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 suburban war (dim, 00h)


i'm from season two, b*tch
Mael
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Mael



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suburban war (dim, 00h)
Dim 20 Sep - 1:20



« Bon » il avait soufflé à une @Riley qui semblait prête à frapper du Giorgio. Le coup de passer sa semaine à l’extérieur elle ne l’avait sans doute pas anticipé. Ils étaient un peu comme deux cons là, tous les deux, à la fin du prime, encore assis sur leur canap’ avec un verre chacun à la main. Il l’avait suivie sur le cognac depuis une bonne quarantaine de minutes et la bouteille était descendue radicalement. Mael quand il s’y mettait il avait une sacré bonne descente. « J’vais t’aider à préparer tes affaires et rester avec toi ce soir. » Lui les nuits à la belle étoile ça le connaissait. C’était pas un aventurier des premiers instants, mais à force d’avoir pédalé il s’était parfois retrouvé dans des situations d’impro totale. Avec le temps il avait appris à s’équiper un minimum en partant en trip. De toute, il avait bien vu dans le regard de Riley une espèce de détresse inavouée. Meuf à gérer. « T’as jamais fait de camping I guess ? » Il s’était levé, bouteille à la main, et l’avait tirée en-dehors du salon. « Et s’endormir dehors en étant rebs ça compte pas ». Direction les chambres. Fallait qu’elle se change, Blondie, et récupère un minimum ses affaires. Lui il était parti chercher un jogging et un sweat pour être confort pour la night. Il s’était changé rapidement dans le dressing avant de récupérer la couette sur le lit de Riley. « Tout ça ??? T’es pas sérieuse Riley tu peux lâcher au moins la moitié de ton bordel. » C’était son taff à lui, ce soir, de s’occuper de la rouge. Et après une semaine à devoir s’éviter, la tâche le dérangeait pas vraiment. C’était pas un mec véner, Mael, il en voulait pas à Adrien pour la nomination d’office, mais ce genre de prime le foutait toujours dans un mood un peu mélancolique. Sortir, ça lui ferait aussi du bien. Sans trop réfléchir ils s'étaient dirigés en premier lieu au bar extérieur. Une façon comme une autre de planifier la suite des opérations.
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Riley
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Riley



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Re: suburban war (dim, 00h)
Dim 20 Sep - 7:17



Elle a tout de la gamine rageuse à l’instant même, ses lèvres boudeuses engourdies par tout le cognac qu’elle a ingéré le temps du prime, Mael qui a décidé de se faire fier supporteur et de l’appuyer dans sa démarche, buvant verre après verre comme si c’était de l’eau. S’ils ne bougent pas du salon sur le coup, c’est surtout qu’elle a envie d’être dans le déni. Elle a zéro envie de devoir passer la semaine à se faire chier dehors. En fait, elle est sur le point d’envoyer un gros fuck you à la production et de regagner sa chambre ce soir pour y dormir paisiblement. Mais elle ne peut pas. Elle ne peut pas faire qu’à sa tête, les caméras qui la fixent son là pour le lui rappeler. Mael il lui tend la main, en affirmant vouloir l’aider et rester avec elle. Presque sur le point de l’envoyer promener, elle se souvient qu’elle n’est pas en position de négocier ni de confronter. Et que si elle n’accepte pas son offre, qui est plutôt gentille pour le coup, elle risque de se retrouver prise au dépourvu dans quelques minutes. S’il a envie de la gérer, elle va le laisser faire pour ce soir. « Je lui mettrais mon poing sur la gueule » elle parle de Clay, évidemment, pour communiquer une fois de plus sa haine d’enfant gâtée, avant de souffler un simple « Merci. » alors qu’ils sont sur le point de quitter le plateau. Elle est ingrate par moment, mais elle a quand même une base de savoir-vivre. Il lui parle de camping et tout ce qu’elle trouve à faire c’est lui envoyer un air de dégoût par la bande, incapable de concevoir qu’il lui pose cette question. « J’allais justement dire que je me suis réveillée sur la table à massage un matin la semaine dernière. C’était une prémonition. » malheureusement, elle a envie d’ajouter. Ils se séparent quelques minutes, le temps qu’elle retire sa tenue de pute de luxe pour enfiler quelque chose de plus confortable, c’est-à-dire le hoodie beaucoup trop oversize qu’elle a justement volé dans les affaires de Mael sans qu’il ne le sache, l’autre jour avec Bianca. À voir s’il le reconnaitra. Dans tout le chao qu’elle représente, la voilà qui essaie de rassembler ses affaires, ses gestes toujours désorganisés par l’alcool, n’ayant aucune idée de ce qu’elle doit apporter. Des maillots de bain, une robe Chanel, un masque pour le visage au charbon? Ce qu’elle est blasée. Mael est déjà prêt à la gronder comme s’il était un père qui s’adressait à sa fille de treize ans. « Mais si j’en ai besoin? Ils ont pas le droit d’imposer ça à une personne » dramatisation extrême et purement égocentrique ici. Le ton las de sa voix qui clash avec la certaine anxiété qui se retrouve dans son regard. Elle est peut-être sur le point de lui péter un plomb. Peut-être pas. Toujours difficile à dire avec elle, même quand elle est en détresse. Elle ne peut que se résoudre à abandonner ce qu’il juge non nécessaire. « Le seul réconfort que je vois à cette histoire c’est que j’ai le bar extérieur à moi toute seule. » elle annonce, sarcastique, alors qu’ils viennent de rejoindre celui-ci. Elle mate déjà les bouteilles à se demander dans quoi ils vont se plonger pour le restant de la nuit. « J’en reviens pas honnêtement. Je passe la nuit dans la loveroom avec lui et le mec le lendemain il me fout un couteau dans le dos comme ça. » elle rage à nouveau contre Clay. C’est pas son pote à Mael d’ailleurs? Promis après elle arrête de parler de lui.
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Re: suburban war (dim, 00h)
Lun 21 Sep - 11:15



