28.07 20:16 i just wanna @marilou ✧.*
C’était quand même mieux les douches chaudes, bien qu’on ne l’ai pas entendu une seule fois se plaindre du mordant du froid sur sa peau. Elle était pas tellement du genre à se plaindre d’une situation sur laquelle elle n’avait aucun ressort. Non, elle s’était habituée, comme elle se serait fait à l’idée de pas dormir dans un lit. Elle enfile sa tenue la plus chill, un short cycliste, un grand tee-shirt et une paire de chaussette haute parfait pour chiller le reste de la soirée, ou pour aller se coucher au choix. Ses cheveux encore humides se plaque contre son tee-shirt blanc qui perd en opacité à mesure qu’il s’humidifie. Elle profite de son passage dans le dressing pour ranger un peu son coin de dressing qui déborde pas de vêtements, mais qui sent pas l’organisation de la fashionista du coin. Elle a très peu paires de pompes Mirel, mais elle arrive quand même à les éparpiller. Une paire de baskets, une paire de converses, deux paires de sandales à talons/mules, des tongs et une paire de chaussures de randonnées. C’est clairement pas chez elle qu’on trouvera les strass et les paillettes. Elle finit de mettre de l’ordre dans ses chaussures et décide de passer aux maillot de bains, qui eux sont plus nombreux question de pratique niveau lessives. La pièce s’emplit du parfum fleurit de @Marilou qui vient d’entrer. Mirel lui offre un grand sourire. « Moi pas beaucoup vêtements, mais pas être bien rangé. » Elle explique un léger sourire sur ses lèvres. La roumaine, elle savait pas encore trop comment se positionner face à Marilou, dont certaines de ses réactions/actions la questionnait un peu. Mais c’est certainement parce qu’elle ne la connaît pas vraiment. Si ce n’est qu’elle semble être la chouchoute de Saturnin. « Toi avoir pleins vêtements beaux ? » Elle parie cherchant sa partie de dressing du regard. « Toi prêter ? » Elle demande, le sourire qui s'élargie, se disant qu’elle pourrait rentrer dans les fringues de la blonde. Faut dire que si elle veut continuer d’être dans le thème des primes elle va devoir emprunter aux autres, ou bien se fournir dans la friperie du coin.

Sous le firmament étoilé de la Sicile, Marilou apprécie de flâner en compagnie des noctambules, s'offrant ainsi une rare opportunité d'observer les étoiles, un spectacle rare à Paris. La jeune femme n'a que rarement le loisir de se poser ainsi. Entre les cours qui la retiennent tard le soir et les sorties endiablées avec ses amies, l'instant présent lui échappe souvent. Ce soir, une douce brise nocturne la fait frissonner légèrement, incitant la blonde à rejoindre le dressing pour enfiler un gilet. Son côté du dressing est un joyeux désordre, contrastant avec le côté soigneusement maintenu d’autres candidats. Marilou avoue sans honte qu'elle n'est pas douée pour ranger, appréciant davantage quand quelqu'un d'autre s'en charge. Sa chambre et son dressing impeccables, soigneusement entretenus par Yvonne, en témoignent aisément. Alors qu'elle pénètre dans le dressing, elle tombe nez à nez avec @Mirela qui s'active à ranger les vêtements soigneusement pliés autour d'elle. Un échange de sourires chaleureux s'établit entre les deux jeunes femmes. Dans un anglais approximatif, la blonde confesse avoir apporté peu de vêtements, mais que ceux-ci sont malencontreusement en désordre. Un léger soupir s'échappe des lèvres de Marilou alors qu'elle montre sa partie chaotique du dressing. « Je te comprends, moi je suis venue avec quatre valises que je n’ai même pas pu vider entièrement et c’est quand même le bordel. » Elle fait constater à la jeune femme en désignant sa propre zone de désordre. Lorsque Mirela l'interroge sur la beauté de ses vêtements, Marilou hoche doucement la tête tout en lui montrant quelques pièces remarquables encore suspendues à leurs cintres. « Oui, j’adore chacun de mes vêtements. Ils sont tous uniques et ils me représentent bien. » explique-t-elle avec douceur, cherchant à s'assurer que la roumaine saisisse bien ses propos. L'accent français de Marilou facilite la compréhension mutuelle. Lorsque Mirela ose lui demander de lui prêter quelques-uns de ses trésors vestimentaires, la blonde réfléchit, faisant la moue légèrement. « D’accord, mais à condition que tu me promettes d’en prendre soin et de me demander avant d'emprunter quoi que ce soit. » insiste-t-elle, car si elle n'est pas avare, elle accorde une importance toute particulière à ses vêtements. Plongeant dans le labyrinthe de son dressing, elle en sort une robe, qu'elle expose devant Mirela avec une lueur d'inspiration dans le regard. « Tu devrais essayer celle-là, je suis sûre qu’elle t’irait super bien ! » suggère-t-elle avec enthousiasme, offrant une pièce rare de sa collection. Malgré le prix élevé de la robe, elle n'hésite pas à la partager. Malgré son amour pour sa garde-robe, certaines pièces finissent par la lasser. Elle préfère les transmettre à de nouvelles épaules, délicatement, comme un doux présent à l'heure du partage.

