqu'un qui n'a jamais eu besoin d'avoir confiance en soi, puisqu'elle avait déjà tout. Ceux qui doutent, qui ont peur, qui manquent de confiance, ce sont ceux qui ont quelque chose à gagner. Evey, de par sa famille et sa naissance, n'a jamais vraiment été mise dans cette position-là, elle imagine, Sasha, toujours un peu dans son monde. Jusqu'à un certain point, en tout cas. Jusqu'à ce qu'elle soit capable de réellement appréhender ses décisions et leurs décisions, et capable de vivre sa vie à elle. Alors forcément, c'est quand elle a fait le choix de s'émanciper de tout ça qu'elle a dû commencer à devoir dépendre de sa propre confiance. ça a dû être douloureux et vertigineux. Elle hoche doucement la tête, Sasha. Ils ont raison de simplement profiter. C'est aussi ça qu'ils cherchent tous, probablement. Une pause, une parenthèse, un moment hors de leur timeline réelle de vie pour simplement souffler et prendre leur temps. « C'est comment chez toi ? Ton appartement ou ta maison ? » elle demande d'un air rêveur en se lovant près d'elle, bercée par l'idée d'aller la voir tout là-bas, à New York. Encore une chose qui en dit long sur la personne à laquelle il est rattaché, l'appartement. C'est drôle de commencer à tous les imaginer en dehors d'ici, dans leur environnement habituel. C'est comme découvrir que ses profs ou ses parents ont une vie en dehors de leur rôle de prof et de parent. ça lui serre un peu le cœur, à Sasha, de se rappeler qu'ils ont tous une vie, en dehors d'ici, que même s'ils sont importants les uns pour les autres au sein du block, ce n'est, finalement, peut-être pas grand chose au regard d'une vie entière. Elle lui offre un beau sourire quand elle évoque Paris, Evs. Son cœur bondit dans sa poitrine et elle doit se retenir de pas déjà lui organiser tout un programme détaillé sur six mois à faire avec elle, comme elle l'a fait pour Megan. « Si je te le dis, ça ne sera plus une surprise, tu découvriras tout quand tu viendras » elle se marre doucement. « Mais ne t'inquiète pas, tout est prévu, j'ai déjà tout dans ma tête, musées, concerts, expos, monuments, architecture, photographie parisienne typique, petits coins sympas et sous-estimés, tu vas adorer » elle ronronne en cadrant de ses mains un écran invisible où les visualiser en mode B. & S. à Paris, version plus relax, plus arsty et moins biatch. Elle trempe les lèvres dans son thé bien chaud, Sasha, toute apaisée par le moment. Comme toujours, avec Evey. « J'ai pas la moindre idée de ce que je ferai en sortant d'ici » elle avoue, alors que la réalité, c'est probablement qu'elle rentrera simplement à Paris pour réintégrer son quotidien, avec ses colocs, ses potes, sa famille, son travail. La seule différence, c'est qu'elle aura maintenant des amis aux quatre coins du monde à appeler à toute heure du jour et de la nuit et chez qui elle pourra décider de fuir sur un coup de tête et sans prévenir personne. « C'est drôle non, comme on dirait qu'on est tous à un carrefour de nos vies, juste parce qu'on est là et qu'en sortant, on doit activement décider de reprendre ou non le cours de notre vie comme si rien ne s'était passé ? » C'est sans doute pas anodin non plus. Mais Sasha, elle peut pas s'empêcher de se demander quels changements cherchent tous ces autres, qu'elle a vus évoluer et nourrir sa propre vie pendant des semaines, et qui parviendra à franchir le pas et qui baissera les bras. Evey, évidemment, ils savent dans quelle catégorie elle se positionne et Sasha, ça la rend admirative. Elle avait eu envie de chialer pendant sa révélation. « Quel effet ça fait ? de faire le grand saut ? » elle demande doucement, en posant sa tête sur son épaule.
