Juro que, juro que, juro que, juro que
El tiempo que tú estés dentro yo te esperaré/@Dylan
La cubaine décide d’organiser quelque chose de sympa pour @Dylan, bien que le coeur n’y est pas complètement. Ils s’étaient « réconcilier » durant le prime histoire de ne pas trop parler des choses qui dérangent alors qu’il y avait le risque qu’il se retrouve en ballotage. Elle leur prépare une salade, vu qu’il ne mange rien d’autre. Elle met une petite vinaigrette à coté, sachant qu’il va certainement ne pas en prendre, vu son régime alimentaire. Elle lui met un verre d’eau, alors qu’elle sert un verre de vin. Pas d’alcool, pas de matière grasse, ce mec se prive de tout. Bref, la petite table installée au milieu du jardin est plutôt plaisante. Rien de folichon, mais c’est un cadre romantique qui devrait faire son effet. Elle a même enfilée une jolie robe rouge style nuisette qui met bien ses formes en valeur, ses longs cheveux retombant sur ses épaules. Le rouge de ses lèvres, le dorée au coin des yeux, elle est parfaite. Même si l’envie d’une soirée romantique avec son mec est quand même moins intéressante à ses yeux quand tout le block est persuadé que leur relation est fausse ou que Dylan se fout royalement de sa gueule. La belle l’attend tranquillement assise sur sa chaise, le verre de vin blanc à la main.
tenue

... Hey ... déclare le blond en s'avançant timidement vers Frida. Depuis le prime, Dylan ne sait pas sur quel pied danser. On lui avait toujours dit que les relations, c'était compliqué, et ça lui avait toujours suffi pour ne jamais vouloir en savoir plus. Mais avec Frida, il n'avait pas eu le choix, au final: elle lui avait montré ses yeux de biche, et le blond était immédiatement tombé dans le panneau. Tu es magnifique, il souffle à demi-voix. De son côté, il fait un peu tâche dans ses fringues de sport trempés de sueur. Il n'avait pas vu le temps passer et avait donc dû faire impasse sur sa douche. Merci d'avoir organisé tout ça. C'était pas la peine, mais j'apprécie l'effort, il admet ensuite, avant de commencer à piquer distraitement dans son assiette. Il a une question qui lui pèse sur le coeur mais la situation semble trop fragile pour qu'il puisse oser la demander.

Le mec arrive, tout droit sorti de la salle de sport ou elle ne sait trop quoi. Elle a prit une heure pour se préparer, entre la douche, la coiffure, le maquillage, le choix de la tenue. Une heure. Sans compter la préparation de la bouffe et de la petite table romantique. Et lui, il arrive tout en sueur. Elle est pas loin de vriller Frida. Elle le regarde noir. Vraiment. Même quand il lui dit qu’elle est magnifique, surtout quand il lui qu’elle est magnifique. Il apprécie l’effort ? Elle aimerait bien pouvoir en dire autant. « Et toi ? T’as oublié d’en faire des efforts ? » Elle lui lâche alors en posant son verre de vin. Elle a fait une putain de salade sans saveur, alors qu’elle rêve de friture, pour lui faire plaisir. Elle a prit soin d’elle, jusqu’à se raser les jambes et lui. Il vient tout puant de sueur. « Tu pues Dylan, t’aurais pu te doucher quand même. » Elle lui dit sans détoure, parce qu’en le voyant aussi désinvolte par rapport à ce diner qui était censé être sympa, elle arrive plus à oublier les délires du prime.

