tu viens naturellement te poser à ses côtés quand tu tombes sur sur sa silhouette assise sur un rocher. t'es venu te glisser là sans un mot après avoir attendu le parfait moment pour l'avoir à l'écart du groupe. ta tête vient se poser sur son épaule tandis que ton regard est perdu dans l'écoule de la cascade éclairée par les rayons lunaires. je voulais savoir comment tu vas depuis le prime. difficile d'oublier la succession d'images du magnéto. on peut pas dire que le proprio ait décidé de montrer @apollon sous son meilleur jour avec cette sélection. t'es familier avec ce genre perception, celle d'être vu sous un angle spécifique, peu flatteur, juste par principe un peu hypocrite et superficiel. toi tu vois le vrai apollon, celui sans qui cette aventure aurait pas la même saveur. tu repenses à votre dernière conversation, cette fringale nocturne qui s'est révélée des plus appétissantes. ça te fait sourire. lui, votre relation puis de te demander jusqu'où vous seriez allé si vous aviez pas été interrompus. ouais. sans lui cette aventure auraient pas les mêmes couleurs.

Son parfum, délicat, singulier, premier élément qui le devance à chaque fois. Il devrait pourtant avoir retenu la leçon depuis la semaine dernière. Je ne me suis jamais prononcé à ce sujet, cela dit, comment pourrait-il savoir que je le reconnais à son odeur si appréciable. Je ne le ferais pas, pour éviter qu’il le réalise, qu’il me prive de ce plaisir que j’ai à me lover contre lui, le visage contre son cou délicieusement relevé par ces quelques notes fabuleuses. Sa tête contre mon épaule, je ne me détourne pas de cette magnifique vue que m’offre la cascade, de nuit, mais contourne sa nuque pour pouvoir tendrement lui attraper l’épaule. « Je n’étais pas spécialement mécontent à l’idée de faire du camping pour la première fois de ma vie, je me suis dit que ça allait être cool. Spoiler alert, c’est loin d’être le cas. » J’ai ce sourire aux lèvres, trahison ultime de mon amusement face à ce qui pourrait être le scénario de base d’une mauvaise comédie américaine avec Jennifer Anniston, Anna Farris et Jonah Hill. Une bande de clichés ambulants qui s’embarquent pour des vacances en forêt avec son lot de tribulations et de blagues scatophiles. « Leur hypocrisie me dérange pour la première fois de l’aventure. » Je souffle, fragile. Je ne me prends pas la tête, c’est tout juste si je parviens à être rancunier plus de cinq minutes, même avec @Solal et pourtant… J’ai du mal à digérer les réactions de certains, leur attitude depuis. « On m’évite comme la peste ! Je suis surpris que tu sois là, tu prends le risque d’être lapidé sur la place publique. » J’ironise pour ne pas avoir à montrer que l’absence de @Milo et de @Goliath me surprend et me pèse, quelque part. Ils se sont tous les deux dérobés à leur manière alors que l’un d’entre eux est généralement occupé à mettre sa langue dans la bouche d’un espagnol dès qu’il le peut et que l’autre est peut-être juste emmerdé d’avoir perdu la femme de sa vie ou un truc du genre. « Je comprends mieux les meufs qui se font slutshame parce qu’elles couchent avec un mec marié ou un truc du genre. Je suis la maitresse du block. C’est ça mon secret, tu devrais vite aller me buzzer. » Je pouffe de rire à cette image. Taquin quand on sait ce qu’il a buzzé jusqu’à maintenant avec une facilité déconcertante à se foirer. Le cœur un peu plus léger en sa présence. Mes doigts se perdent à nouveau dans cette chevelure que j’adore caresser. Elle est si douce. « Et toi, cette première nuit en pleine nature ? La cohabitation avec @Dylan ? Il maudit @Vicente dans son sommeil ? »

