(tw) every other freckle. (mardi 1er, 23h00).

Elle a amadoué la drama queen @Fly à l'aide de pancakes, cuits cette fois, avec les myrtilles tant désirées de monsieur. Pas qu'il fasse réellement la gueule, elle devine qu'il aime juste dramatiser les choses par esprit de provocation, mais elle sait déjà que l'offrande suffira à le convaincre de la rejoindre ici, suite au petit mot qu'elle lui a laissé. Ses derniers souvenirs de la loveroom sont... brumeux, pour ne pas dire plus que flous, mais la chambre ressemble exactement à ce qu'elle gardait en tête : sympa, sans plus. Pas le confort érotico-romantique qu'on s'imagine à la mention du mot loveroom. Elle, elle aurait ajouté un jacuzzi, des speakers, des trucs incitant au rapprochement plutôt qu'un endroit où tout semble déjà fait et le lit n'est là que pour accueillir la conclusion. Téléphone en main, écouteurs aux oreilles, elle tourne la tête quand la porte s'ouvre pour révéler le new-yorkais, dégaine nonchalante comme toujours. « Je t'ai fait des pancakes. Comme tu les aimes » elle précise avant qu'il ne trouve le moyen de râler. Elle commence à le cerner, le Fly. Pour le reste, as usual elle se laissera porter par le mood du moment, le lieu où ils se trouvent n'étant gage de rien mais leur offrant au moins un semblant d'intimité pour s'éviter un deuxième bail cuisine foireux.

@kit

il faut pas grand chose pour l’attirer : la promesse d’un bon moment, le fait de lui demander de le rejoindre dans la loveroom, lui dire qu’il sera nourri et d’autres broutilles du genre. kit avait compris la petitesse de ses attentes et avait sauté sur l’occasion en réunissant plusieurs de ces conditions : loveroom, bon moment, et surtout pancakes. un message seulement et le voilà qui traverse la villa de sa démarche nonchalante, avec l’air blasé qui le suit partout. il entre dans la pièce, pousse sur la porte et découvre la silhouette de la brune à quelques mètres. il se souvient encore de la sensation agréable dans son bas-ventre quand le corps était redessiné sous ses paumes. il espère qu’il pourra s’y reprendre prochainement, l’invitation dans cette chambre lui laisse deviner que c’est l’une des probabilités ce soir. elle l’amadoue bien, et avec son esprit simplet, fly tombe dedans. il pose ses yeux sur les pancakes et en attrape un avant de mordre dedans, toujours aussi gourmand. gourmand pour les sucreries, mais surtout gourmand pour elle. la gamine avec les yeux en cœur, les petites attentions, mais surtout gamine qui peut prendre un autre masque et attiser le feu en lui. multiples facettes et fly tombe sous le charme de chacune d’entre elles. il déguste à peine, dévore même, comme un le bouffon du roi qui vérifierait que la nourriture n' est pas empoisonnée. il hoche de la tête alors qu’il mâche encore et finalement, propose à la brune de mordre à son tour pour goûter à sa création. - mange, on sait jamais que t’aies besoin de force. ils sont bons. et pas salés. il mesure la température, pas vraiment subtil, mais il a jamais prétendu être un gars qui fait dans le détails et les subtilités.

