Malheureusement non… Bien trop plat et flasque… J’espérais mieux ! qu'il ose dire en qualifiant le fessier de la rousse. A vrai dire, Kendall n'a pas des formes volumineuses, les amateurs de grosses fesses, fétichiste des Kardashians repasseront. Tout chez elle est fin, de ses poignets qui laissent passer les bracelets aisément, à ses doigts où elle doit toujours resserrée les bagues jusqu'à ce tour de taille qui heureusement est xs et donne la courbure suffisante pour affoler la gente masculine. C'était comme si on l'avait dessiné harmonieusement et délicate, pour lui donner ce physique fragile qu'on peut casser facilement si on ne fait pas attention. D'ailleurs cette image, si elle est contrastée par son assurance et indifférence d'ordinaire, n'a jamais été aussi vrai à ce moment là. Paralysée à cinq mètres de hauteur, elle montre des failles qu'on n'aurait pas soupçonné devant un @Apollon qu'elle imagine se réjouir.. Mais elle a faux Kendall. Il n'est pas comme lui, c'est pas un vicieux ou du moins, pas à son niveau. Il revient à son niveau, tente de la rassurer et reste même quand elle lui dit de repartir. Après une grosse lutte mentale entre elle-même, elle se décide à lui demander son aide pour retrouver le sol. Je vais me déplacer de sorte à te surplomber, d’accord ? Dès que je serais en position, je vais te demander de t’accrocher à moi très fort. Tes bras autour de mon cou, tes jambes autour de ma taille pour que je puisse descendre en rappel. Les consignes sont claires. Le visage toujours stoïque, elle se contente d'un faible  « D'accord » presque embêtée. Il s'exécute, heurte le corps si fragile de la poupée avec le sien avec cette délicatesse consciencieuse et surement bien ardu au vu de la situation. On note donc l'effort. Cette proximité pourtant bien étrangère entre les deux individus a ce côté sécurisant, comme s'il l'englobait totalement et qu'il lui servait de protection. A ce moment là elle a l'impression que rien ne peut lui faire de mal. C'est le moment pour elle de lâcher... Au vu de sa moue grimaçante, c'est pas aussi facile que ça. Ses mains... ses foutues mains ne veulent décidément pas lâcher l'affaire. Il peut même sentir cette agacement contre elle-même à son soupire étouffé. Prête ? C’est à toi de jouer, petit Koala. Son regard réussit à finalement la rassurer et lui faire lâcher ses maudites prises pour une autre bien plus agréable. Ses deux mains se retrouvent bien autour de son cou et ses jambes élancées nouées au tour de sa taille, non sans étouffer un cri sur le moment au creux du cou du jeune homme. Il peut le sentir qu'elle n'est pas totalement rassurée avec cette pression qu'elle exerce avec ses mains et ce, malgré l'air indifférent et serein qu'elle aborde sur le visage. « Pas trop lourde ? » qu'elle finit par demander alors qu'il commence à descendre en rappel. Bien sur avec son petit gabarie, elle sait qu'elle n'est pas lourde en tant normal mais est-ce que les mêmes lois agissent de la même manière dans ce cas là ? Ah, elle devrait le savoir, elle l'experte... D'un geste naturel sa tête se repose contre lui et presque inconsciemment, du bout des doigts, elle vient caresser les cheveux sur sa nuque en silence. « Je devais bien respecter mon rôle de princesse jusqu'au bout et me faire secourir » Quelques accoues plus tard, elle finit enfin par toucher le sol. Enfin lui d'abord et elle ensuite. Et comme par magie, elle retrouve son assurance dés le premier pied au sol, comme si rien ne venait de se passer. Elle se recoiffe même avec cette attitude qui a le don de l'insupporter normalement et ses faux airs de duchesse. « Du coup personne n'a atteint le sommet. Je suppose qu'on a tous les deux perdus. » qu'elle lâche avec un sourire malicieux, culottée au maximum vu ce qu'il vient de se passer.