Clairement, il y a eu erreur de communication, et le blond s'en rend vite compte en observant à quel point Frida semble avoir mis des efforts dans cette petite soirée qu'elle avait pourtant affirmé serait posée, sans prise de tête. Dylan comprend mieux pourquoi il a jamais eu de meuf, maintenant: le décodeur coûtait trop cher et il préférait s'acheter de quoi construire des motos à la place. Sérieusement, la brune lui avait littéralement dit "viens comme t'es, ce sera très bien", mais avait oublié de préciser que en fait ça voulait dire qu'il allait devoir se doucher et se foutre en costard. Déjà, le voilà blasé. Désolé, j'avais pas capté que ce serait aussi formel ... le blond avoue finalement, en tentant de garder son calme. Je faisais mes pompes pour m'assurer que mes bras seraient assez forts pour te porter quand t'es trop fatiguée, tente-t-il de se justifier, quand même, parce que ça reste un effort en soit. Bon, il le faisait surtout pour lui, mais ça ... Pas besoin de le lui dire, à Frida, si ? Je peux y aller maintenant si tu veux ... Le blond bredouille, tout penaud. En d'autres circonstances, il l'aurait même embarquée avec lui pour s'amuser sous le jet d'eau mais quelque chose lui dit qu'elle risque surtout de le tabasser avec le pommeau de douche.

« T’es entrain de dire que je suis lourde ? » Elle demande, le regard à la limite de vriller. Non parce que si c’est ça son excuse pour être en retard et même pas habillé. Bien sûr elle lui avait dit de venir en mode tranquille, mais pas en mode puant. Il avait juste à se doucher et enfiler le truc le plus tranquille du monde. Elle se serait satisfaite de ça Frida. Elle lui demande pas de costard ou quoi. Elle aurait juste aimé qu’il fasse au moins semblant de s’intéresser trente seconde à elle. Au lieu de venir comme un con tout gluant de sueur. En plus insinué qu’elle est lourde ça veut dire quoi ça ? Si c’est pas ça qu’il veut dire, c’est qu’elle est pas foutue de se porter toute seule sur ses jambes pour aller se coucher ? C’est pas forcément mieux. « Laisse tomber, maintenant que t’es là ça sert à rien. Je vais pas attendre 107 ans. » Doit-elle lui rappeler qu’il était déjà en retard ? Elle soupire lourdement, saoulé que cette soirée commence aussi mal. « Ils avaient peut-être raison en faite, j’ai vraiment l’impression que t’en a rien à foutre de moi. Si même l’idée de prendre une douche avant un date avec moi te passe pas dans la tête. » A croire que ça va continuer sur une note salée. « Laisse tomber, je suis saoulée. » Elle ponctue, en terminant d’une traite son verre de vin.

Évidemment, Frida part au quart de tour, le prenant en grippe pour aucune raison. Outré et choqué, le visage du blond se renfrogne face à cette accusation. Hein ? De quoi ? Mais non mais pas du tout ! Mais à quel moment j'ai dit ça ? Il demande, d'une voix clairement indignée. Je disais juste que je voulais être au top du top pour toi. C'est si mal que ça de vouloir garder la ligne pour continuer d'être désirable à tes yeux ? Incroyable. Le blond pique une tomate de sa fourchette mais au lieu de la manger, il joue avec, clairement blasé par tout ça. Finalement elle lui dit qu'il devrait pas aller se doucher. Faut savoir, au bout d'un moment, il pue, ou il pue pas ? Ok, le blond répond d'un ton blasé, sans oser se confronter au regard de la brune. Il sait pas si c'est elle qui lui prend la tête, ou si il rumine encore vis-à-vis du prime. Dans tous les cas, il ne peut plus faire semblant que ça ne l'impacte pas: il faut que ça sorte. Ah oui, je l'attendais, celle là. Évidemment tout de suite tout est de ma faute. J'ai mal compris ce que t'as dit parce que t'as pas été claire mais c'est moi le connard, bien sûr. Je passe vingt heures par semaine à la salle pour m'assurer que je serai à la hauteur pour une nana comme toi, et évidemment, c'est une preuve que je tiens pas à toi ? Mais n'importe quoi, faut redescendre sur terre au bout d'un moment. Depuis une semaine, je fais tout pour toi. J'ai même passé ma journée à t'aider avec ta soirée cubaine, là, j'ai bouffé de tes trucs que j'aurais jamais mangé sinon, juste pour te faire plaisir, car je t'aime bien et que je voulais que tu m'aime bien aussi ... Et c'est comme ça que tu me remercies ? Non mais c'est bon, tu m'as saoulé, là. Je croyais que tu m'aimais bien mais en fait t'es comme les autres, tu veux juste me sauter mais t'en as rien à foutre de moi et de mes sentiments. Alors vas y, continue de te servir de moi comme punching bag, tu seras pas la première ni la dernière. Il croise alors des bras, les sourcils froncés, clairement apeuré par le tournant que prend une soirée qui de base, devait pourtant être cool. Et ne parlons même pas du fait que tu préfères croire une putain de machine débile que de me croire moi ... Je suis censé le prendre comment, sérieusement ?

