J'ai trouvé mon petit lieu de refuge pour la journée. Clairement saoulé de devoir me taper des questions sur Virgil dès que je crois un candidat. Ces bouffons vont finir par me transformer en introverti, quelle horreur. Du coup je me lance dans un petit atelier inspiré par la chronique de Major la semaine dernière. Je contemple fièrement mon petit "Boaz'd Book". J'ai pas de photo du coup je me contente de petits dessins pour illustrer chacune de mes victimes. Bon en gros la moitié du bail c'est juste Franz et V. Je suis en train de de m'appliquer à dessiner le fameux micropénis de l'Allemand quand j'entends la porte s'ouvrir depuis mon coin. Je suis caché par les cabines qui sont alignées. Si c'est Mimi Geignarde, je suis habillé donc ça sert à rien de te pointer. Si c'est pas Mimi Geignarde j'suis à poil donc t'approche pas. J'ai réussi à effrayer tous les candidats qui ont voulu venir faire leurs petits besoins jusqu'à présent. Je m'en bats les couilles, c'est mon territoire. J'entends plus de bruit donc je passe ma tête pour voir ce qui se trame et of course mon regard tombe sur le bully. Je lui lance mon regard noir pour le dissuader d'ouvrir la bouche sur son pote ou quoique ce soit d'autre, au pire j'ai une blague sur l’urinoir en réserve rien que pour lui.

@Boaz

Pallier à peine passé qu'une mise en garde était lancée. Il la reconnaissait directe cette voix, autant que cette répartie un peu bancale. « Mec, j'viens juste pisser. » ce qu'il faisait de son côté il s'en fichait pas mal, ne mourant pas forcément d'envie de connaitre tous les détails de ce qu'un gars pouvait faire aux chiottes. Allant jusqu'à l'urinoir, Franz faisait ce qu'il avait à faire, captant au passage la tête de Boaz qui ressortait un instant de l'endroit où il se trouvait, ce qui piqua la curiosité de l'allemand. Pourquoi il avait besoin de surveiller ce qui se passait au juste ? Affaire terminée, mains lavées et voilà qu'il faisait semblant de claquer la porte derrière lui, mimant le fait d'avoir quitté la pièce avant de s'approcher à pas de loups de l'endroit où Boaz se trouvait. La vérité, c'était que les bruits qu'il entendait n'avait rien. voir avec les habituels de quelqu'un utilisant les chiottes, alors il se doutait que quelque chose était louche, d'autant plus qu'il n'aurait pas été en mesure de croiser son regard si le mec avait réellement été sur le trône. Porte ouverte d'un coup sec et il clamait « T'sais que si tu veux faire un truc en scred' y'a des verro... » mais il se stoppait, découvrant les dessins, et un Boaz pris en flagrant délit. Moment de silence, le temps de process l'info, et voilà qui était bon. « 'Tain, t'es plutôt doué pour un gamin de douze piges. » très honnêtement, qui allait faire ça à son âge ? Mais ouais fallait avouer que y'avait un certain style. « Et donc ça, c'est moi ? » qu'il disait en désignant le dessin soulignant un certain manque de hm... taille. « Presque flatté que j'te marque à ce point. » parce que c'était pas franchement réciproque, si il était honnête.

