plus le droit de lui adresser la moindre parole, aussi bien à l'écrit qu'à l'oral apparemment. ce n'était pas forcément le plus logique mais arthur faisait de son mieux, les regards ne se posant sur @blaise que quelques secondes lorsqu'ils se croisaient sans oser approfondir les contacts au risque de sortir des phrases par mégarde. ce qui était tout aussi stupide et illogique que son dilemme mais eh, il faisait de son mieux et avait même fini par comprendre qu'il était en droit de faire passer des messages indirects en s'adressant à d'autres. c'était donc sur un énième "si vous me cherchez, je serai à x endroit" très général et à peine ciblé -merci hagrid pour l'inspiration- qu'il s'était rendu dans le studio de répétition avec une idée en tête. si techniquement écrire et parler n'était pas possible, un lipsync et la musique l'étaient. et il n'avait pas forcément de discours importants à faire à blaise sur le moment, notamment à cette heure-là, mais il n'allait pas se priver pour autant. puis il serait capable de faire un mix musical en cas de besoin de toute manière, même si pour l'instant il n'y avait qu'un "ça m'énerve" qui lui venait en tête pour parler de cette situation imposée. un sourire s'étira sur ses lèvres en le voyant arriver en tout cas, faisant ensuite mine de s'installer derrière le piano alors qu'il était loin de maîtriser l'instrument. détails. il appuya sur quelques touches pour un air dramatique histoire de, son regard ensuite posé sur son téléphone en quête de la première chanson. du mylène, magnifique. sourire et regard pétillant vers blaise, pour ensuite se relever et commencer le lipsync en posant une main sur son épaule au milieu de l'interprétation. c'est une belle journée, je vais me coucher. une si belle journée qui s'achève.

il a fallu qu’@arthur répète trois fois qu’il allait se trouver dans telle ou telle pièce pour comprendre que c’était des allusions indirectes pour lui - pour savoir où se trouverait le brun si jamais il avait envie de le rejoindre. mais blaise est retenu par une légère peur, celle qu’arthur oublie qu’il n’a pas le droit de lui parler et qu’il se fasse taper sur les doigts. pourtant le français prend la direction de la salle de répétitions, intrigué, et pousse la porte, sourcil haussé en se demandant s’il va trouver quelqu’un. — salut, salut, salut. il souffle avant de voir arthur et de sentir un sourire arriver sur ses lèvres, pendant qu’il referme la porte derrière lui. visiblement c’est l’heure de la leçon de piano qui ne s’étire pas longtemps puisque le français ne sait pas en jouer - mais s’enveloppe tout de même dans un air ultra dramatique. — oh bitch, c’est reparti. blaise glisse dans un sourire amusé, surtout quand il entend les premières notes de la chanson mise sur le téléphone d’arthur, il le regarde ensuite faire sa petite performance - sourire amusé au coin des lèvres, c’est toujours compliqué d’interrompre arthur en pein mylène - c’est presque du suicide. sauf qu’il arrive à ses côtés et blaise glisse un regard vers la main qui se pose sur son épaule, se retenant de rire en posant la sienne sur la taille d’arthur. — euuuh… bonne nuit alors ? il répond en haussant un sourcil, parce qu’il dit qu’il veut aller se coucher tout ça. blaise se retrouve presque à glousser ensuite, face à la prestation. — pas de… il laisse sa phrase en suspens pour faire des moulinets des mains qui représente le style de danse un peu limite d’arthur, léger rire pour accompagner. — je suis content que t’ai passé une bonne journée. il espère que c’était ça le message derrière.

