more than enough w/safia (dimanche à 8h05)

Second I'm with you, all my love pour out
Serve it on a platter, all that really matters/@safia
La nuit a été longue. Elle n’a pas été capable de s’endormir tout de suite, malgré la fatigue. Le montage de tente à été laborieux et Frida elle a pas tellement eut envie de s’attarder après tout ça. Elle voulait juste dormir et s’imaginer dans des draps de satin. Même la réalité est tout autre. Elle l’aime bien le Georges, mais il aurait put éviter de faire cette semaine dans la nature juste après celle sans eau chaude. Parce qu’elle comptait se rattraper niveau douche brûlante et s’occuper de ses longs cheveux qui demandent des soins particuliers. Pas tellement réalisable quand on se douche à l’eau froide. La nuit a été longue, mais elle a déjà fait la paix avec le faite que cette semaine sera particulière. Elle va tout de même exagéré un peu ses réactions à ce propos, parce que c’est ce qu’on attend d’elle. En attendant elle ouvre un oeil et se réveille tranquillement dans une tente qui semble avoir tenue le coup. A coté d’elle, @Safia semble encore endormit. Elle cherche l’iphone qu’on lui a mis à disposition et regarde l’heure. Il est beaucoup trop tôt. Mais la lumière qui baigne déjà dans la tente l’empêche de dormir plus longtemps. Ce serait pas juste que Safia profite plus longtemps non. Alors elle simule la rencontre avec une grosse bébête. « Dios mio, c’est quoi ce gros truc. » Elle crie en se tapant sur le bras comme une forcenée. Ce qui devrait mettre fin au sommeil de Safia. « Désolée, je voulais pas te réveiller, y avait une bête. » Elle formule, les yeux faussement tristes. Dans le genre comédienne, elle mérite un Oscar.

« Qu'est ce qu'il y a? » En moins d'une seconde Safia s'est redressée, sa main qui se tend vers la table de nuit pour attraper son arme. C'est la rencontre avec le vide qui lui fait cligner des yeux, tourner la tête vers l'absence de table de nuit, l'absence d'arme et les toiles blanches de cette infernale tente qu'ils ont du construire la veille. Elle était étonnée qu'elle ait tenue toute la nuit pour être honnête. Enfin, toute la nuit, les trois ou quatre heures de sommeil qu'elles ont du avoir. Elle se tourne vers @Frida, se frottant les yeux au passage, la main qui descend vers s abouche pour étouffer un bâillement. Le bras de la brune est dénué d'insecte donc elle imagine que la cause de ce réveil des plus désagréables a lui, eut l'occasion de s'évader. « Ce n'est pas grave.» Elle chuchote pour ne pas réveiller les autres, chanceux habitants. « Tu as réussi à dormir un peu? » Elle demande en se recouchant, s'allongeant sur le dos, un bras sur les yeux pour essayer de ne pas plus s'aveugler avec la lumière du soleil. « Comment tu te sens? » Elle ajoute, soulevant juste un peu peu son bras pour lui jeter un regard. « Vraiment. » Elle insiste sur le mot, attendant la vérité et pas le drama dont elle se drapait en permanence.