Quand il se défend de juste venir faire sa petite commission, je peux pas m'empêcher de sourire en pensant au mot "petite" et je me dis qu'il osera quand même pas en sachant que je suis là, prêt à lui tomber dessus d'une minute à l'autre pour me foutre de son engin. Mais non le type fait comme chez lui, mais askip envahir les territoires et les allemands c'est une longue histoire d'amour. Je note dans un coin de ma tête de lui sortir que je suis juif un de ces quatre si je veux le mettre mal à l'aise, ça pourrait carrément marcher. Je respire un coup quand j'ai l'impression qu'il a enfin déserté les lieux et je reprends mon activité artistique en sifflotant "Bad Romance" gaiement, mais c'est sans compter sur la persistance du nuisible de type Franz. Je me fige un coup quand il débarque avec sa nonchalance légendaire pour me prendre sur le fait. Y'a un moment de silence et je continue de le regarder hyper mal pour pas montrer que je suis gêné. Il y va de sa petite remarque of course. Oh tu sais on a tous une âme d'enfant, le dessin et les aventures pour certains, le bullying pour d'autres. Je reprends mon dessin avec un sourire. Il a pas choisi la bonne semaine pour me taper sur le système. Il se reconnaît tout de suite sur la page, sauf que y'a pas son prénom en fait. Je me doute que la ressemblance avec ton engin doit être frappante, mais un type peut pas juste dessiner une bite minuscule sans que tu sentes visé ? Parle d'un ego et d'une insécurité meine lieben. Il serait arrivé 30 minutes plus tôt il aurait pu découvrir mon magnifique poème sur lui. Ça me casse quand même les couilles sa remarque sur le fait qu'il soit dans ma tête. T'as choisi la meilleure manière de marquer de toute évidence. Mais sinon t'as pas une sucette à voler à un gamin ou quelqu'un à essayer de te taper ? Sa réputation le précède puis j'ai pas oublié les paroles de Fly. Vas trouver des adversaire à ta taille je sais pas, y'a pas de victime ici. Je suis prêt à monter sur le trône s'il le faut pour illustrer mes propos de mon mètre 76.

@Boaz

Pour être parfaitement honnête, Franz avait du mal à comprendre d'où cette soudaine vendetta contre lui avait débuté, particulièrement auprès de Boaz qui avait l'air de se foutre de pas mal de choses, et surtout des problèmes qui ne le concernait pas directement. Et justement, il n'y avait pas de problème entre Franz et Clark, ce qui faisait dire à l'allemand que l'anglais cherchait simplement un exutoire, plus par ennui qu'autre chose, et Franz était devenu sa cible par défaut. Il venait de trouver le délinquant entrain de grapher des caricatures plutôt mauvaises sur les murs des toilettes, plutôt enfantin, mais tout de même assez amusant, même s'il ne lui avouerait jamais. « Ah ouais, c'est vrai qu'tu t'y connais en bullying. » parce que bon, entre un problème inexistant entre Clark et Franz généré par un challenge obligatoire... et un Boaz qui avait justement dirigé son challenge envers Franz par la suite, en plus de grapher maintenant sur lui dans les chiottes, c'était à se demander qui était réellement le bully des deux. Franz à deux doigts de fondre en larmes. Or not. Ce qu'il remarquait surtout, c'était que le mec tournait en boucles un peu. « Mec, si ça t'amuse de créer cette histoire dans ta tête parce que tu t'ennuies et que tu veux pas process d'avoir une nouvelle fois été rejeté, franchement amuse-toi. » il quittait la cabine, se dirigeant un instant vers le miroir pour réarranger une mèche de cheveux « J'te trouvais intéressant au début, mais faut croire que tout le monde peut se tromper. » ouais clairement, une erreur de jugement de la part de l'allemand là dessus, pour une fois qu'il en admettait une. « À ta place, plutôt que d'essayer de créer des problèmes où y'en a pas, et t'en prendre à des gens qui en ont rien à foutre de tes actions... » il jetait un oeil au reflet du gamin dans sa cabine de chiottes « J'commencerai par analyser mon comportement, et c'qui m'a amené à me retrouver solo dans des chiottes à grapher la misère qu'est ma vie actuelle. »