c'était presque avec soulagement qu'il avait souri à @blaise à son arrivée. sa méthode de discussion indirecte n'avait pas forcément été des plus efficaces juste là et il désespérait un peu de réussir à quelque chose d'ici la fin de la semaine sans craquer directement. quelle idée de le priver de parole avec la seule personne qui lui importait dans ce block. no shade envers les autres mais personne n'était au niveau de blaise et ce n'était un secret pour personne. le sourire s'approfondit davantage en l'entendant dire que c'était reparti, sans s'arrêter pour autant d'être dramatique avec la chanson de mylène pour une performance lé-gen-daire. rien que ça. l'interprétation prenait une forme nouvelle dès que les notes de la chanson s'élevait, l'âme de la chanteuse prenant littéralement possession de lui avec une facilité déconcertante. il avait passé tellement de temps à l'écouter en boucle que c'était peut-être une forme d'elle qui l'habitait à chaque fois après, allez savoir. un sourire s'arracha pourtant de ses lèvres aux mots du brun, sans se laisser déconcentrer pour terminer le lipsync auprès de lui avec ses bras posés sur ses épaules malgré la différence de taille. détails. un baiser posé sur sa joue avec tendresse ensuite, pour se dégager et le laisser se moquer de lui sans ménagement. quelle connasse. l'insulte qu'il était obligé de garder pour lui mais qui se lisait parfaitement sur son visage. il secoua la tête à la négative à la place, attrapant son téléphone pour lui montrer une autre chanson et lui faire comprendre que la chorégraphie spéciale n'était que pour désenchantée. duh. légère moue sur le visage ensuite, pas persuadé que les paroles de la chanson correspondent parfaitement bien à sa journée. pas terrible en soi mais devoir le croiser sans lui adresser la parole était pesant à la longue. il pointa un doigt vers lui avec un air triste, puis vers lui-même, et mima un coeur qui se brisait. pas le plus clair mais sa manière de lui dire qu'il lui manquait.

le magnétisme d’@arthur - le talent de pouvoir passer d’une émotion à l’autre et de se glisser avec un professionnalisme déconcertant dans sa prestation et d’y coller les sentiments qu’il faut. un don que blaise apprécie - le sien se contente de fendre une foule sans avoir besoin de dire aux autres de se pousser - l’aura. il voit l’air sur le visage d’arthur quand il se moque à tenter ses mouvements de bras, se retient de rire - habitué à l’air, comprenant même l’insulte qui se cache derrière - et pourtant blaise ne se retient pas de venir poser son doigt sur le nez juste après qu’il ai retiré le sien. mais il lui fait comprendre en montrant le téléphone que les gestes sont très spécifiques pour une seule chanson en particulier. — ah, il glisse d’un ton laconique, mais hoche de la tête pour montrer qu’il a compris. jusqu’à ce que le français ne se mette à lui faire des mimes, sous l’air un peu trop perdu de blaise - dont le cerveau refuse de capter le sens intégral des mimes qu’on peut lui faire. toujours à côté de la plaque - adressez un coeur à la personne à ses côtés et il vous enverra des baisers. — oula, c’est moche ça. il étire finalement et vient placer ses mains sur celles d’arthur pour reformer le coeur avant de poser ses doigts contre ses poignets et de faire bouger un peu le coeur - sourire qui fleurit sur les lèvres du plus jeune. et la seconde d’après il relâche ses poignets pour pouvoir faire un coeur avec ses propres mains et envoie des baisers vers arthur - peu importe ce qu’il voulait dire avec son air triste, blaise lui impose son optimiste, fouillant même dans son téléphone pour trouver une chanson et lance le banana split - regard brillant de blaise sur arthur pour ce numéro iconique.