Il s’enfonce avec sa maladresse et sa nonchalance. Elle a qu’une envie c’est de lui lancer sa bouffe dans la gueule. Clairement. « Quand t’as dis que tu devais faire du sport pour être assez fort pour me porter. » Elle lui lance le regard blasé. Bien sûr maintenant il change totalement de discours. « Non mais tu pars en vrille @Dylan, j’ai jamais mis de pression sur tes épaules. On se fréquente depuis deux minutes, je vais pas venir te surveiller voir si tu prends du poids ou quoi. » Elle crache presque, les yeux révulsé par le degré de conneries qu’il lance. « Incroyable ? Me cherche pas Dylan. » Parce que là il raconte juste n’importe quoi dans le but de la faire sortir de ses gonds non ? Tout ce qu’elle retient de son attitude c’est qu’il en a rien a foutre d’elle et clairement, elle commence a penser que tout le monde a raison à propos e leur relation. C’est que du fake. « Mais personne te demande de passer 20h à la salle ! » Elle hurle presque en même temps qu’il se lance dans des explications bancales. « Donc tu fais un effort une soirée et je dois me contenter de ça, les autres d’après tu seras tout puant et nonchalant. Tu me regardes à peine en plus. » Le reste la laisse hors d’elle. Il va jouer les victimes maintenant ? « Mais t’es pas croyable. » Elle balance en même temps que le contenu de son assiette sur la table. « T’es qu’un con, tu penses que je suis superficielle à ce point, c’est que t’as pas pris le temps de bien me regarder. Ou même de m’écouter. Je pensais que tu me voyais telle que j’étais, mais pour être autant à coté de la plaque… Inventé des trucs comme le faite que je te fous la pression pour que tu entretiennes un corps qui est déjà parfait comme il est, demander à une bouffonne qu’elle te parle plus genre je me sens menacé par Gemma ? Genre ? » Elle se lève brutalement et balance la table d’un geste brusque. « Et si je crois une putain de machine plus que toi, c’est peut-être parce que elle me balance pas trois mensonges par phrases. » Elle termine clairement excédée par la situation. « Fais pas croire que je te demande la lune. Joue pas la victime. » Elle termine, en tirant sur le bas de sa robe pour mieux la remettre en place. Elle est prête à se casser. Maintenant la balle est dans son camps. Il l’a rattrape et tente d’arranger les choses ou il peut faire une croix sur cette nana pour laquelle il doit tellement être à la hauteur…

Pourquoi direct c'est une critique envers toi ? Pourquoi je pourrais pas juste être trop faible pour te porter ? Bon, clairement, il pouvait la porter avec un doigt à ce stade tant elle semblait légère comme une plume mais il devait bien justifier son retard, donc il a visiblement juste choisi le mauvais argument. La brune affirme alors qu'il part en vrille et le blond se met à bouder, visiblement contrarié. Tu dis ça maintenant mais si j'avais un beer belly tu changerais vite de discours, j'suis sûr. Clairement, la brune n'a rien à lui reprocher sur son corps puisqu'il le traite comme une cathédrale, ou plutôt, LA chapelle Sixtine. D'après la brune, 'personne lui demande' de passer 20 heures à la salle. Ça le met hors de lui, un peu. Si je passais ma vie sur le canap à bouffer des chips comme un gros tas, jamais tu te serais intéressée à moi. Pas vrai ? Le blond demande d'un ton blasé et visiblement blessé.