Le sourire s’étale sur les lèvres, presque moqueur, à la vision de @Fly dans la loveroom. Mais Kit reste sagement allongée sur le lit, feignant presque le désintérêt malgré la brûlure qu’elle sent renaître quelque part dans le bas-ventre. Il faut croire qu’il sait marquer les esprits, le New-Yorkais, avec ses babe et ses baisers fiévreux, assez pour y prendre goût et vouloir recommencer. Pour l’heure, elle se contente de lui offrir les pancakes qu’il n’a pas eus la dernière fois, histoire de montrer sa bonne volonté. Le gosse se jette dessus, visiblement elle a trouvé la clé (sans grande difficulté), ça lui tire un rire de le voir faire avec autant de bonne volonté. Le sourcil se hausse à sa réflexion. « Besoin de force ? Pour quoi faire ? T’as prévu une séance de sport à la salle ? » Mais les inflexions ne trompent pas, ce n’est qu’une provocation de plus dans le jeu qu’ils ont instauré sans raison quelques jours plus tôt. C’est plus fort qu’elle, Kit adore répondre aux provocations aux sous-teintes de flirt de la même façon surtout quand elles viennent de lui. « Je sais qu’ils sont bons. J’en ai mangé sur le chemin. » Les forces ont déjà été prises, et puis elle est bien obligée de s’assurer qu’elle ne va pas l’empoisonner, elle a de grands projets pour leur nuit. Son regard s’ancre dans celui de Fly, gourmand, presque prédateur, ne pas se jeter sur lui requiert un effort considérable mais l’amour du jeu est au moins aussi grand. « Tu sais ce dont j’ai envie ? » De toi. « De parler un peu. Apprendre à se connaître, tu vois. » Kit guide le jeu avec une aisance remarquable pour une fille qui semble si sage le reste du temps. « On devrait jouer à un jeu. » L’une de ses mains glisse à la chemise qu’elle porte pour en retirer deux boutons, laissant entrevoir juste un peu sa peau claire et la naissance de sa poitrine. « Des devinettes. Si tu trouves la bonne réponse à ma question, je retire un vêtement et ainsi de suite. Evidemment tu as le droit de participer. Tu peux me faire deviner toi aussi, ou même m’aider à les retirer. Je ne suis pas très adroite après tout. Et si tes lèvres se perdent sur ma peau quand tu le fais, on mettra ça sur le compte d’un accident. » La nuit commence à peine après tout, Kit n’est pas pressée.

@kit

il y a évidemment le sourcil haussé aux questions innocentes de la gamine, pas l’envie de donner une réponse correcte et sincère parce qu’il aurait bien l’air bête. il hausse alors des épaules, l’air amusé. - faut bien soulever quelque chose. il a plus vraiment à se plaindre, la chasteté imposée n’est plus un souci pour fly qui a su trouver une façon de s’amuser. l'étonnement est toujours de mise cela dit, parce qu’il trouve une partenaire de jeu agréable en cette soirée, une personne qu’il n’aurait jamais pensé approcher de la sorte. pourtant, il se souvient encore du goût de ses lèvres et de la chaleur de son corps, peut encore noter les notes de son parfum de mémoire tant ça l’a obsédé. il termine par poser l’assiette sur la table de chevet et grimpe ensuite sur le lit, étalé de tout son long, mains derrière son crâne pour s’appuyer dessus. - nan, dis-moi. elle ne tarde pas à le faire, envie de le connaître c’est déjà quelque chose dont il n’est pas habitué. on s’arrête généralement aux corps avec lui, on ne cherche pas à découvrir la personne ou la personnalité derrière, on saute sur les traits bien dessinés et sur la générosité des muscles. et il ne leur en veut pas, fly est tout aussi gourmand. il se met à sourire ( ne sont-ils pas déjà en train de jouer à un jeu ? ). il retient la réflexion et l’écoute, pas très bavard, mais kit le surprend et il adore ça. le regard se pose naturellement sur les boutons qui sautent, espérant avoir un avant-goût de sa récompense alors que lui explique le jeu. il trouve ça compliqué, de tout deviner sur une personne alors qu’on la connaît à peine, il se dit qu’ils finiront encore par coucher ensemble dans leurs rêves érotiques, mais qu’il est pas prêt de goûter à sa peau. pourtant, il se laisse tenter, accepte en hochant médiocrement de la tête. il s’imagine alors poser ses lèvres sur la naissance de sa poitrine pour en découvrir le reste, arracher tous ces vêtements qui sont bien trop artificiels et inutiles entre eux, limite des intrus qu’on devrait dégager à coup de pieds selon fly. mais il entre dans son jeu, accepte tout simplement alors qu’il se redresse. peut-être pour avoir une vue plus plongeante sur la poitrine à peine dévoilée, ou alors pour signifier qu’il est prêt à commencer. - vas-y, c’quoi ta première devinette ? et malgré les règles du jeu bien explicitées, il y a quand même ses doigts qui se baladent et qui s’arrêtent contre sa jambe, la caresse est donnée, les autres suivent sans mal, mais il garde ce foutu air innocent sur ses traits. comme si de rien était.