une prestation qui collait à l'énergie de l'artiste, chaque geste calé sur ceux étudiés pendant des années. le naturel était facile à capter dans ce qu'il faisait, l'interprétation parfaite comme étant habité par la chanteuse elle-même. ce n'était pas une première pour @blaise d'en être témoin mais il s'appliquait toujours autant, par passion et envie de transmettre des émotions qui faisaient écho aux siennes. surtout maintenant qu'il était incapable de lui parler, même si la chanson en soi ne semblait pas parler plus que ça au brun. qu'importe, c'était un moyen de profiter d'une performance et d'espérer en avoir une à son tour peut-être, il ne savait pas tellement et n'avait repris possession de lui-même qu'à la dernière note de la chanson de mylène. la moquerie dans sa manière de danser sur désenchantée était presque un outrage à qui il était en tant que personne mais il allait se remettre, l'insulte bien visible sur son visage et comprise de l'intéressé de toute manière. puis il ne pouvait s'empêcher de sourire un peu au doigt sur son nez aussi, montrant ensuite son téléphone avec un hochement de tête pour renforcer le message transmis sans les mots. ses mimes étaient plus compliqués à transmettre par contre, le manque de paroles plus handicapant que jamais pour lui faire comprendre que ne pas être en mesure de lui parler lui brisait le coeur. et pour une fois, il n'était même pas dramatique. sauf que blaise ne comprenait qu'à moitié et sa manière de lui imposer de reformer le coeur brisé ne lui arrachait qu'un demi-sourire toujours un peu triste. pourtant il acceptait les signes du brun sans trop de problème, le rire arraché silencieusement de ses lèvres devant les baisers envoyés vers lui comme s'ils se trouvaient à quinze kilomètres l'un de l'autre. i miss you. les mots formés sur ses lèvres dans un espoir qu'il le comprenne, un nouveau rire ensuite plus sincère à la chanson qu'il lançait de son téléphone. le banana split, leur chanson de performance en duo par excellence. pas besoin de plus pour se lancer dans une nouvelle interprétation à ses côtés, dans une position beaucoup plus stupide cette fois. comme à chaque fois. fallait dire que merci les paroles. ses plus beaux mouvements stupides pour l'occasion, courant à moitié partout devant un public imaginaire. magnifique. il avait terminé au sol au dernier banana split um avec une main contre ses lèvres, pour se relever ensuite difficilement -merci la vieillesse- et planter son regard dans celui du plus jeune pour l'applaudir de ce spectacle légendaire. le doigt de nouveau pointé vers lui ensuite, l'air de lui dire que c'était maintenant à son tour d'en faire une en solo.

évidemment le sourire revint sur ses lèvres dès que la performance se termine et que l’insulte s’installe dans le regard et sur tout le visage - blaise qui se met à rire légèrement, la main devant les lèvres avant de secouer la tête. il l’observe ensuite faire ses gestes sans trop comprendre, préfère reformer le coeur et prend même un air satisfait lorsque c’est fait. le regard un peu lourd lorsqu’il tente de se concentrer - scrute les lèvres d’@arthur qui forment quelques mots, le temps de les comprendre pour que le visage a l’air paumé évolue en rayonnement. — mohh moh moh, il se retrouve à glisser dans un ton étrange avant de venir entourer de ses bras l’autre français et le garde contre lui quelques secondes - assez pour pouvoir récupérer le téléphone et mettre une autre chanson. les cerises confites sont des lipsticks qui laissent des marques rouges sur l'antarctique - et pourtant ils sont stupides tous les deux, les mêmes mouvements, le sourire toujours présent sur les lèvres de blaise. jusqu’à la fin où il se retrouve à applaudir arthur - couché au sol, dans un mouvement grotesque qui le fait doucement sourire. en même temps c’était une chanson toute aussi stupide qu’eux. quand c’est visiblement à son tour de faire le show, blaise agite la main comme pour dire qu’il ne doit pas en faire toute une histoire. et puis il y a toujours ce quelque chose qui ne lui donne pas entièrement l’aura qu’il possède en drag, qu’il n’est pas sûr de pouvoir faire sans avoir l’air bête. pourtant il se retrouve à lancer fantasy de mariah carey - une presque facile à faire sans toute cette histoire d’aura. oh, when you walk by every night, talking sweet and looking fine - il fait semblant de se faire de l’air avant de sentir un sourire sur ses lèvres, parce que ça lui vient naturellement finalement, habitué aux performances. baby i’m so into you, darling, if you only knew. et ses doigt se retrouvent sur la mâchoire d’arthur pour attirer un peu son visage au sien - glisser contre ses lèvres les paroles. but it’s just a sweet sweet fantasy baby - et son visage qui s’éloigne alors qu’il hausse des épaules pour continuer sa performance jusqu’à la dernière note - persuadé de la fantasy jusqu’au bout, et le rire qui s’échappe des lèvres à la fin. — bitch, j’étais pas prêt. il glisse légèrement en reprenant son souffle, sourire toujours présent sur ses pulpeuses.