Ah oui, elle se souvient de la belle @Marilou et ses centaines de valises. Mirel, elle avait plutôt l’habitude de voyager avec un sac à dos. Pas vraiment le genre où on met des robes à paillettes dedans. Ici, elle a clairement fait son max en tenues apportées. Et c’est clairement parce qu’elle a été conseillé par ses amis. Sans ça, elle serait certainement venu avec trois jeans, trois tee-shirts… « J’espère quelqu’un aider toi avec valises. » Elle commente sur le ton taquin, terminant de ranger ses maillots de bain. Parfois elle avait l’impression que Marilou était une version d’elle en mode more and more. Plus de cheveux, plus de make up, plus de style, plus de robes, plus de cils, plus belle qu’elle. Elle avec ses trois robes dont la valeur n’est même pas forcément sentimentale et Marilou qui chérie chacune de ses nombreuses tenues. « Toi être dans le gang des fashions alors ? » Elle questionne, n’ayant pas remarqué un pacte de sang entre elle, Blaise, Arthur et Boaz. Puisque ses vêtements sont si nombreux, Mirel elle demande si un jour elle voudrait bien lui prêter quelque chose. Histoire qu’elle reste dans le thème des primes. Elle fait la moue la blonde, pas sûre que la boutique Marilou soit ouverte pour la roumaine. Peut-être qu’elle aurait du attendre un peu plus longtemps dans leur relation avant de lui demander si elle peut la dépouiller en fringue. Son regard il pétille quand elle accepte. « T’inquiète Henriette. » Elle place sa nouvelle expression favorite, apprise par @Blaise dès qu’elle le sent bien. « J’promets. » Et elle était totalement sincère Mirel, jamais ça lui viendrait à l’esprit de se servir sans lui demander, à moins que ce soit convenu entre elles et encore. Et pour l’histoire d’en prendre soin, c’est évident. Surtout sachant que Marilou porte autant d’importance à ses vêtements. Elle voudrait pas lui causer de la peine, parce qu’elle a taché une robe qui lui appartient. Marilou marraine la bonne fée lui sort une robe que la roumaine n’aurait jamais imaginé porter. « Oh, d’accord. » Elle balance dans un murmure. C’est le moment du film ou la fille normal se transforme en princesse c’est ça ? Sans se cacher elle retire ses fringue pour enfiler la robe. Un: parce qu’elle est en présence d’une meuf et que ça la gêne pas, pas de pudeur Mirel. Deux: parce qu’on l’a assuré que les scènes de nudité seraient floutées. La robe est trop belle, semble aller parfaitement aux mensurations de Mirel, qui se tourne montrant le zip ouvert dans son dos. « Toi m’aider ? » Elle admire ceux capable de se zipper dans le dos sans la moindre aide. Sans avoir l’impression de devoir se déboîter l’épaule dans le process.

@Mirela s'enquiert de l'arrivée de Marilou avec ses valises, et cette dernière, friande de se placer en victime, esquisse une moue triste surjouée. « Même pas ! J'ai dû monter chacune de mes valises toute seule. C'est là que je me rends compte que je ne donne pas assez de pourboires aux personnes dont c'est le métier. » La jeune femme réalise soudain la lourdeur de ce travail, qu'elle ne pourrait certainement jamais accomplir elle-même. Elle regrette même d'avoir pu trouver leurs services parfois trop lents à ramener ses affaires dans sa chambre d'hôtel. Interrompue dans ses pensées par la question de la roumaine sur son appartenance au gang des fashions, Marilou répond avec un grand sourire : « Je plaide coupable. » Elle se réjouit toujours lorsqu'on remarque ce côté d'elle qui affectionne la mode. Face à la demande de Mirela d'emprunter des pièces de son dressing, Marilou accepte, mais établit certaines conditions non négligeables. La réponse de la blonde la surprend agréablement, ne s'attendant pas à entendre une telle expression de sa part, ce qui la fait rire. « Toi, tu piques les expressions de Blaise ou Arthur. » devine-t-elle, inclinant davantage vers Blaise comme source. Attendrie par l'expression niaise de Mirela, la parisienne lui sourit chaleureusement lorsqu'elle lui promet de prendre soin des robes qu'elle lui empruntera. Dans un élan de générosité, Marilou sort une jolie robe de ses affaires pour la tendre à la jeune femme, convaincue qu'elle lui ira à merveille. La blonde demande alors de l'aide pour fermer la robe, montrant la fermeture dans son dos. « Bien sûr. » s'exclame Marilou, empressée de monter la fermeture jusqu'en haut, veillant à dégager les cheveux de l'autre blonde pour ne pas les coincer. Elle attend qu'elle se retourne pour admirer le résultat, et elle en reste bouche bée par sa beauté, fière d'avoir choisi le bon modèle. Dans un élan d'excitation, Marilou serre chaleureusement son modèle du jour dans ses bras. « T'es trop belle, purée ! » s'exclame-t-elle, sa voix s'élevant dans les aigus de l'excitation. Elle la relâche ensuite et la contemple avec concentration. « Tu me laisses faire ? » demande-t-elle, se lançant sans attendre de consentement. Elle attrape le chouchou qu'elle a dans les cheveux, sa cascade bouclée retombant sur ses épaules. Elle saisit les cheveux mouillés de sa camarade pour les attacher en un chignon haut brouillon. « Il faudrait bien coiffer tes cheveux hauts et mettre un joli collier avec, les autres n'en reviendront pas. » s'exclame-t-elle, ravie du résultat. « T'es magnifique, une vraie poupée. » murmure-t-elle, émerveillée par sa propre création.