La réaction de @Safia ne se fait pas attendre. Elle se réveille en un instant et semble chercher quelque chose sur un meuble imaginaire. Enfin Frida elle comprend rapidement que c’est une arme qu’elle cherche, pour avoir déjà vu ce genre de comportement chez un ancien petit-ami. Elle cligne des yeux décidant de ne pas trop lui parlé de cette histoire, pas tout de suite en tout cas. Elle préfère mettre la faute sur cet insecte imaginaire. Alors qu’en faite elle voulait juste pas être la seule réveillé de la tente, à contempler le silence dans ses pupilles. Toujours aussi diplomate, elle ne l’a pas volé ce prix… elle dit que c’est pas grave. « Quelques heures, c’est pas très confortable, me manque mes draps en tissus égyptien. » Elle scande l’air hautain et tendre à la fois. Elle étire un petit sourire sur ses lèvres quand elle lui demande comment elle se sent. Parce qu’elle commence à connaitre Safia et elle veut la vérité par du drama. Sauf que Frida c’est la drama queen, alors pourquoi elle serait sincère. Après tout elle est repartit avec ce prix, ce n’est pas pour rien. Elle expulse un soupire las. « T’as de la chance. » Elle miaule prête à lui répondre aussi sincèrement que possible. « Je me sens bien, c’est pas l’endroit de mes rêves, mais je sais m’adapter. » Est-ce qu’elle va y croire ? Elle qui est la nana la plus dépendante aux autres du monde ? Elle récupère la brosse à cheveux qu’elle a laissé près du couchage prête à être dégainé si tôt levé pour dompter un peu cette chevelure qui risque de partir dans tous les sens, sans ses outils de dressage. Défaisant le foulard qu’elle a noué sur ses cheveux elle retourne la question à Safia. « Et toi ? Tu fais le coup de chercher ton arme de service combien de fois par jour ? » Elle a pas dit qu’elle attendrait une éternité avant de lui poser la question. Ses longs cheveux dénoués elle peut donc passer sa brosse tout en fredonnant la petite musique habituelle.

Elle a le réveil rapide Safia mais ça ne veut pas dire que ça ne pique pas, surtout vu la violence de ce dernier. Cela fait un moment qu'elle ne s'est pas réveillée aussi rapidement et son cœur met quelques secondes à retrouver un rythme normal. Elle ne regrette pas de se retrouver avec Frida mais si elles pouvaient de ne pas répéter l'expérience elle apprécierait grandement. Elle a l'air parfaitement réveillée la brune et pas le moins coupable de l'avoir poussée au même sort. « Ce n'est pas des plus confortables non. » Ce n'était pas le pire endroit où elle avait passé la nuit mais c'était loin d'être le meilleur non plus. Elle ne relève pas la qualité des draps, la réflexion particulièrement @Frida, au final. Elle cligne des paupières, manquant de voir en quoi elle était chanceuse exactement dans cette situation mais hume lorsque la jaune continue. « Je suis sure que tu en surprendras plus d'un. » Au vu de son attitude depuis le début, ils s'attendaient surement à ce qu'elle se roule dans un coin et se mette à pleurer. Mais elle avait survécu à la semaine sans électricité et sans eau chaude comme tout le monde, elle ne voyait pas pourquoi celle ci serait différente. Ce serait peut-être plus difficile pour elle que pour d'autre, certes mais le final resterait le même. Elle se tourne, la tête soutenue par sa main alors qu'elle observe sa colocataire s'occuper de ses cheveux. Ce qui semble bien plus complet que son propre rituel matinal consistant à les brosser vaguement de ses mains. La surprise s'inscrit sur son visage à sa question, la pertinence de cette dernière inattendue. « Moins de la fois que la semaine précédente. » Elle avoue dans l'esprit d'instaurer un espace de partage. « Donne, je vais le faire. » Qui quitte ses lèvres avant qu'elle n'ait le temps de réagir, les yeux qui passent du mouvement hypnotisant de la brosse dans ses cheveux. Elle se redresse finalement, se pose sur ses genoux derrière Frida, utilise son épaule pour gratter son oeil tout en tendant la main vers elle. Sa main s'ouvre et se ferme plusieurs fois, langage universel pour l'inciter à lui céder l'objet. Elle n'a pas fait ça depuis des années Safia, brosser les cheveux d'une autre fille mais ce doit être le genre de choses que l'on oublie pas. « Comment est-ce que tu as deviné, pour l'arme? » Elle utilise l’élastique autour de son poignet pour attacher ses cheveux en un chignon hasardeux pour les dégager de son visage. « Tu es sortie? » Il y avait peu de chances que sa camarade ait pu se lever sans la réveiller mais ce n'était pas impossible. Et elle mangerait bien quelque chose, le repas de la veille déjà bien loin.