vous vous retrouvez toujours de manière instinctive. t'es toujours attiré par lui comme un aimant, c'est encore un autre genre de magnétisme que celui que tu peux avoir avec le sportif. @apollon il est familier. quand t'es avec lui y'a toujours cette sensation d'être à la maison, en sécurité et surtout la certitude de pouvoir t'ouvrir. vous pourriez être tout et n'importe quoi, avoir une relation purement platonique, sexuelle ou romantique. le lien serait toujours là. la complicité, l'affection, les discussions. on est loin du tout ou rien avec le papi chulo. c'est comme une bouffée d'air frais que tu respires à plein poumons. tu te blottis contre lui quand il t'entoure d'un de ses bras puis tu ricanes, absolument pas surpris par son aversion pour le tournant qu'a pris l'émission. vois le côté positif, tu trouveras peut-être de l'inspiration pour de nouvelles prouesses capillaires. tu l'imagines bien récupérer des bouts de branches et de feuille pour offrir un relooking à la frida. t'es bien d'accord pour parler d'hypocrisie quand il s'agit des réactions de la plupart des autres candidats vis-à-vis du magnéto du brun. tu le serres un peu plus fort en guise dé réconfort, ta main gauche contournant le bas de son dos pour appliquer quelques caresses sur sa hanche. par contre je prends mal que ma présence te surprenne ! tu fronces les sourcils sans pour autant t'arrêter. je pense qu'aucune des personnes avec lesquelles t'as fricoté aie quoique ce soit à dire. genre, milo je l'aime bien et tout mais parfois j'me demande s'il essaye pas d'être une version beaucoup moins intéressante de moi. t'es carrément jaloux quand tu le vois passer du coiffeur au sportif alors que c'est supposé être ta signature. me lance même pas sur gogol. t'as perdu toute estime pour lui en voyant son comportement avec gemma. tu comprends parfaitement sa comparaison sur le sujet du slutshaming, c'est un peu ton quotidien à l'extérieur avec tes potes ou même ici avec paola par exemple. ta gueule ! tu lâches en lui foutant une petite baffe sur le crâne quand il te suggère d'aller le buzzer. il s'attaque à une une pilule que t'as encore du mal à avaler. tu réponds pas tout de suite à sa question, décidément vous allez rester dans le sujet propice au slutshaming. j'peux pas te dire, la nuit dernière il m'a pas laissé dormir des masses. tu confesses sans craindre de jugement, du moins tu l'espères.

Le blondinet perturbe la quiétude inspirée par une telle solitude sur ce rocher sans pour autant me mettre dans l’embarras. Sa présence ne m’agace pas, elle figure peut-être parmi les rares qui ne risquent pas de m’inspirer un tel sentiment ces derniers jours. Avec lui, tout est toujours très léger et grisant. Pas la moindre once de méchanceté gratuite, aucune jalousie, pas d’enjeux véritablement posés. Un naturel à toute épreuve et une liberté de ton jouissive. Sky is the limit. Il est doté d’une aura tellement lumineuse que le simple fait de s’asseoir à côté de moi et déjà j’ai tendance à occulter tout le reste pour me concentrer sur ce que je vois présentement, le seul mec qui ne me jugera peut-être jamais ici. Nous n’avons pas besoin de mettre des mots là-dessus, nous nous comprenons. Il se love contre moi et j’apprécie cette sensation, il ne peut pas savoir à quel point je chéris cette proximité, cette bulle que nous partageons. Mes doigts se baladent contre son dos, se remémorent les parcelles de ce corps que j’ai pu dévorer sur un coup de folie la semaine dernière. Je ne regarderais plus jamais la Chantilly de la même