alone at parties in a deadly silhouette. (mercredi 26, 09h48)

il se pavane - lunettes de soleil sur le nez, corset noir mugler couplé à sa veste blanche renard noir - craque un sourire sur ses lèvres lorsque la silhouette de @boaz prend forme sous ses yeux. — une vision, il glisse vers son styliste préféré, le bras qui se glisse déjà autour de ses épaules pour l’attirer à lui, dépose un baiser sur sa joue en guise de bonjour. — je ne pensais pas rencontrer quelque chose d’aussi agréable dans les rues. une seconde de silence. — je veux dire, la dernière fois je suis tombé sur kit et des vêtements affreux. les lèvres frémissent sous l’horreur encore présente dans son esprit, alors que son bras glisse sous celui de boaz. — un café en terrasse, love ? je t’invite. il propose, sans laisser réellement le choix à l’anglais, l’embarque jusqu’au café le plus proche et s’y installe avant de retirer délicatement ses lunettes de soleil - l’éclat dans ses yeux qu’il pose sur boaz. — on pourra se moquer des gens qui passent dans la rue comme ça. un battement - l'éclat qui se transforme en inquiétude. — comment tu vas ? depuis le prime et l'avalanche naze sur les épaules de boaz.

@blaise

J'me suis assorti à mon Blaise pour notre petite escapade en amoureux. L'idée c'était de se pavaner dans rues et de voir les gens se prosterner à notre passage parce que clairement l'arrivée de telles créatures cosmiques ça a de quoi créer de nouvelles religions. Je fais des signes de croix devant les têtes des gens qui dévisagent, de loin, la noblesse ne kiki pas avec le tiers-état. Of course Blaise il m'accueille toujours comme il se doit. Des fois quand il sort de mon champ de vision j'oublie jusqu'à son existence, mais c'est mon ADHD. Quand il est là je suis en mode, comment j'ai fait pour vivre sans lui toute ma vie ? Petit bisou sur la joue et des compliments en guise de bonjour, je fais un petit tour en me servant de sa main. J'suis comme la fée Clochette moi, sans attention je meurs. Il parle des vêtements de Kit, j'ai jamais vraiment fait attention. Ça peut vouloir dire qu'une chose, il sont pas assez fab pour que je pose mes yeux dessus mais pas horrible non plus au point que je doive me cacher la vue. C'est sûrement le pire, provoquer l'indifférence totale. J'ai un frisson de dégoût rien qu'à la pensée. Il propose une terrasse et je me laisse emporter, traitement de princesse vraiment. Je mérite pas moins. Je manque de verser une larme quand il propose de se moquer des gens. Je pense que si t'as l'intention de faire ta demande, cherche même pas c'est oui. Love language all day. Il me questionne sur ma vie. Flemme un peu, 18e fois cette semaine. J'ai pas envie de parler de l'autre bouffon aussi. J'suis comme la fée Clochette, si je te crache trop dessus ma poussière de fée te fait croire que tu peux voler. Comment TOI tu vas luv' ? Je sais qu'on avait dit café mais what's the tea ?

blaise s’installe à la terrasse en retenant un léger rire à la remarque de @boaz - retire les lunettes de soleil qu’il pose sur la table avant de hausse des épaules, désinvolte. — je crois qu’on en était déjà venu à la conclusion qu’un mariage n’était pas la meilleure chose. ça le fait doucement rire, mais il reprend quand même. — mais tu peux dire que je suis ton préféré. il glisse, l’air de rien, avant d’entendre sa phrase lui revenir comme un boomerang, le sourcil haussé et l’air ennuyé. il ne sait pas comment faire quand on ne le laisse pas s’occuper des autres, quand c’est lui mis en avant - parce que pas réellement envie de s’étendre, vrai ? — ma vie est loin d’être passionnante. il reprend dans un petit sourire, le regard qui se balade sur les personnes qui passent, grimace assez en voyant un pantalon d’une couleur criarde qui lui donne envie de se rincer les yeux à la javel de bon matin. — je crois qu’il y a personne ici qui a le moindre sens du style. il fait remarquer d’un ton nonchalant et remercie presque la venue du serveur pour pouvoir glisser les trois mots d’italien retenu - buongiorno, due caffè, grazie. et le sourire sur les lèvres de blaise pour emballer le tout avant de se tourner vers boaz. — je te donne un prénom et tu me dis son plus gros problème. il réfléchit pour choisir un nom aléatoire. — arvid ? il propose finalement.