Elle a surprise @Safia et elle pourrait culpabiliser si c’était justement pas le but de sa petite crise. Ne pas être seule dans cette tente, avec le silence pour amie. Elle invente une fausse histoire d’insectes et la discussion dévie naturellement sur la nuit qu’elles ont passé. Si Frida déplore l’absence de draps de qualité elle reste quand même satisfaite de sa nuit. Comme toujours l’américaine cherche à trouver la vérité dans tous leurs échanges et peut-être que Frida a envie de lui faire assez confiance pour lui répondre à peu près honnêtement sur la façon dont elle se sent ici. Bien sûr elle a raison quand elle dit que ça va en étonner plus d’un. Tout le monde s’attendait à ce qu’elle pleure toute la journée, pour l’instant à part faire preuve d’une feignantes certaine en ce qui concerne le montage de la tente, elle est resté plus ou moins calme. Parce qu’en réalité elle s’adapte très vite la gosse. « Ouais, bah tu sais j’ai l’habitude. » Parce qu’elle a une tendance à surjouer et à faire des histoires pour rien, on la met souvent dans une catégorie qui lui correspond qu’à moitié et on oublie que pour toutes personnes il y a quelque chose sous la surface. Jusqu’ici il n’y a bien que Safia qui a pris la peine d’entrevoir la vraie Frida. Et c’est pour ça qu’elle reste proche de la vérité avec elle. Elle commence à se brosser les cheveux et pose une question qui devra également surprendre la profiler. Elle a remarqué la cubaine qu’elle avait la réaction de quelqu’un qui cherche une arme ou un truc comme ça. C’est une comportement qu’elle a déjà vu chez d’autres. « Tu t’adaptes. » Elle commente, concentré sur sa chevelure. Elle se stoppe quand la belle lui propose de lui brosser les cheveux. Elle a pas ce genre de moment fille Frida, elle en l’air bien entendu. Mais la dernière personne à lui avoir brossé les cheveux c’est sa mère. Alors elle hésite un peu, l’observant se mouvoir pour être dans la bonne position pour s’occuper des cheveux de Frida. Finalement elle se décide à se laisser faire lui tendant la brosse à cheveux. « Un de mes exs avait ce genre de reflex, mais c’était pas parce qu’il était dans la police. » Mais plutôt qu’il fuyait la police. La nuance est là. « Non pas encore. » Elle formule du bout des lèvres. « Je ne sais pas ce qu’il nous attend dehors, tu crois qu’il y a de quoi manger ? Ou bien on est censé chasser ? » Elle lui demande dans un petit rire, profitant du brossage de cheveux. C’est agréable.