Le seum de Riley contre Clay était palpable. Ca le faisait discrètement sourire, Mael, alors même que la moindre once d'humour risquait de la faire totalement vriller. Vas-y. Il s'était stoppé, face à elle, sourcil haussé et visage provoc. Je prends pour lui et je lui en foutrai une en échange. C'était évidemment une façon de la faire un peu craquer et redescendre, Riley, parce qu'il était à peu près certain qu'elle ne lui en foutrait pas une. T'y gagnes, mon poing sera plus douloureux. Cqfd gros bras. Après quelques secondes de silence à essayer de faire retomber sa pression il lui avait finalement attrapé le bras pour sortir du plateau. Elle le faisait marrer Blondie à taper le scandale pour une semaine à la belle étoile, alors même que la terrasse offrait tout le confort pour un sommeil réparateur. Mais il était un peu rebs là, Mael, il voyait tout dans le positif. C'était son rôle, de canaliser son énervement. Et t'as bien dormi ? Blackout mis à part. Il jouait un peu du sarcasme à son tour, pas encore bien certain de comment dealer avec son humeur. Mael il n'avait jamais eu de petite soeur / petite cousine de qui gérer les caprices. Et ses ex, elles tapaient plutôt dans la détente totale. La seule façon qu'il avait de gérer le truc c'était de se foutre inévitablement dans son moule de 'coach' slash 'grand gaillard' free spirit et tout le bordel. Il pouvait abuser du positivisme pour deux. C'était un peu son syndrome du sauveur, exacerbé par la détresse étouffée qu'il voyait dans ses yeux gris, à Riley. Pour l'instant, elle se contenait, mais à la voir désemparée comme ça face à ses affaires il avait bien saisi que la limite était presque atteinte. On t'apportera ce dont t'as besoin demain, s'il manque des trucs. Du style, pas cette robe Chanel. Inutile pour la soirée. Cool sweatshirt. Son sourire s'était braqué sur son visage, reconnaissant son pull disparu. Fringues de rechange, brosse à dent, crème et tout ce bordel si tu veux, trucs chauds et ciao. Le reste ça sera spéciale livraison express... Il avait pointé un doigt sur elle. Ouais exactement, avec ce regard là, tu vas faire craquer tout le monde. Il avait chargé son sac sur son épaule, lui refilant la couette avant de la traîner dehors par l'épaule. Son truc, à Mael, c'était de laisser se reposer le silence. Riley fallait qu'elle assimile un peu d'elle-même ce qui l'attendait. Il pouvait pas faire tout le taf. On arrête le cognac par contre please. Cul posé sur l'un des sièges il avait attrapé une bouteille d'eau et une bière, pour se laver un peu la bouche et l'oesophage de ce qu'ils s'étaient déjà dégommés. J'sais bien, pas fiable le type, il a aussi craché sur notre bro code. Cf. ses réponses au détecteur de mensonge. Il avait attrapé un citron, coupé rapidement en rondelles avant de s'en bouffer une comme, ça, par envie, puis lui avait piqué une clope. Mael, coudes posés sur le bar, il dardait son attitude, à Riley. Comment je te fais oublier tout ça, Blondie ? C'était pas un bavard en groupe, Mael, mais il adorait les discussions comme ça, en face à face. Il avait tendance à se laisser complètement absorber par le moment, et là, malgré tout ce qu'elle pouvait penser, ça ratait pas.
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Re: suburban war (dim, 00h)
Mer 23 Sep - 14:59