@blaise

Pff tu m'épouserais même pas pour me filer la nationalité française ? Je fais semblant de bouder. Heureusement que je peux compter sur Arthur pour le mariage et la nuit de noces. Je pose ça là en le regardant à travers mes lunettes de soleil. Je pourrais, mais je suis pas fan du mensonge luv'. Je fais l'effort de lui accorder l'attention qu'il mérite et ce batard nous fait sa Pisces bitch. Je roule des yeux. Tu veux que je la rende plus passionnante ? Je demande limite comme une menace, parce que suffit de demander. Les péripéties viennent me trouver, j'ai même pas besoin de sortir d'une pièce on me pousse dedans et il se passe des bails. Harry Potter could never. Il change de sujet en parlant des passants mais on la fait pas à Boaz en fait. Je retire mes lunettes juste pour qu'il me voit plisser des yeux de manière suspicieuse. Le serveur arrive et je l'entends commander la café d'un parfait italien. Damn. Tu veux bien lui demander son numéro aussi ? Mais non il préfère parler des autres candidats. Ça va pas être compliqué. Je peux trouver des problèmes au mot "problème" ou les créer askip. Il balance le nom d'Arvid et c'est chaud. Je sais même pas qui c'est. En soi, c'est un problème. Je vais aller lui parler. Bahini. Oui moi aussi je veux jouer, file le thé.

petite réflexion à cette histoire de nationalité française. — ça veut dire que j’ai celle anglaise ? parce que ça peut se négocier, mais @boaz préfère du coup glisser arthur dans l’histoire et pose son regard océan sur lui - la réflexion qui fait son chemin. — tu peux. il répond simplement avant de hausser des épaules à la question du mensonge. — par contre là tu veux me faire chialer. il glisse dan un haussement de sourcil dans sa direction, cherche dans sa veste de costume oversized le paquet de cigarette qui traîne là pour ses sorties occasionnelles - se retrouve à en allumer une en roulant des yeux, paquet laissé entre boaz et lui en invitation. — j’aime pas trop le sous-entendu menaçant derrière ça, et si c’est pour un autre moment passionnant sous la douche avec franz ou sucer virgil - flemme. cette fois c’est son regard à lui qui se plante dans le sien , cendre en même temps la cigarette d’un air nonchalant avant de s’appuyer contre le dossier de sa chaise et croiser ses jambes. — je saurais pas lui demander son numéro sauf si quelqu’un répétait la phrase tous les jours. il fait remarquer en regardant le serveur partir. — dommage. belle conclusion. il comprend pour arvid et hoche de la tête, il n’a pas eu le temps encore de lui parler non plus. — ses cheveux m’impressionnent, j’ai l’impression que si je vais lui parler je vais me faire fouetter. la mention de bahini tire un air presque effrayé à blaise. — elle serait capable d’empoisonner mon café sans même sourciller. et lui serait capable de le boire. — smith.

@Blaise

Il me surprend pas particulièrement quand il pense direct à l'avantage de choper la nationalité anglaise. J'ai beau trouver ça cute la France, niveau fashion ça reste plat. Less is more c'est bien l'expression qui représente le sens du style à la française. Tandis qu'à Londres on respire l'extravagance. Je l'imagine bien déambuler les rues de Camden dans ses plus beaux atours, le Blaise. Je t'ai déjà reconnu comme londoner luv', la nationalité c'est qu'une formalité. Je lui fais un signe de croix devant la tête aussi. C'est moi le pape de la mode. Je le vois changer d'air quand je me rabats sur l'option Arthur. Je cherche même plus à comprendre leur relation aux deux, j'ai déjà assez de mal à comprendre les miennes. Il sort une clope et je commence à lui faire les yeux doux, j'ai laissé les miennes je sais pas où encore. Le paquet vient se poser près de moi du coup j'hésite même pas. Je me stoppe deux secondes, pas plus, quand il mentionne une douche avec Virgil et une pipe à Franz. Ou l'inverse, j'sais plus. Je sais pas quelle image mentale est la pire. Faut quand même que je demande. Du coup la rumeur est vraie sur la bite de Franz ? Ce serait quand même triste d'être foutu comme ça.... juste pour être foutu comme ça. Son petit jeu nous amène à parler d'Arvid, mes paroles sont suivis d'actes vu que je commence à le texter pendant que Blaise parle de je sais pas quoi. Du coup j'ai sorti le prénom de Bahini au pif et j'ai pas trop écouté sa réponse, on verra si c'est une grosse perte. Smith ? Je capte à peine. J'avais oublié jusqu'à l'existence du type. Smith c'est le vide. J'aimerais pouvoir cracher dessus, mais tu craches comment sur un trou noir ? Kit.