L'habitude, elle devait l'avoir oui, qu'on la sous estime en permanence. Elle l'avait fait aussi Safia. Moins longtemps que d'autres surement mais elle s'était laissé porter par le courant un bref instant. Elle en savait assez pour pouvoir voir sous la surface, pour imaginer les problèmes qui y dorment. L'envie de passer de l'autre côté de la barrière était assez forte pour qu'elle s'oblige à passer outre les remarques outrageuse et l’opulence qu'elle lançait à tout va. Ses murs étaient peut-être plus dorés que les siens, mais il y en avait tout autant, ça elle n'en doutait pas. S'adapter. Peut-être. C'était un mélange de plusieurs choses mais oui, l'adaptation n'y était pas pour rien. C'était quelque chose dont elle souffrirait à vie, elle le savait. Sa forme de ptsd, ses traumatismes trop ancrés pour s'en débarrasser. Mais c'était sa croix à porter et elle le ferait sans une plainte. « Le corps apprend. » Sans rien à attraper, les réflexes s’érodent, changent. Ils ne disparaissent pas, ils évoluent, l'emportant dans leurs sillages. Elle verrait bien où ça la mènerait Safia. Pour le moment, se réveiller en douceur et s'occuper de @Frida devrait suffire. Elle note l'hésitation de la brune mais n'en dit rien, la laissant faire son choix. Elle ne voulait pas la forcer, ne pas s’immiscer dans un rituel personnel. Mais elle abandonne la brosse au final et elle l'attrape d'une main ferme. Un léger grognement se fait entendre lorsqu'elle avoue les raisons de ses connaissances. « Pourquoi tu sortirais avec quelqu'un comme ça? » Ça lui parait insensé à Safia, surtout au vu du métier de son père. Oh. Peut-être justement à cause de ce dernier. C'était une raison stupide de se mettre en danger mais elle n'était pas en reste au niveau des problèmes parentaux. Elle lève une main sur le bas du crane de sa camarade et commence à passer la brosse entre les pointes. Elle se débarrasse des nœuds un peu un, prenant soin d'y aller en douceur, de tenir les mèches pour ne pas lui causer de douleurs non nécessaires. « Il y a des caisses avec de la nourriture. » Elle les a remarqué la veille, entre deux montages de tentes. Ils n'auraient pas survécu autrement. « Je pense qu'on serait morts de faim sinon. » Elle voyait mal Apollon attraper leur dîner, pas plus qu'elle ne se voyait le pêcher. Et elle était bien trop craintive de mourir empoisonnée pour se nourrir de baies trouvées dans les bois. Ses connaissances de la nature bien trop limitées pour se faire. « Comment ça se passe dans ton équipe? J'imagine que vous vous amusez bien avec Kendall. » Elle était moins certaine pour Maylis dont elle avait du mal à évaluer le jeu mais elle voyait la rousse aussi joueuse que Frida et si mission il y avait, elles devaient s'y mettre à coeur joie, plus qu'ils ne l'avaient fait avant le changement. Elle remonte doucement le long de sa chevelure, prend son temps, peu pressée par l'horaire. « Tu veux une coiffure en particulier? » Elle était un peu rouillée et ne savait pas si elle pouvait aider autant qu'elle le voulait mais elle se souvenait du principe. Le reste suivrait.

Ils sont rares ceux qui cherchent à aller voir plus loin que l’image que donne Frida. Safia est l’une des rares ici et c’est pour ça qu’elle a accepté de partager sa tente avec elle. Ça et aussi parce que Diego il était trop ailleurs pour répondre à sa proposition de partage de tente. Mais elle est pas mécontente de se retrouver avec l’américaine qui est assez calme pour deux. Même si sa réaction au réveil est quand même impressionnante. Elle commence à s’habituer il parait. Vu qu’elle semble le faire de moins en moins d’après ses dires. Ça doit être assez traumatisant de se réveiller avec la peur au ventre, tellement que l’instinct lui dicte d’aller chercher une arme qui n’est pas là. Elle ne doit pas vraiment dormir sur ses deux oreilles. Frida elle a reconnu son reflex pour avoir fréquenté quelqu’un qui avait le même tique, bien que ce ne soit pour lui pas des restes d’un statut de policier. Elle hausse les épaules. « Pourquoi pas ? » Et puis après tout ils ne sont plus ensemble, alors ce n’est pas si important qu’elle ai fréquenté un type qui était pas très clean au niveau de la loi. Forcément au vu de son boulot, elle comprend pas qu’on puisse vouloir être avec quelqu’un qui respecte pas la loi. Mais y a des choses qu’on ne contrôle pas. « L’amour sans doute. » Ou une connerie du genre. Elle laisse Safia lui brosser les cheveux et elle doit admettre que c’est plutôt agréable, même si ça la ramène des années en arrière avec sa mère qui lui faisait à peut près la même chose. Frida s’inquiète de choses terre à terre. Il n’y a pas de frigo, de cuisine, donc pour elle pas de nourriture. Safia lui rappelle la présence de caisses. Ah oui c’est vrai. Elle pensait que c’était pour la déco. « J’espère que c’est digne d’un trois étoiles ce qu’il y a dans ces caisses. » Ou qu’il y a de quoi se tenir à son régime alimentaire qu’elle s’invente juste pour tenir une conversation. Dire qu’au départ elle était avec Safia et aujourd’hui elle se retrouve avec Kendall et Maylis. Si la première lui convient parfaitement, elle pourrait sans soucis demander à ce qu’ils échangent la dernière avec sa compagne de tente. « Elle est top Kendall, on s’entend bien et surtout elle me juge pas elle. » Parce que malgré les différences elles sont assez similaire. Ce qui lui change de l’ancienne dynamique, Dylan, Alix, Safia. « Je veux bien deux tresses. » Comme quand elle était petite. Et ça la fait sourire plus qu’elle ne le devrait. « Tu faisais quoi dans la police ? » Son boulot, ses enquêtes. Elle veut un peu savoir Frida, parce qu’elle a du retard sur les détails de la vie des ses camarades. Elle a écouté que ce qui l’intéressait elle, quand elle était spectatrice. C’est à dire les délires de romances et de trahison.