Mais la brune n'est pas impressionnée, et voilà qu'elle l'insulte, avant d'envoyer valser la table au sol, ce qui a le don de faire grimacer le californien. J'ai jamais dit que tu me mettais la pression. C'est moi qui me met la pression ... Il souffle, en tentant de garder son calme par peur que la cubaine lui plante un couteau dans la main. En vrai, Dylan se sent encore plus petit que lorsque @safia avait tenté de l'émasculer, dans le confessionnal, là.
Je comprends rien. Déjà, à quel moment je t'ai menti ? Tu m'expliques ? Et ensuite, si tu voulais que je fasse un effort, pourquoi tu me l'as pas dit ? "Dylan, fais un effort". Je suis pas médium, je peux pas lire dans tes pensées, merde. Tu m'as dit de venir comme je suis. Bah voilà. C'est ça, qui je suis. Un mec ruisselant qui pue le fauve et la testostérone et qui a pas grand chose dans le crâne. Donc si je suis pas assez bien pour toi, dis le moi maintenant au lieu de me persécuter, ce sera plus simple. Ça me ferait chier parce que je crois que ... Il allait finir par faire un élan de vulnérabilité et avouer quelque chose qu'il aurait pu regretter d'avouer en premier, mais se retient de justesse. Le blond soupire donc, las. Tu me plais beaucoup trop. Assez pour que je fasse tout ce que tu me demandes de faire. Si tu veux que je me mette en costard pour aller à la piscine avec toi, je le fais. Si tu veux que j'arrête de parler à X ou Y, je le fais. Il suffit que tu me le demandes. Tu le sais, en plus, donc je comprends pas c'est quoi le problème ... Son regard, apeuré, est volontairement pitoyable attendrissant: le Dylan, il est perdu, après tout. Il a juste envie de comprendre en fait, parce que @Frida lui plait et que ça l'emmerde qu'elle lui dise que ce n'est pas le cas.

Elle laisse tomber se délire, parce qu’il joue avec les mots et essaye de retourner la situation à son avantage. Alors elle oublie et passe à d’autres délires tout aussi relou. « On sort ensemble depuis deux jours, je crois que le beer belly il est pas pour demain. » Elle scande, clairement excédé par toute les choses qu’il raconte et qui n’ont pas de sens. C’est pas utile de penser à ce genre de choses après trois heures de relation. « Non, c’est clair. Mais y a une différence entre s’entretenir et passer son temps à la salle. Et encore si tu me disais que tu le faisais pour toi et pas pour moi, ce serait différent. » Elle lui demande pas de faire des efforts sur son corps, c’est complètement dingue ce qu’il raconte. Elle a même pas eut le temps d’avoir ce genre de lassitude en faite. Elle pête un câble Frida. Elle fait valser la table, parce qu’elle perd patiente. « Mais pourquoi tu te mets la pression ? » Elle lui demande, toujours aussi hors d’elle. Il est pas habitué aux relations amoureuses, mais qu’il se calme, il enfin ait trop ou pas assez. Faut juste laisser couler. Il l’a fatigue. Et quand il pense qu’elle croit qu’il n’est pas assez bien pour elle, elle finit par fondre larme tellement la pression de la colère la met dans tous ses états. « Je veux pas d’un petit chien, je veux d’un mec. » Elle articule, se laissant tomber sur la chaise qui elle est resté debout malgré la table par terre. « Le problème c’est qu’on a pas du tout la même conception du couple Dylan. Je cherche pas quelqu’un qui attend que je lui donne des ordres, ça n’a franchement rien d’intéressant. » Elle ajoute, en essayant ses larmes. « Et tu penses vraiment que c’est ce genre de relation que je recherche, c’est que tu te méprends sur qui je suis. Je crois que t’avais compris qu’il fallait voir plus loin que ce que je montrais. Je pensais que tu me voyais toi. » Mais faut croire que non. « Je regrette déjà notre complicité dans la chambre là dernière fois, ta tendresse, tes petites fossettes quand tu me souris, je regrette la simplicité d’un baiser, d’un câlin. C’est tout ce que je demande moi. J’ai l’impression d’être la pire des connes quand tu dis tout ça. Tu crois que je te prends pour un sac à main ? » Elle croyait lui avoir montré sa part d’elle sincère. Lui en faite, il a tout oublié pour garder cette image de nana fausse qu’elle aime bien trimbaler pour faire fuir les débiles.