manière, pas maintenant qu’elle m’a servi à initier une invitation qui, si nous n’avions pas été en plein milieu du salon avec une vingtaine de camarades dans les chambres alentours, se serait peut-être soldée par bien plus qu’un échantillon de la malice qui m’habite lorsqu’il est autour de moi. « Tu crois qu’il existe une catégorie retour à l’état sauvage en coiffure ? J’suis sûr que je pourrais improviser un chignon avec des petits rondins de bois, utiliser des branches de sapin pour donner du volume aux cheveux… » Maintenant qu’il en parle, je serais presque inspiré à l’idée d’offrir la prestation capillaire de ma carrière. « @Kendall aurait les cheveux qui s’y prêtent le mieux. Sa rousseur m’aiderait à retranscrire l’automne, la forêt en transition… Elle me tuerait avant même d’avoir pu effleurer une mèche… But still. » Je termine, fortement amusé par l’image qui se dessine dans mon esprit. Monsieur serait presque vexé par ma surprise. « T’aurais pu vouloir m’éviter pour ne pas avoir à te retrouver dans un magnéto la semaine prochaine alors que @Vicente et toi, c’est le grand amour à en juger par votre Award. » Le meilleur couple, tout est dans l’intitulé. Certains de nos camarades ne parlent que de ça ces derniers jours, d’un rapprochement. Aucune surprise là-dedans, leur attirance est depuis très longtemps consommée. @Vicente a une chance monstre, un tel garçon, il ne faut pas le laisser passer. J’étouffe un rire contre son épaule et hausse les miennes innocemment quand il se compare à @Milo. « Quoi, t’es jaloux toi aussi ? » Je marque une pause pour le provoquer du regard, attiser des braises à peine allumées, et encore, par pur esprit de contrariété. « Vous avez en commun de ne voir qu’à travers un ciel espagnol ! » Je souffle, plein de malice. « Je suis impressionné par la facilité avec laquelle il m’a bâché la semaine dernière en me rappelant qu’on était là pour profiter de la vie sans afficher une possessivité qui n’avait pas lieu d’être… Il n’avait pas tort d’ailleurs… Tout cela pour me faire la gueule parce que je l’ai pris au pied de la lettre ! » L’arroseur arrosé, surement. Je suis extrêmement frustré et salé à ce sujet. Le pire, c’est qu’il me manque. Nous dormons ensemble depuis deux semaines et soudainement plus rien, pas même un regard tendre. Je le vis très mal. Il me manque, le con. La maitresse du block, c’est moi et je lui suggère d’aller me buzzer, puisqu’il semble si mauvais à cela. Bien-sûr qu’il est au rendez-vous, je sais exactement où taper quand je veux le provoquer. Je prends une mandale au passage et rétorque en le pointant du doigt. « EH, OH. Je n’y peux rien, si t’es encore plus mauvais que moi à la chasse aux secrets ! » Il a de la chance de ne pas craindre les chatouilles… Quoique… Je lui attrape la peau des côtes pour l’étirer et le pincer sans trop chercher à lui faire mal non plus. Ce n’est pas l’objectif, on se chamaille. « Que de vilains mots pour une vilaine bouche ! » Je m’indigne, après un ta gueule qui me comble de joie. Et puis ce sourire pervers qui étire mes lippes et fait s’incliner ma tête pour que ce regard le heurte exactement comme je le souhaite. « ET C’EST MOI QU’ON SLUTSHAME ! Vas-y !!! » Je me laisse tomber sur le rocher et me redresse presque aussi sec après une rencontre douloureuse avec la paroi irrégulière de ce dernier. « Il est aussi bien fourni que les photos le suggèrent ? @Eli avait l’air de dire qu’il était un Dieu au lit… » Le thé est chaud et… Repenser à @Eli me rend triste, après @Hayden et lui, j’ai confirmation que l’adonis est un bourreau des cœurs culs.  