Je commence à monter en pression quand il a le culot de me comparer à un bully. Le mec à décider de projeter son délire sur moi ? Je suis en train de péter un câble intérieurement et je pense qu'il devrait juste remercier le bon dieu qu'on soit dans une putain d'émission. Sinon je lui aurais déjà refait le portrait façon Van Gogh. Ce bouffon a aucune idée de tout ce que j'ai pu vivre à cause de mecs comme lui, alors me comparer à ce genre d'énergumènes ça me fait bouillir direct. Toi tu sembles pas reconnaître les moments où vaut mieux fermer ta gueule. Je reprends mon coloriage pour essayer de me calmer. Néanmoins il en démord pas le lad, je pense que le bull est lancé et on peut plus l'arrêter. Il vient donner des coups de marteau sur une autre corde sensible et là je pose mon feutre à terre. Que Coco Chanel me donne la force de lutter contre l'envie de le mettre en bouteille et parfumer la pièce avec. Je le vois sortir de la cabine et je pense mes prières exaucées, mais il s'arrête devant la glace. J'me demande s'il se voit comme je le vois là tout de suite. "J'te trouvais intéressant au début" la pertinence du commentaire quand j'en ai rien à carrer ? Allez qu'il se casse. Vite. Ah non non il continue, je suis littéralement sur le sol et ça continue de frapper. Peut-être qu'on appelle ça un bon samaritain en Allemagne. Il me lâche une réplique et je ferme mon cahier. La deuxième arrive et je décide de me lever pour marcher jusqu'à sa tronche. Je peux pas le frapper. Je peux pas le frapper. Je peux pas le frapper. Premièrement, du con, j'ai rien inventé. T'as décidé d'aller t'en prendre à Clark sachant qu'il se défendrait pas parce que t'es qu'un lâche. Je me rapproche encore jusqu'à le coincer contre le lavabo. Deuxièmement. Tu t'en fous tellement de ma gueule que t'as rien trouver de mieux que fouiller dans mon téléphoner pour la poster de partout sur tes réseaux. Mais on avait déjà compris que t'étais qu'un putain d'hypocrite. J'appuie du doigt sur son torse pour appuyer mes propos. Ouais bouffon c'est bien de toi que je parle. Pour finir. J'en ai connu des tonnes de bullies dans ma jeunesse et j'ai survécu à tous. Je sais les reconnaître et je sais aussi les éclater. Compare-moi encore une fois à l'un deux et I. SWEAR. TO. GOD. Je vais te foutre un deuxième grain de beauté sur la tronche. J'ai ces putain de larmes qui veulent pas rester dans leur coin mais je refuse de détourner le regard ou me cacher. Je ressens tellement de haine et d'injustice que je sais pas quoi en faire. Je peux même pas le cogner et ça me bouffe. Faut que je fasse un truc.

@Boaz

Franz avait carrément l'impression d'être plongé dans un monde parallèle. Ouais, il avait bien du mal à comprendre ce que Boaz lui reprochait depuis quelques jours, alors même qu'il n'avait aucune embrouille avec Clark, le mec qui était pourtant concerné par le "problème" initial. Bien sûr qu'il avait des mots crus Franz, il le savait, et s'il avait un jour à s'excuser auprès du concerné pour l'avoir blessé, il le ferait. Or Clark n'avait pas eu l'air particulièrement affecté -et à vrai dire, il n'avait pas l'être car il ne s'agissait que d'une impression suggestive, qui s'estompait de jour en jour- mieux encore, il avait aux yeux de Franz eu une réponse qui lui prouvait clairement le contraire. Alors pourquoi dresser soudainement une statue à l'effigie de l'allemand comme étant ce nouveau tyran qui régnait entre les murs du block, d'autant plus par Boaz qui n'était pas concerné de près ou de loin par tout ça ? Ouais, un monde parallèle, seule réponse encore viable. Il s'excitait, quittant sa cuvette pour se rapprocher de Franz, dressant un portrait de lui qui lui faisait bientôt froncer les sourcils. Le mec s'était vraiment créé tout un profil dans sa tête, voire plusieurs ; Franz comme bully ultime, Clark comme victime sans défense. Pourtant, ce dernier avait bien prouvé qu'il n'avait besoin ni de Boaz, ni de Fly pour se sortir d'une situation. De ce que Franz avait expérimenté, il s'en sortait même mieux que les deux autres réunis là dessus. Il mentionnait ensuite cette histoire de réseau, et là franchement, Franz ne pouvait pas s'empêcher de rire, parce que ça en devenait ridicule. Poster une photo d'un gars avec qui on avait passé une bonne soirée, y'avait rien de mal, et soudainement ça aussi c'était remis sur le tapis ? Franz, cité une nouvelle fois comme un bully, ok ok. Pourtant, depuis tout à l'heure, il était parfaitement calme, n'ayant même pas pris la peine d'hausser le ton, alors que Boaz était prêt à lui en foutre une. « Tu sais quoi ? » il se dégageait un instant de cette proximité qu'on venait de lui imposer, reculant de quelques pas en gardant le londonien dans sa ligne de mire « Estime que c'est la dernière fois que j'essaie d'avoir une conversation avec toi. Les dramaqueens, c'est mignon deux secondes, mais les mecs qui s'inventent une seconde réalité dans ton genre, ça l'est vraiment pas. » prunelles envoyées au plafond, deux doigts sur la tempe pour lui faire ses adieux « Trouve un autre bouffon pour tes comptines, i'm out. »