@Fly n'est pas difficile à convaincre, elle le voit rien qu'à son regard qui s'assombrit un peu dès qu'elle fait sauter quelques boutons de la chemise et n'offre que de quoi imaginer ce qui se trouve en-dessous. Ca fait partie des trucs qu'elle adore, Kit, plus que les coups rapides à l'arrache dans des endroits où ils ne devraient pas être : l'idée de faire monter lentement la pression, minute après minute, assez pour créer de la frustration mais pas assez pour donner l'envie de la fuir. Il accepte de jouer et Kit n'a plus qu'à réfléchir à des questions qui ne devraient pas être très difficiles, ou bien font seulement appel à l'instinct. « Quelle est ma couleur préférée ? » elle lui demande, comme s'il le savait alors que le pauvre n'en a sans doute aucune idée. Une main baladeuse glisse le long de sa cuisse en une caresse parfaitement calculée et Kit s'humecte les lèvres, ferme un bref instants les yeux pour les rouvrir en se jurant qu'elle va se concentrer. Mais puisqu'il n'est pas décidé à jouer fair, elle peut au moins faire de même et lui montrer qu'elle peut être une adversaire de poids. Elle se penche sur lui, frôle ses lèvres des siennes avant de descendre sur sa mâchoire puis dans son cou. Elle connaît le point sensible, et si elle ne le mordra pas, elle a bien d'autres techniques pour le distraire le temps qu'il réfléchisse et gagne, peut-être, le droit de faire sauter les derniers boutons de sa chemise. « Ah, j'ai pas précisé, chaque fois qu'on enlève un vêtement, on peut faire ce qu'on veut de la peau nue qui apparaît. » Dans son langage, on appelle ça une incentive.

@kit
question posée, il tente de se souvenir des vêtements qu’elles portent souvent ; les couleurs surtout, en se disant qu’elle devait bien porter des vêtements à son goût. il s’avoue vaincu en réalisant qu’il n’a pas fait assez attention, gamine n’a pas été assez dans son viseur et il cherche pas à faire le contraire. alors, c’est les couleurs primaires qui sont envisagées. rose ? elle a pas l’air d’une femme rose bonbon, alors il continue de chercher comme il peut. - j’sais pas, un truc genre rouge ou bleu ? la question prend des allures simples, mais reste compliqué pour le blondinet qui veut absolument dévêtir la jeune femme. alors qu’il attaque, geste pas très juste, mais elle a jamais posé les règles de leur jeu, alors fly les invente au fur et à mesure, elle se penche et son souffle contre sa peau le rend dingue. il déglutit alors, sa main remonte contre sa hanche pour l’inviter à continuer, de ne faire qu’une bouchée de l’homme faible qu’il est. puis, elle ne sait pas encore, mais elle donne une raison de plus à fly de craquer ( en y réfléchissant, elle sait très bien ce qu’elle fait ). il finira nu avant elle, mais pas quelque chose qui le dérange, perdre pour mieux qu’elle craque la première. - à moi. combien j’ai de piercings ? elle a la réponse sous les yeux, mais veut que le jeu soit rapide, même s’il a des allures plus lentes et intenses. il en a quatre aux oreilles, au moment où ils parlent.

Un truc genre rouge ou bleu, la précision est incroyable de justesse. Ca lui tire un sourire, elle le sent bien qu'il est déconcentré, pas d'humeur à prêter attention à elle autrement que pour faire dangereusement remonter sa main le long de sa hanche. Mais Kit ne lâche rien, l'envie de lui faire perdre au moins peu la tête bien plus tenace que de tout abandonner maintenant et se jeter sur lui. A quoi bon se presser, alors qu'ils peuvent monter en tension encore un peu ? « Presque bon, c'est le bleu. » Ca suffira pour cette fois. D'une main, elle défait les derniers boutons de sa chemise et la fait glisser le long de ses épaules, découvrant une peau presque nue, à l'exception de son soutien-gorge. Ses lèvres s'amusent à explorer son cou, sa clavicule, et elle regrette presque de devoir se soumettre aux mêmes règles que @Fly. Boh, ça ne fait rien qu'elle songe, elle peut toujours les réinventer à loisir, selon ce qui l'amusera sur le moment. Elle étouffe un rire contre sa peau, elle n'a aucune idée du nombre de piercings qu'il a et il serait bien le genre à en avoir dissimulés sous ses vêtements. Alors elle voit grand Kit, compte ceux de son oreille, en profite pour en mordiller le lobe au passage et en rajoute. « Six ? » elle propose, se détachant de lui pour river son regard dans le sien. Trop joueuse - ou trop impatiente, elle ne sait plus bien - elle en profite attraper l'une de ses mains et la poser contre sa poitrine, là où le tissu laisse deviner l'envie qu'il fait naître et une tige de métal. « Je pensais que t'en avais un là aussi, comme moi. »