@apollon

t'as vraiment besoin de ces petits moments particuliers. ce genre de moments où tout est simple, où il te suffit juste d'exister pour être accepté et apprécié pour tout ce que tu es. tu l'écoutes s'enfoncer dans le délire capillaire sur lequel tu regretterais presque de l'avoir lancé. sauf que non, la passion qui anime son regard alors qu'il laisse ses pensées vagabonder suffisamment loin pour lui apporter un petit bout de son quotidien. ça vaut largement le détour. t'as toujours voué beaucoup d'admiration à ceux qui se montre capable de vivre de leur passion, ceux qui arrive à échafauder ce genre de plans concrets. ça doit être cool et rassurant parfois de savoir sur quel chemin se diriger. t'es beau. tu réponds simplement et tu parles même pas de son physique, c'est tout l'éclat de son âme qui t'en mets toujours plein les yeux. d'autant plus d'incompréhension dans la facilité des autres candidats à pointer du doigt alors que t'es incapable de l'imaginer faire du mal à qui que ce soit. lui aussi il ferait un bon gagnant si l'honneur revient pas à @safia. tu reviens sur terre quand il se met à mentionner le sportif. tu rigoles même pendant un long moment avant que le sourire disparaisse de ton visage. le grand amour hein ? je crois que j'suis amoureux de lui. tu prononces les mots pour la première fois et tu sens déjà le poids se faire plus léger sur toi. mais tu changes le sujet aussi rapidement que tu l'as introduit, tu saisis la perche quand il t'accuse de jalousie. pas vraiment, j'suis pas du genre jaloux. pourtant t'aimerais bien dans cette situation. ce serait tellement plus simple d'être amoureux d'apollon, mais c'est comme si @vicente t'avais jeté un sort duquel t'arriverais jamais à te délivrer. tu relèves même pas les conneries qu'il se met à raconter, tu lui réponds cash. franchement, @milo il fait juste le gamin. il a voulu jouer et il s'est pris à son propre jeu. bienvenue au club. évidemment que le danseur a voulu se taper vicente, qui voudrait pas ? j'pense quand même qu'il te kiffe bien. d'où la réaction digne d'une lycéenne. tu prends carrément plaisir à lui foutre la baffe, ça peut se lire sur ton visage. sauf que le con décide de pincer. tu couines de manière incontrôlée. c'est quoi ce mouvement de primaire ? il a l'air de se calmer quand la conversation en vient à @dylan, voilà de retour le candidat élu le plus pervers. tu rigoles quand il manque de se casser la gueule puis il se montre aussi curieux qu'une concierge. tu laisses planer le mystère quelques secondes avant lui balancer un bout d'os à mâcher. j'pense que c'est seulement grâce au yoga que j'ai pas de difficulté à marcher. tu te caches le visage, clairement le type est venu au monde pour vénère et pour satisfaire.

Sa présence me fait un bien fou, m’apporte une dose de réconfort sur laquelle je ne crache pas. Il est à part, et cela depuis le début de l’aventure. Il a toujours eu une aura particulière, j’en ai conscience depuis que nos regards se sont croisés pour la première fois et je me serais aisément vu craquer pour lui au-delà de ces quelques taquineries, de ce teasing auquel nous adorons nous adonner en poussant l’autre dans ses retranchements. Combien de fois est-il ressorti d’un moment à mes côtés étouffé par la frustration provoquée par son propre corps, par cet appel auquel nous n’avons jamais daigné répondre. Celui de nos peaux, fiévreuses et désireuses de communier, de se retrouver et de se découvrir. À chaque semaine son lot de surprises, de légèreté, de conversations plus ou moins sérieuses. Il a une facilité à passer du coq à l’âne que je ne connais à personne d’autre ici, une capacité à me faire ressentir des choses qu’ils ne parviennent pas à véhiculer. Un regard d’une richesse hors norme. Chanceux, j’ai conscient de l’être. Je ne pensais pas faire une rencontre comme la sienne. T’es beau. Mes lippes s’étirent naïvement, sa sincérité fait exploser mon joli petit masque pour laisser transparaitre une émotion vive. Ce compliment, il a un sens plus profond qu’une simple beauté physique. Il en dit long. « Tu crois qu’on se reverra ? Tu sais… À la fin de ce jeu… Qu’on aura l’opportunité de continuer à discuter, à se voir