J'ai vraiment cru que j'allais craquer quand le rire est sorti de sa bouche. Je sais pas ce qui est le pire entre la frustration de pas pouvoir le cogner pour me vider de toutes ces émotions et le fait qu'il les tourne au ridicule. Est-ce que je me ridiculise ? Il me met le doute. Ouais c'est sans doute ça le pire, la seule certitude que j'ai dans la vie c'est qui je suis et ce que je ressens. Alors quand le mec vient clairement se moquer de l'ensemble. C'est trop. Il s'énerve même pas, y'a juste moi en train de laisser émaner tout mon chakra comme si le démon renard s'apprêtait à briser le sceau de apposé par ce putain d'ermite anti-fun. Ça aussi ça m'agace. Tout chez lui en fait. Il se recule et je loue les cieux en vrai, l'idée c'est que lui puisse se contrôler vu que moi je peux pas. Une autre réplique à la con qui me laisse sur le cul. C'est tout ce qu'il trouve à dire ? Et en plus il continue avec son délire dans lequel je m'invente une vie. Je vois pas comment ça pourrait être faux ce que je ressens là. Toute cette putain de rage, d'injustice et tristesse. .... Ah merde. Merde. Nique son grand-père dites-moi que c'est une blague. Je retombe comme un soufflé pour le coup et je me mets à souffler tiens. Je crois que j'avais arrêté de respirer ou une connerie du genre. Je m'adosse sur le lavabo le temps que la réalité me file l'uppercut que l'allemand a pas su me décocher. Putain de merde. Je me reprends du coup. Euh pas toi. Merde. Comment je me sors de cette histoire ? En fait depuis le début c'était même pas contre lui que j'avais la rage. Bon si un peu, parce qu'il me saoule avec sa vibe chill et mystérieuse. Il est pas dans Twilight en fait. Fuck. J'étais prêt à le monter en l'air à cause de son enfoiré de pote. Ah il est toujours là, il était pas supposé partir en mode "je vaux mieux que ça" ? Genre je dois m'excuser maintenant ? Putain. C'est ça le pire, y'a plus chercher. Ouais. Je commence. Sorry je sais pas trop ce que je faisais. J'ai des problèmes. En vrai même le bail de Clark il avait pas fait grand grand chose. Me fallait juste quelqu'un sur qui me défouler faute de pas pas pouvoir cogner V ou baiser. Je vais pas m'excuser deux fois par contre. Vas crever Kinder Bueno. T'es pas un bully. Ça va, je m'en sors pas mal. Je sais pas trop qui t'es ou ce que t'es mais t'es pas un bully. Ok on va arrêter là avant que je lui sorte la liste de ses défauts, j'ai déjà écrit un poème dessus dans le carnet.