Elle fixe Mael, suspicieuse comme tout de la proposition qu’il lui fait. En fait, elle essaie surtout de se concentrer sur ce qu’il dit, son état d’ivresse avancé lui demandant un effort de concentration supplémentaire. « Tu veux que je te frappe? » elle finit par formuler à voix haute, juste pour être certaine de bien comprendre. Le pire, c’est qu’elle hésite, y voyant presque un avantage pour elle, comme il l’explique si bien. « Je ne peux pas défigurer Monsieur Populaire, je vais recevoir des lettres de menaces de mort de tes fans. Pas envie de gérer ça. » elle a déjà donné dans le domaine, non merci. Elle vient tapoter sa joue de quelques petits coups sans pour autant sourire avant de le suivre hors du plateau, dans les prochaines étapes de son exil. « Meilleure nuit de ma vie. » elle soupire, avec autant de sarcasme que lui dans la voix. C’est con, comme question, elle ne pourrait pas savoir si elle a bien dormi, parce qu’elle a blackout et ne se souvient de rien. Elle est dépassée par les événements et elle se demande si c’est parce que #1, elle devra dormir dehors toute la semaine. #2 elle a l’impression d’être prise pour une conne avec cette situation. #3 elle a bu une quantité non négligeable d’Hennessy. Elle opterait pour l’option #4 : toutes ces réponses. « Je l’ai volé à un sans-abri. » elle hausse les épaules, lorsqu’il mentionne le sweatshirt qui lui appartient et qu’elle n’a pas l’intention de lui retourner. Ce n’est certainement pas parce qu’il est stylé. Il est juste pratique et chaud. Elle l’observe la prendre en charge complètement, alors qu’elle a abandonné depuis de longues secondes à faire elle-même sa valise, se disant mentalement qu’il y avait un petit quelque chose de séduisant à se laisser gérer de la sorte. Elle ferait même une remarque, si elle n’était pas complètement blasée de la situation. « Quel regard ? » elle retourne, les billes qui roulent déjà pour témoigner de son exaspération, toujours. « C’est bon, on dégage, sinon je vais me coucher en boule dans mon lit et je vais refuser de partir. » elle signale, laissant ses doigts frôler le tissu de sa couette une dernière fois avant de l’embarquer avec elle vers ses prochaines aventures. Ils se retrouvent au bar en peu de temps, ce qui a beaucoup plus de sens à ses yeux. Riley, elle a une façon complètement fuck up de dealer avec ses émotions et elle n’a pas l’impression qu’ils ont capté quoi que ce soit les autres, encore. Elle ne comprend pas trop pourquoi personne ne l’a encore confronté frontalement sur sa consommation d’alcool alors qu’ils entament leur troisième semaine ici. Elle se glisse derrière Mael d’un pas hasardeux, le fixant quelques secondes alors qu’il sort une bouteille d’eau sous ses yeux. « Tu vas me dire de m’hydrater? » elle confronte presque, à la recherche d’une réaction non nécessaire. L’index qui caresse l’étiquette des bouteilles qui se dressent devant elle, Riley se permet de pousser une dernière fois, ses complaintes face à un Clay qui vient de perdre beaucoup d’intérêt à ses yeux. « Qu’est-ce qu’il a fait pour malmener le bro code? » elle a pas suivi, elle devait déjà être torchée à ce moment. Elle attrape finalement une bière à son tour, s’octroyant une pause avant de retourner vers quelque chose de plus fort. De l’autre côté du bar, elle vient s’accouder pour mimer les gestes du français, avant de venir lui voler la clope qu’il a entre les doigts. Un échange de regard subjectif, elle laisse même un sourire trainer sur ses lèvres l’instant d’une seconde ou deux. « Physiquement? » elle demande, dans toute son innocence. Fausse innocence. Bah quoi, c’était ça la réplique facile dans les films. « J’sais pas, j’suis là à faire comme si je te connaissais, alors que je sais même pas tu viens d’où et ce que tu fais dans la vie à part être en amour avec ton vélo et avoir des gros bras. » sa façon a elle de lui demander de parler de lui.
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Re: suburban war (dim, 00h)
Ven 25 Sep - 11:22