Pourquoi pas pour seule réponse laisse Safia confuse. Il y avait tellement de raisons qu'elle n'était pas certaine par où commencer. « Parce que tu mérites mieux. » Au final, c'était celle qui convenait le plus à une situation générale sans le moindre détail. Personne ne devrait avoir à vivre avec un criminel, rien de bon ne pouvait en sortir, jamais. Si certains avaient des circonstances atténuantes, ils n'en restaient pas moins porteurs de mauvaises décisions. L'amour n'était pas une raison suffisante pour s'infliger ce genre de relations. Jamais. La nourriture était un sujet assez neutre pour qu'elles entrent dedans avec plus d'aise et moins d'attentes derrière. « Je pense que ce sera plus mcdonalds que joel robuchon. » Et après une semaine sans réfrigérateur, ça commençait à faire long. « Je propose que l'on fasse une réserve de ce qui a l'air bon, je doute que les autres ne soient déjà levé. » Juste un peu, qu'elle plaide avec elle même. Ça l’embête un peu de s'en résoudre à subtiliser certains ingrédients mais elle avait déjà fait des concessions la semaine précédente à son régime et aimerait en rester là. Elle est ravie d'entendre qu'elle s'entend bien avec Kendall @Frida. « Je suis contente que vous vous entendiez bien, que tu aies la chance de pouvoir avoir une équipe qui te soutienne. » Elle se sentait encore coupable de l’accueil auquel elle avait eut droit avec eux, l'entrée en matière des moins agréables. « Tu as des élastiques? » Elle laisse la brune s'occuper de leur trouver de quoi attacher les tresses avant de les commencer lorsqu'elle se réinstalle. Si la coiffer était naturel, il lui faut plusieurs essais pour réussir à partager sa chevelure en deux de manière égale et débute une tresse hollandaise du côté gauche tout en répondant. « Je fais toujours. Normalement. » Elle précise sans vraiment y penser. « Et je suis plutôt dans la partie criminelle, je m'occupe des meurtres. De trouver les responsables. » Elle avait toujours fait parti de la criminelle, peu importe l'unité où elle se trouvait. « Maintenant je suis dans une unité plus spécialisée, qui a été monté pour les meurtres en série de base. » Qui avait pas mal évoluée ces dernières années. « C'est moins le cas mais on s'occupe souvent des meurtres à l'allure plus barbare, ou ceux pour qui on demande notre expertise. » Ce n'était pas le travail qui manquait, malheureusement. « Et toi, comment ça se passe la vie d'une instragrammeuse? » Elle demande en attachant le premier élastique sur la fin de sa tresse à peine bancale. « Tu ne t'ennuies pas trop? » Elle avait du mal à imaginer ce que ça impliquait, pour être honnête. c'était bien loin de sa vie plan plan et son téléphone purement fonctionnel.

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