Il sent la tension monter et ne peut rien faire pour la faire redescendre. Il n’en a pas envie de toute façon, préfère crever sous les doigts de la brune et la laisser s’amuser de la carcasse brûlante sous ses doigts, qu’elle profite du spectacle et de la chaire qui pourrait être sienne si elle se décidait à monter la température un peu plus. Il sait aussi que c’est bon de jouer comme elle fait, elle l’a assez bien cerné pour savoir que ça ne le frustera pas et que ça l’amusera, que ça titillera son envie qui ne cesse de grandir pour elle. C’est pas simple de rester en place et sage, alors qu’il aimerait lui sauter dessus après avoir goûté une première fois à sa peau et à ses lèvres. - Donc j’ai raison. Qu’il rétorque tout de suite avant qu’elle ne se ramène avec une autre règle, comme : tes réponses doivent être plus précises, ou une connerie du genre. À la place, les doigts de Kit chutent contre sa chemise et les boutons qui ont survécu. Ses yeux s’arrêtent sur sa poitrine, recouverte du beau tissu ( qu’il juge de trop ). Elle sait comment jouer et Fly adore ça. Fly tombe, genoux à terre, prêt à vénérer une femme qu’il ne pensait pas regarder. Il est faible, foutrement faible, et Kit sait comment l’amadouer. De la peau, des baisers, des souffles qui s'entremêlent, de douces effluves qui remontent aux narines : l’envie, tout simplement. Elle répond alors, mais il est rapidement déconcentré par cette main qu’elle mène contre sa poitrine. Il enveloppe sa poitrine de sa paume, sourit en coin, alors qu’il masse par-dessus le tissu qu’il aimerait lui arracher. Bordel, regarde ce que tu fais de moi. Qu’il aimerait cracher alors que, petit à petit, c’est à l’étroit qu’il se sent sous son boxer. - J’en avais. j’te les compte parce que je suis gentil. Surtout parce qu’il veut découvrir son corps nu et qu’il lui donnera envie en découvrant cette liberté. Il retire alors son haut, laissant apparaître son torse et ses tatouages. Il se redresse alors, vue plongeante sur les seins de la brune, ça bouche devient sèche. Il se penche pour embrasser la peau accessible, contre son buste, se rapprochant des seins, mais jamais assez pour transgresser les règles imposées par la brune elle-même. Il remonte contre son cou, découvre de plus près son odeur, celle mêlée au parfum sucré. Il embrasse son cou, peut sentir sa veine pulser, il continue sa découverte en laissant ses lèvres courir le long de son épaule qu’il vient couvrir de baisers chauds et appuyés. - Putain, t’as pas idée d’à quel point j’te veux. Qu’il vient murmurer contre son oreille, en approchant son corps du sien, la tension monte ; elle est dévorante et ne laisse pas l’américain indemne.
@kit