le message difficilement transmis après une première tentative en mime, le coeur toujours aussi lourd alors que la réaction de @blaise lui arracha un sourire. peut-être qu'il était un peu trop dramatique et qu'il devrait prendre les choses comme lui mais l'étreinte avait le mérite d'être agréable et appréciée. contact rapide pour laisser ensuite une deuxième prestation en duo sur leur chanson fétiche, la stupidité présente dans chacun de leurs gestes pour une démonstration de talent face à un public inexistant. que demandez de mieux. l'applaudissement du brun pour lui arracher un rire -quelle idée de frapper des mains à bout de bras alors qu'ils faisaient vingt kilomètres de long- et en faire de même à son tour après une difficulté certaine pour se relever dignement du sol. la demande silencieuse d'une performance de blaise en solo, en levant les yeux au ciel devant sa main agitée. n'importe quoi. l'aura qui retrouvait sa place naturellement dès les premières notes jouées de la chanson de mariah carey, le sourire se formant entre les lippes de l'artiste qui pourrait se perdre des heures sur la démarche de blaise. cette manière qu'il avait de capter tous les regards et de rentrer dans une dimension cosmique était la raison-même de sa fascination envers lui et de son statut de muse. son coeur rata un battement en le voyant se rapprocher de lui, sa mâchoire prisonnière de son emprise sans rien pouvoir y faire. non que ce soit la première fois mais damn, l'effet restait toujours le même. les mots de la chanson raisonnaient un peu plus fort à mesure qu'il se déplaçait, le souffle retrouvé qu'à la dernière note de la chanson. léger moment où il resta figé, incapable de réagir, avant de se forcer à sourire et d'applaudir de manière stupide en baissant la tête d'un air impressionné. le regard ensuite posé dans le sien, pour se rapprocher de lui et glisser ses lèvres rapidement contre les siennes comme une manière de lui faire comprendre ce qu'il n'était en droit de prononcer de vive voix. you're a star baby.

légère révérence sous les applaudissements et jeté de wig imaginaire avant de se mettre à rire - blaise reprend sa respiration, toujours ravi de performer sur ses chansons préférées, secrètement toujours ravi d’avoir autant d’emprise sur le monde. surtout lorsqu’il laisse tomber la vision de fantasme pour la pure stupidité de sa personnalité, comme dès le moment où @arthur s’approche de lui pour déposer l’habituel baiser sur ses lèvres - l’air presque froid que pouvait avoir blaise deux seconde avant in character disparaît pour laisser le sourire idiot et creuser les fossettes au-dessus de ses lèvres. — au moins cette fois t’as pas envoyé voler ta chaussure sur le haut de l’armoire ou une connerie comme ça, j’aurais passé ma perf à la récupérer. blaise, récupérateur professionnel de talons égarés. — mais c’était mieux que la vague que tu t’es pris l’autre jour. il glisse en se retenant de rire, un sourcil haussé vers lui - peut-être qu’il y prend goût, à se moquer quand arthur ne peut rien dire. toujours le téléphone en main, blaise fait défiler les chansons pour finalement mettre tandem sur les hauts parleurs, pas de perf cette fois mais de quoi profiter à deux - et même s’il n’est pas très doué en danse, il s’empare quand même de la main d’arthur, la porte à ses lèvres pour y déposer un baiser avant de le faire tourner sur lui-même.