@Boaz

Et on y était une nouvelle fois, sa réalité s'inversant encore alors que bientôt, il se mettait à souffler, toute la rage qu'il éprouvait il y avait approximativement -regard vers la montre- deux secondes s'était envolé pour laisser placer à une sorte de tristesse, de mélancolie, de drame. Et Franz, y restait là, bête face à tout ça. Comment vouliez-vous qu'il sache encore comment réagir ? Il avait littéralement l'impression de regarder le film Split, sans les massacres liés à tout ça. L'autre s'excusait, revenant sur les affirmations qu'il crachait à tous vas depuis une semaine, bien avant même que Virgil la lui fasse à l'envers. C'était à ne rien y comprendre, mais l'allemand s'en plaignait pas non plus, si il pouvait arrêter de voir son nom dans la bouche de l'autre. « C'est donc ça le multiverse. » qu'il soufflait à lui-même plus qu'à l'autre qui était encore trop occupé à faire le tris de ses pensées. Franz savait pas quoi dire, parce que ouais à ses yeux, le gamin avait vraiment un soucis, et il était clairement pas en mesure de l'aider... et n'en avais pour le moment pas envie non plus. « Règles tes problèmes avec les gens concernés, me mêle plus à tout ça. » il estimait avoir déjà donné depuis quelques temps là. Pas le plus doué Franz pour donner des conseils, surtout pour des personnes envers qui il avait du mal à exprimer de l'empathie. Alors il se contentait de le laisser là, à ce stade y'avait que Boaz pour aider Boaz, il quittait donc la pièce.

- end -

franz met trois plombes à se pointer sur la terrasse où, pourtant, le nirvana l’attend en la personne de virgil et d’un spliff roulé avec maestria. son dernier sms disait j’arrive dans deux sec, soit autant de temps qu’il lui faut pour éjaculer après les préliminaires et il trouve le moyen de se faire désirer ? qu'on s’étonne pas que les allemands aient perdu deux guerres, le sens du timing c'est pas qu'une façon de parler. v finit par lever son cul des transats pour partir à la recherche du kaiser qu’il finit par croiser dans le couloir qui mène aux chiottes. fair point, maintenant qu’il y pense, va pour l’idée. à son tour de dire j’arrive dans deux sec, de pousser la porte et de capter boaz accoudé au lavabo en même temps que ça claque dans son dos. faits comme des rats, pourtant la seule chose qu’il voit c’est un lionceau tremblant au-dessus du jet d’eau. — tu fous quoi ? question rhétorique : il vient de se mêler avec franz, il a les sms encore ouverts sur le tel dans sa poche. il avance jusqu’au carnet éventré contre le sol de pierre. la tête penchée, il contemple les traits d’un mec au six pack et à la bite de sept centimètres et sourit.

Je suis en train de sacrifier mon égo sur l'autel de la paix et l'autre me sort des réponses d'une empathie juste digne de Norman Bates. Je vais même pas rétorquer parce qu'apparemment faut qu'il approuve ma perception de la réalité pour que je puisse en faire l'expérience. Il me balance deux trois vacheries avant de retourner fouetter d'autres chat, peut-être littéralement who knows. Moi je reste là en proie à mes doutes et ce putain de volcan qui kiffe entrer en éruption. Comme si le bon Dieu avait décidé de se faire une golden shower sur ma pomme, à peine l'autre quitte la pièce que son pote trouve rien de mieux à faire que de débarquer. Et merde. Je lâche, sauf que cette fois-ci c'est bien de l'autre occupant de la pièce dont je parle. Il demande ce que je fous là, vu le timing il a dû voir son pote partir et pour une quelconque raison il a pas décidé de le suivre. Sorry je peux pas trop parler, encore en train de me remettre du moment chaud avec ton pote qui vient de me rentrer dedans. Je joue volontiers sur les mots. Par contre personne ne lui a demandé de se rapprocher de mon carnet, encore moins de l'ouvrir. Il reste sur la page de l'autre et je l'empêche même pas. Le plus de distance entre nous, le mieux. Fais gaffe, regarder mes dessins horribles c'est dangereux pour le cerveau des moldus. J'aimerais bien qu'il reçoive un coup de téléphone qui lui annonce qu'il va crever dans sept jours. Tant qu'il tourne pas la page pour voir ma petite incantation supposée lui faire perdre ses capacités érectiles tout ira bien.