lorsque nos agendas le permettront. » Je babille, les yeux rivés sur le lac plutôt que dans ses prunelles qui me donnent soudainement l’impression d’être à poil, un peu trop ambitieux pour mon propre bien. De nouvelles émotions émanent de son visage, elles me sont inconnues. Celles qui accompagnent ce qu’il pense être de l’amour. Je le jauge des yeux, mes lippes se fendent d’un nouveau sourire tendre, mes doigts retrouvent sa main pour venir s’entrelacer contre ses phalanges. « Tu crois ? J’en suis presque certain pour toi ! » Je marque une pause, mutin, à la recherche d’une émotion qui trahirait le fil de ses pensées. « Il est extrêmement chanceux ! » J’accorde au moins cela à mon bel ibère d'ami. Il a tiré le gros lot, j’espère qu’il en a conscience. Des Taj, il en existe trop peu sur cette planète pour se permettre de passer à côté. @Milo qui joue, @Milo qui aurait donc perdu, tout comme Taj avec Vicente. « Je ne crois pas être en mesure d’agir comme @Vicente vis-à-vis de toi, tu sais… » Il risque d’être surpris, le blondinet. « C’est un peu comme si ma confiance en avait pris un coup. Sa réaction, même si la jalousie est flatteuse, était tellement hypocrite que je me sens… Dégouté ? » Suis-je horrible de me sentir ainsi ? « La seule raison pour laquelle il pourrait finalement se raccrocher à moi, c’est parce que @Vicente n’a d’yeux que pour toi. Dans ma vie, j'ai toujours pris soin de tirer un trait sur toutes les personnes qui me gardaient sous le coude, au cas où, parce qu'ils savaient que je m'intéressais à eux. Je n’ai jamais été le choix par défaut. Je ne le serais pas ici. C’est un peu trop facile. » Quand tu joues, tu peux gagner, la défaite est parfois au rendez-vous et je crois qu’à trop vouloir profiter de son aventure en s’imaginant que je n’allais pas en faire de même, il s’est mis tout seul dans cette situation qui le pousse à me faire la tête actuellement. Il me manque, pourtant… Terriblement. Et puis @Dylan et ma curiosité qui prend le dessus. Les Vamps de retour le temps d’un thé particulièrement savoureux. « @Hayden m’a quasiment dit la même chose… J’vais finir par avoir envie de me frotter à son anaconda moi aussi… Pas par désir, hein… Pour la science… Tu vois ? » Je l’aurais peut-être déjà fait s’il n’était pas le crush de mon pote, @Eli. « Mais… Du coup… Pourquoi l’avoir fait, si tu as @Vicente dans la peau ? » Je ne juge pas, ce n’est pas mon genre, bien au contraire. Il a eu raison de saisir une opportunité comme celle-ci. Il est célibataire, jeune, plein de fougue… L’inverse aurait été tout aussi surprenant.   

évidemment qu'on se reverra débile ! tu t'exclames, passablement outré par le fait qu'il puisse imaginer une seule seconde qu'il suffirait que l'aventure se termine pour que tu lui donnes plus l'heure. t'sais pas si tu pourrais en dire autant de toutes les personnes avec lesquelles tu t'entends dans l'aventure. tu sais pas si @safia trouverait le temps de te voir puis peut-être que la différence d'âge viendrait se mêler de l'histoire une fois dans le monde "réel". tu préfères même pas penser à @vicente, t'es déjà pas sûr de ses intentions alors tu pense même pas que lui te donnera l'heure une fois retourné en espagne. tu dis rien quand il te conforte dans ton idée par rapport à aux sentiments que t’éprouve pour le sportif. tu comprends sa réaction par rapport à celle de @milo et tu penses pas qu'il ait tort au final. hm... je vois. mais s'il a assume tout ça, je pense que tu devrais lui laisser une chance. tu vois de meilleur raison de "pardonner" que l'aveu d'un mauvais comportement. ça demande de mettre fierté et ego de côté, au profit du plus important. devrait rien avoir de plus important qu'apollon si milo ressent vraiment quelque chose. ah bah clairement c'est pas le coup le plus difficile et c'est probablement l'un des meilleurs. mais autant faire ta propre étude, pour la science, tout ça... tu réponds avec un clin d’œil. puis la question de @vicente vient naturellement se poser, décidément. peut-être pour essayer de l'oublier ? c'est pas comme si je m'étais posé la question et c'est pas non plus comme si vicente m'avait laissé entendre qu'il y avait quoique ce soit entre nous.</blockquote>