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Re: Ottolenghi. (mardi 18/05, 10h40)
Jeu 20 Mai - 21:29



L'interprétation de @Sasha lui tire un sourire rempli de tendresse, parce que c'est tout elle, de n'imaginer que la beauté des choses. Evey, elle est capable de faire ça mais principalement pour les autres. Quand il faut parler d'elle-même, elle a tendance à sortir ses mécanismes de défense et partir dans l'autocritique à outrance parce qu'elle ne voit que ce qui va pas. Pourtant elle est capable d'évoquer ses qualités sans vraiment y réfléchir à deux fois, mais quand elle parle d'elle aux autres... elle se renferme un peu. Ca lui fait du bien d'avoir Sasha à côté d'elle, d'entendre sa voix lui raconter ses histoires et de se laisser porter par ce qu'elle lui dit - et surtout d'y croire. Alors peut-être que c'est elle qui a raison dans le fond, que ses lettres rassemblées sont moins le signe de son manque de confiance en elle que de sa capacité à aimer les autres. « Elle est comment, ton écriture à toi ? » La question est retournée, pour pouvoir se prêter à une nouvelle analyse de personnalité. Celle de Sasha, cette fois. Elle lui demande à quoi ressemble son chez elle, et un nouveau sourire étire ses lèvres. « Comment tu l'imagines ? » elle commence par l'interroger avant de se lancer dans la description. « Honnêtement, c'est un appartement beaucoup trop grand pour moi. » Il n'est pas si immense que ça - les prix des logements à Manhattan sont si prohibitifs que même pour tout l'argent qu'elle y a mis, on est loin du grand complexe qu'elle aurait pu avoir à Los Angeles, par exemple - mais il reste probablement surdimensionné pour sa vie à elle. « J'ai essayé de le rendre aussi chaleureux et personnel que possible, on y trouve beaucoup de moi. » Evey, elle n'a jamais compris la mode du minimalisme où tout est blanc, tout est impersonnel, comme une maison témoin sans âme que l'on ne présenterait que pour en vendre les murs. « Il y a beaucoup de tableaux et de sculptures que j'ai trouvés pendant mes voyages, beaucoup de tapis aussi. Et beaucoup de plantes vertes. » Tout ce qui peut habiller les murs et les sols. Et puis des couleurs douces, qui donnent envie de se pelotonner sur l'un de ses fauteuils, avec un plaid et un café face à la cheminée tandis que la pluie martèle aux fenêtres. « Il y a trois chambres, deux salles de bain, une cuisine qui donne sur la pièce à vivre... et une terrasse. » Autant le dire : un véritable luxe. Elle est clairement bien lotie Evey, et elle en a conscience. « Tu verras quand tu viendras, tu me diras si tu me retrouves un peu dans mon chez-moi. » Elle est certaine que oui. Elle n'aurait pas la prétention que tout est arrangé avec goût, mais tout est arrangé pour évoquer tout ce qu'Evey est, et tout ce qu'elle aime. « Et toi, c'est comment ? Tu vis en colocation non ? » Elle imagine un appartement toujours un peu en bazar, où ils se retrouveraient tous le soir sur le canapé, avec une bonne bière fraîche, à refaire le monde. Une pièce à vivre et autour les portes qui accèderaient à chaque chambre, de chaque côté de la pièce. Et deux grandes fenêtres qui donnent sur une rue animée de Paris. Peut-être le centre ? Montorgueil ? Un endroit où les voitures ne circuleraient pas. Comme toujours Evey se laisse emporter par son imaginaire lorsqu'il envisage la vie parisienne, nourrie aux clichés et aux films romantiques. « Oooh c'est vrai ? » Son visage s'éclaire à la seule pensée de ce programme qu'elle leur aura concocté et elle s'y verrait déjà, Evey. A déambuler dans les rues, surtout à Montmartre où elle paierait beaucoup trop cher pour qu'un dessinateur leur tire leur portrait. Et puis elles marcheraient jusqu'au Sacré Coeur et s'assiéraient sur les marches pour observer la vue sur tout Paris, avant d'aller à la terrasse d'un petit café pittoresque et refaire le monde. Probablement tout ce que Sasha n'envisage pas pour elle, parce que sans doute trop touristique. Mais peut-être qu'elle acceptera de faire une petite entorse juste cette fois, juste pour lui faire vivre la magie du Paris qu'elle a vu dans les films. Et ça se passe toujours à Montmartre. Comme dans Amélie Poulain, avec la musique du film en fond sonore. Elle écoute les interrogations de Sasha et hoche sagement de la tête. Elle ne comprend que trop bien, l'effet que ça fait d'être à un carrefour et d'hésiter sur la direction à prendre. Evey, elle savait en arrivant ici ce qu'elle voulait, si bien que le jeu ne la met pas dans cette position et qu'elle sait pertinemment ce qu'elle attend à la sortie : pas de véritable changement, mis à part qu'elle pourra enfin se projeter sur une vie avec Sirius. « De quoi tu aurais envie ? Est-ce que la célébrité ça t'attire ? Tu te verrais en profiter pour peut-être changer de vie et faire de nouvelles choses ? Ou est-ce que tu préfères rester dans ta zone de confort parce que tu t'y plais et que tu t'y sens à l'aise ? » Les deux se valent, ça dépend des personnalités de chacun. « C'est terrifiant » elle reconnaît dans un sourire, son regard croisant celui de la française. « Mais c'est parce que je suis plutôt du genre à ne pas prendre de risque. Alors quand j'en prends un aussi gros que celui-ci... j'ai eu peur de m'écraser au sol. » Et ça aurait vraiment pu. Comme lui a dit Billy, c'est vrai qu'elle est un peu une grande malade.



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