blaise observe avec surprise @boaz lui dire qu’il est déjà londonien et, quelque part, il est sûr que ça fait sens. il ferme les yeux au signe de croix, bien décidé à accepter la nationalité offerte par le styliste, ça lui permettra de venir à londres et de vivre sa meilleure vie. il rebondit pas trop concernant arthur et cette histoire, après tout il n’a pas grand chose à dire. sourire poli sur ses lippes à défaut de savoir quoi dire. le français tire sur sa cigarette, hausse un sourcil à la mention de franz. — ah y a des rumeurs? il glisse, sourire moqueur sur ses lèvres. — j’en sais rien, j’ai rien vu, va falloir voir ça avec fly. ça c’est les rumeurs qu’il a entendu. blaise se penche sur l’épaule de boaz quand il le voit avec son téléphone, minaude quand il le voit écrire à arvid. — dis lui bonjour aussi, il tente et se redresse bien vite parce que le serveur leur amène leurs cafés et blaise est occupé à flasher un sourire - fossettes marquées juste au-dessus de ses lèvres. — grazie. il glisse avant de le regarder partir et de tendre le café vers boaz, récupère sa tasse ensuite et y plonge déjà tout le sucre. smith c’est le vide, il note d’un hochement de tête, kit est proposé ensuite et tout poisson qu’il est, hausse des épaules. — insaisissable. l’instinct qui ne s’affole pas mais ne lui dit pas non plus que ça sera génial, comme une alarme dans le fond de sa tête. noté. — remi ? il se tourne un peu vers boaz ensuite, tout en déposant un billet avec la note de frais, c’est lui qui invite il a dit.

@blaise

Je vois ses paupières closes et son silence religieux pendant que je l'adoube. J'éclate de rire, il est vraiment... something else. S'il se mettait à copier mon accent British d'ici deux secondes ça me surprendrait même pas, dans sa tête il est à Londres là. Il a pas vu l'oiseau de l'allemand du coup j'suis déçu, elle est où la passion journalistique qui anime les gays quand il s'agit d'aller jusqu'au fond du thé pour en connaître l'arôme ? Je m'étouffe quand il mentionne Fly. Effectivement le bad boy avait l'air super fier d'avoir pompé le cuistot sur insta, je dois dire que je suis admiratif de son audace et son je-m'en-foutisme je sais pas si même moi j'aurais osé. On va résoudre le mystère d'une manière ou d'une autre. James Boaz. J'oublie ofc de dire bonjour à Arvid de la part de Blaise, c'est notre conversation, je vais pas le laisser s'interposer avec sa cuteness que personne n'a demandé. Je relève la tête juste à temps pour le voir flirter du sourire avec le serveur. Je pensais que j'étais le seul, mais tu fais vraiment le coup à tout le monde. Shook. Pas du tout j'ai grillé son jeu même avant de le rencontrer, je connais les Poissons hein. Je rigole à sa réponse sur Kit, moi j'espère bien qu'elle va se faire saisir un de ces quatre parce qu'elle semble en avoir besoin. Il propose Remi, je souris. Could turn me bi. La BDE de la sorcière c'est quand même quelque chose. Et je l'aime bien elle est bon délire et c'est la mère de mon fils donc bon. Il est quand même chanceux le Clark de pouvoir compter sur vous. Nathan. Je demande pour un ami. Moi.

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