Mais pourquoi tu te mets la pression ? Le blond s'était un peu endormi à travers toutes les paroles de la brune, un des symptômes de sa maladie chronique: la flemmingite aigüe. Dès qu'il faut faire le moindre effort qui n'est pas un effort de muscu, le blond s'éteint, comme un ordinateur mis en veille. Bah ... Pour avoir des objectifs, je sais pas ? Dans la vie faut bien avoir des buts, non ? Il demande, un peu incrédule. Elle est si gâtée que ça qu'elle comprend pas l'importance de se fixer des goals, la Frida ? Un corps comme le mien, c'est comme une oeuvre d'art: ça prend des années à peaufiner et le moindre faux pas peut s'avérer fatal. Donc désolé si ça te déplaît que je me mette la pression mais c'est uniquement grâce à ma résolve de fer que tu peux te vanter de sortir avec le mec le plus sexy du block, le blond remarque, faisant référence au seul et unique award qu'il avait pu gagner. En plus elle l'engueule, lui disant qu'elle veut pas d'un petit chien mais d'un mec, et cette remarque là, elle le tue un peu. Son visage s'assombrit, ses sourcils se froncent, et le Dylan a l'air aussi perdu qu'il a l'air déprimé. Non mais j'attends pas que tu me donnes des ordres, faut pas abuser non plus ... le blond souffle d'une voix qui se veut rassurante, alors qu'il se lève de sa chaise pour se poser derrière celle de la brune et l'enlacer de ses fameux bras musclés. Elle risque de le tuer car il dégouline probablement de sueur sur sa jolie robe mais le blond est pas assez intelligent pour pouvoir réfléchir aussi loin. Je pense rien de tout ça, j'essaie juste de te montrer que je tiens à toi et que ton bonheur m'importe, le blond souffle de plus belle, avant de masser les épaules de la cubaine dans le but de la détendre. Si je te voyais pas, je serais déjà reparti, iil avoue, espérant que cela suffirait à la rassurer. Mais ça ne semble pas fonctionner, ce qui explique pourquoi il soupire face à la dernière question de la brune. Évidemment que non Frida, enfin ... Moi aussi, je ne demande que ça, la simplicité des bons moments. Alors voilà ce que je te propose: pourquoi on recommence pas à zéro ? On part à la cuisine, on se prépare un truc à graille, ensemble. On passe pas 3 heures dessus, on se prend pas la tête, et on profite de la soirée ensemble. T'en penses quoi ? Elle n'a même pas le temps de répondre que le blond croit entendre au loin la voix débile de @vicente, avant de constater que le brun glousse comme un imbécile avec @jana, en les regardant très certainement. Dans tous les cas, je te propose qu'on rentre avant que je commette un meurtre. Tu voudrais pas que j'aille en prison, quand même, si ? Il tente l'humour dans l'espoir de pouvoir obtenir un petit rire, ou, au minimum, un sourire.