« Donc t'as raison » elle confirme d'un souffle, et sa main qui défait les boutons de sa chemise est toute la preuve dont il pouvait avoir besoin. Elle prend son temps Kit, joue avec lui comme un prédateur avec sa proie, attise les braises avec une facilité qu'elle ne soupçonnait pas. Elle le sent, le regard de @Fly lourd de désir quand il s'attarde sur une poitrine pas encore tout à fait dénudée et cette seule vision suffit à provoquer l'incendie dans son bas ventre. Si elle continue de jouer, la tentation de tout arrêter et de se jeter sur lui lui traverse plus d'une fois l'esprit. La combinaison de ses caresses à lui, de ses baisers à elle, l'engrenage est aussi divin qu'il n'est torture. Elle en rirait presque, Kit, d'être à la merci de l'une des dernières personnes qu'elle aurait imaginé retrouver dans la loveroom pendant l'aventure. Mais il a un côté terriblement séduisant, avec son goût du jeu et de la provocation, son corps qu'elle ne demande qu'à explorer et la façon qu'il a de la regarder, les prunelles assombries d'envie, comme si elle était la seule créature désirable sur cette planète. C'est tout ce qu'elle aime, tout ce qu'elle cherche dans ce genre d'interactions, rien ne la fait se sentir plus vivante que ça. Son souffle se fait plus saccadé au contact de sa main sur son sein qui découvre et caresse par dessus le tissu, elle ne donne pas cher de sa capacité à résister beaucoup plus longtemps. « Donc j'ai raison ? » elle répète dans un sourire amusé, l'observe attentivement quand il retire son tee-shirt et lui laisse le loisir d'explorer à son tour sa peau encrée. Les baisers de Fly sur son buste l'embrasent, elle répond d'un même langage, contre son cou, contre son torse dont elle dessine de ses lèvres les tatouages. Il souffle à son oreille à quel point il la veut, et elle sait déjà qu'elle a perdu, ou bien gagné, c'est selon. Ses lèvres retrouvent celles de Fly et elle n'embrasse plus, elle dévore, entremêlant sa langue à la sienne avec passion. Quand elle se détache, ce n'est que pour lui susurrer un « on arrête de jouer » qui aurait tout aussi pu être 'je te veux maintenant'. Ses mains s'empressent de défaire son soutien-gorge, exposant à sa vue sa poitrine enfin nue. La seule idée d'imaginer sa langue glisser dessus suffit à lui faire perdre la tête, et elle en profite pour explorer plus au sud d'une main baladeuse, désireuse de sentir l'effet qu'elle a sur lui et à quel point il la veut. Satisfaite de ce qu'elle trouve par dessus le tissu de son boxer, elle lui intime de retirer son fut tandis qu'elle fait de même, l'impatience visible sur ses traits. A égalité, Kit le fait basculer, s'installe par dessus lui et retrouve le contact de ses lèvres alors même que son corps se presse contre son entrejambe.

Les rôles sont échangés, lui qui a normalement l’habitude d’être prédateur se retrouve la proie de Kit. Jeu qui consume les deux jeunes, un véritable brasier a pris place contre les reins de l’américain qui ne cherche qu’à la retrouver. Enfin goûter à sa peau, à son corps tout entier. La posséder, la voir se perdre dans un désir qui les dépasse. C’est ça qu’il veut, il le montre sans détour ; ça se sent dans la respiration lourde mais encore maîtrisée, dans le regard gourmand et baladeur, ou encore les mains qui se baladent sur le corps comme s’il dessinait et mémorisait ses courbes. “Donc t’as raison.” Il déclare comme elle plutôt en souriant, ils ne cessent de jouer et il est satisfait. Il trouve une adversaire à sa taille, même s’il ne crache aucunement sur les autres. Il se demande qui craquera la première. Sa main trouve refuge contre sa nuque quand enfin, les lèvres se retrouvent et les langues dansent ensemble, appuyant le baiser alors que la pulpe de ses doigts s’impriment contre le derme de sa nuque. Il la tient fermement contre lui, aussi gourmand qu’elle, il dévore plus qu’il n’embrasse tout comme Kit. Lèvres relâchés et drapeau blanc levé, les prunelles s’arrêtent sur la poitrine et les courbes généreuses, qu’il pourrait jurer avoir imaginé à la perfection avant qu’ils ne se retrouvent. Son bassin se soulève pour pouvoir sentir sa main davantage alors que ses lèvres continuent d’embrasser sa poitrine. Il termine par retirer son jogging et le faire glisser au sol, elle reprend l’ascendant. On lit sa satisfaction sur ses traits alors qu’il vient s’emparer de ses fesses pour la presser davantage contre lui, reprenant ses lèvres en les dévorant, aucune pitié et aucune retenue pour l’américain à l’appétit grand comme le monde. Les mots ne suffisent plus, s’ils ont déjà suffit un jour, les corps parlent. Surtout celui de Fly, qui sous l’excitation et le désir, laisse l’envie s’exprimer même si réprimée sous son boxer.
@kit

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