Il avait laissé couler son sourire face à son inaction. Pas cap de lui foutre une tarte, c'était évident. Son rôle à lui c'était de prendre la situation en main. Il la faisait aligner ses affaires et emballait le tout dans son duffle the north face qui traînait par là. Plus facile que de se trainer sa valise immense à elle. Son corps s'était simplement retourné pour lui adresser un doigt d'honneur à la remarque gratuite sur le sweat qu'elle squattait allègrement. Riley son moyen de communication c'était la réplique. Elle répondait à chacune de ses phrases par une nouvelle question, pour mettre en exergue son attitude de grande blasée. Lui, face à ça, il se retrouvait presque à jouer au daron. Rôle qui ne lui correspondait absolument pas. Mael il avait simplement cette expérience des prises de décision rapides. Surtout pour ce genre de situations bullshit. Pas le genre à se prendre la tête pour des trucs futiles. S'imposer auprès d'elle ce soir n'avait rien d'étonnant. Il l'aimait bien, Riley, dans tout ce qu'elle voulait montrer. Et il se sentait terriblement léger, là, avec le cognac frappant sa conscience. Oui hydrate-toi. C'était limite catégorique, même si dit avec un semblant de sourire. Concrètement, ils n'en avaient pas besoin de ce stop supplémentaire au bar. Mais il ne se sentait pas non plus prêt à sombrer dans le sommeil. Y'avait trop de frustration du prime à exacerber. C'était moins sa nomination que tout le reste, qui l'emmerdait. Il commençait à avoir la flemme de mener cette bataille, Mael. Demi bouteille d'eau vidée, il lui avait glissé l'autre moitié pour qu'elle l'imite. J'exagère. Naturellement. Clay n'avait rien fait, si ce n'est répondre au détecteur de mensonges. Ses lèvres avaient vite retrouvé le goulot de la bière tandis que Blondie lui chipait sa clope. Il la laissait faire, quelques secondes, regard posé sur son visage aguicheur. Puis sa main était venue attraper la sienne, l'immobilisant le temps d'un instant pour sourire en récupérant la cigarette. C'est comme ça que t'obtiens tout ce que tu veux à LA ? Sa fausse innocence, son sourire en coin, ses grands yeux qui attaquaient dans l'obscurité. Clope allumée, il en avait tiré quelques taffes avant de la lui tendre pour prendre un peu de recul sur sa question. J'ai grandi dans le sud de la France, face à la mer et j'ai vécu au Brésil pendant deux ans parce que ma mam était de là-bas. C'était ouf, j'ai adoré, j'y retournerais bien là mais y'a pas mal de trucs qui m'en dissuadent. Genre le président. Du coup pour l'instant je taffe à Paris et je vais faire mes championnats de triathlon dans le sud. Grosso modo. J'ai fait des études d'urbanisme et d'ingé, mais ça m'a cassé les couilles, trop de bullshit, de politique, j'aime pas la vie de bureau. J'aime pouvoir bouger, bosser avec ma voix et mon corps, avoir l'impression de faire un truc qui anime vraiment les gens. C'est simple. Il avait haussé les épaules. Un gars simple. C'était aussi la première fois qu'il en alignait autant. Il avait parlé du Brésil, avec Oli', de son parcours, avec Freya, de ses potes, avec Jules, de ses passions, avec Clay. Mais il avait rarement tout sifflé. Comme ça, au rythme d'une gorgée de bière. Le vélo c'est un peu mon troisième poumon. Pas une simple passion, non. Ca l'aidait à survivre. A toi Blondie. Après on passe aux questions touchy. Et en guise de sentence il lui avait repris la clope, pour ne pas lui laisser le choix.



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