un spectacle toujours aussi captivant lorsque @blaise se mettait à performer, au point de lui faire oublier de reprendre sa respiration par moment. il fallait dire que décider de l'inclure dans sa performance n'aidait pas réellement, malgré l'habitude installée depuis le temps. le rapide baiser posé sur ses lèvres à la fin, toujours par habitude, avant de reprendre une tête où l'insulte pouvait facilement se lire dessus. quelle connasse. l'impossibilité de répartie lui manquait d'autant plus à ce moment-là, même s'il tentait toujours de le faire en mime. son index relevé pour faire comprendre que ce n'était arrivé qu'une seule fois, pour ensuite lever sa jambe -comme il avait un peu trop l'habitude de le faire en performance- pour prouver que sa chaussure restait parfaitement à son pied. magnifique. après fallait dire que c'était aussi plus simple avec des baskets que des talons hauts mais détails. la mention de la vague qu'il s'était mangé lui arracha un rire par contre, parce qu'il ne pouvait pas trouvé d'excuse cette fois et qu'il avait réellement eu l'air ridicule sur le moment. il poussa un peu l'épaule de blaise quand même histoire de répliquer comme il pouvait, mais se laissa facilement faire en entendant la nouvelle chanson choisie par le brun. la danse était loin d'être sa spécialité mais tant qu'il n'avait pas de public à impressionner en drag, ça devrait le faire. sur du mylène, ça aurait été différent pourtant. le baise-main pour lui arracher un nouveau sourire amusé, pour mettre la deuxième main contre son torse comme pour montrer qu'il était flatté. le petit tour sur lui-même, pour essayer de refaire la même chose avec blaise malgré la différence de taille qui rendait la manoeuvre plus compliquée. et allez savoir comment, il se prit ensuite les pieds dans un câble qui traînait au sol et manqua de tomber à moitié sur lui. deux pieds gauches qui arrachèrent un léger "aaah" de détresse. parfaitement ridicule.

le but est qu’@arthur et lui passent un petit moment ensemble sans que ça ne soit trop perturbant de ne pas pouvoir se parler - la musique aide pas mal, celles qu’ils enchaînent aussi, les petites performances comme un goût de maison un peu. blaise le regarde lever sa jambe, comme il a l’habitude de faire - sourire qui naît automatiquement sur ses lèvres, mué en rire qui vient creuser ses fossettes avant de secouer légèrement de la tête. il le fait tourner sur lui-même, le sourcil haussé en le regardant faire et vouloir inverser les rôles, se laissant faire - pris dans l’instant et le mouvement, ses doigts resserrés sur ceux d’arthur en fléchissant un peu les genoux, pour lui rendre la tâche plus facile. et peut-être que ce n’était pas si efficace que ça puisque le brun se retrouve soudainement dans ses bras, le cri qui s’arrache à sa gorge fait rater un battement à son palpitant - piégé dans l’inquiétude, trop soudaine. mais arthur finit contre lui, rattrapé du mieux par les mains de blaise, et entier. quelques secondes de silence, le temps qu’ils se remettent l’un et l’autre de l’effet de surprise de la chute - et pour que le sourire craque lentement sur les lèvres de blaise. — oui, c’est l’effet que je fais, tout le monde tombe à mes pieds. il glisse avec un air amusé, sourcil haussé vers arthur, mais reprend l’air plus sérieux. — tu devrais dormir, au lieu de passer tes nuits à faire des listes improbables sur les potentielles équipes. je te donne la mienne si tu veux, comme ça c’est fait. ses doigts relâchent son bras pour remonter jusqu’à la mâchoire d’arthur, l’emprisonne dans une poigne de velours. — je suis en équipe avec le proprio et la femme de ménage. le rire qui passe ses lèvres, caché dans le timbre de basse - et le baiser déposé sur son nez ensuite. — prends ça comme des vacances, s’il te plaît, t’en as besoin. l’étreinte se relâche - l’inquiétude dans le regard de blaise.